Jeu de Rôles Libre
Bonjour !
Tu viens d'atterrir sur le forum du Jeu de Rôles Libre.
Ici, tu trouveras un jeu par écrit fonctionnant un système libre, intuitif et réellement amusant.
Viens vite découvrir tout ce que nous proposons sur ce lien !

Rejoignez le forum, c’est rapide et facile

Jeu de Rôles Libre
Bonjour !
Tu viens d'atterrir sur le forum du Jeu de Rôles Libre.
Ici, tu trouveras un jeu par écrit fonctionnant un système libre, intuitif et réellement amusant.
Viens vite découvrir tout ce que nous proposons sur ce lien !
Jeu de Rôles Libre
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment :
Réassort du coffret Pokémon 151 ...
Voir le deal

Ïdon Von Verrückt

Aller en bas

Ïdon Von Verrückt Empty Ïdon Von Verrückt

Message par Ïdon Mar 1 Mai - 22:35

Ïdon Von Verrückt
Âge: 95 ans
Classe
: Mage Noir (nécromancienne)
Race: Humaine



Histoire:

« Le Pion est le Roi, Le Cavalier est la Dame et la Tour est le Fou.... Qu'elle pièce est jalouse...? La Dame, pardi! Autant qu'elle est une femme, araignée prise à sa propre toile, elle ne peut être Cavalière! Elle a dut peut-être oublié se principe "d'accouplement" de l'être humain. Il est encore plus étrange quand le Roi, son mari, n'est autre que son fils et que la Tour, son plus fidèle serviteur, n'est autre que sa Némésis...
L'histoire de trois être à l'étrange passés, tout les trois réunis en un seul et même Acte: La Dame, d'une douceur et gentillesse infinies le jour; et la nuit, la plus sensuel et libertines des femmes; la tendresse de l'ange faisant place à tout les plaisirs charnels imaginables! Le Roi, pauvre fils maudit abandonné à son enfance qui ne se rendit compte que trop tard que sa mère n'était autre que sa femme; et la Tour, le valet damné qui, derrière une apparence bénigne et de grand "ami ", prépare la chute de sa "Maîtresse". »
Qui n'a pas entendu au moins une fois parlé de « L'échiquier », roman d'un parfait anonyme, adapté des dizaines et des dizaines de fois en pièce de théâtre? Magnifique, resplendissant, il est vrai que tout est écrit par un écrivain mémorable dont le seul défaut est l'absence de son nom, empêchant ainsi un nouveau modèle au panthéon de la gloire...
Et peu furent assez observateur pour constater que ceci n'était pas un roman, mais un Journal. Mon Journal! Ah, les gens sont quelque peu imbéciles et méprisables, comme le Roi qui fut Pion. Ceux qui pourraient comprendre sont trop sûre de leur pouvoir, comme La Dame libertine à la chevauchée charnel, et La Tour, de sa hauteur, prévois tout....! Fou? Oui, également, une sacré pièce de Folie! N'est-on pas heureux quand on est fou? Sans limite, sans interdiction, libre de tout sans aucune restriction! Je suis les deux: Tour et Fou réuni!
Cependant, une question me vient à l'esprit. Je me demande qui a pris le plus de plaisir, moi ou ceux qui ont récupéré et publié mon Journal? Je me pose bien la question de savoir qui est le plus sadique...!
Cinquante ans ont passé depuis que j'ai écris se journal, le temps passe tellement vite. J'ai vieillis, beaucoup même. J'ai vagabondé un peu partout par simple curiosité: Dans l'aristocratie, la religion... mais le temps n'est pas un soucis quand on possède la jeunesse éternelle! Ah, magie macabre..! Quel Ode pourrais-je donc t'offrir? Ah oui, je sais que tu adores que je te caresse de paroles en te susurrant notre première fois, quand j'ai tué mon enseignant militaire. Oh oui, au clair obscur, à côté de la rivière, signant par la même occasion la Tombe de mon insouciance. Je me rappel des frissons qui parcouraient ma chair brûlante quand je sacrifiais en ton nom cet homme! Même avec La Dame, je ne reçu pareil Petite Mort! Jolie jeux de mots! Je culpabilise de ne pas me souvenir du nom de mon premier sacrifice, tu aurais apprécié davantage, mon amour Nécromancie...!
Je te dois beaucoup de chose: Tu as fais de moi un homme comblé en tuant La Dame et en rendant fou Le Roi, aussi Fou que moi d'ailleurs, voir-même un peu plus: La corde autour de son cou tient toujours sur l'arbre! Je le constate chaque année! Mais je m'égare, mon amour...
Tu m'as offert encore plus, beaucoup plus, la sûreté et le repos! Tout ce que j'espérais pendant que je croupissais dans les égouts, jeune, rejeté de tous, humilié, utilisé comme jouet pour quelques êtres pervers! Grâce à ma Plume et mon Encrier, j'ai pu m'ouvrir à plus d'horizon! Le Ver gigotant dans l'eau croupie est devenu Tour, résistant et fort, et La Tour est devenu Fou, libre! Je te dois tout! Et c'est pourquoi je souhaite t'offrir le plus beau gages de reconnaissance, le plus beau des cadeaux...
Je ferais de se monde ton domaine! Les Morts seront autour de toi, te serviront et t'écouteront, t'aimeront autant que je t'aime! Ce monde corrompu, je le souhaite renaître sous ta bénédiction! Tous seront tes enfants, tous seront frères et sœurs, mari et femme! N'est-ce pas une belle compensation de tous que tu m'as offert, Nécromancie?
Oh, pardonne moi, je suis peut-être un peu trop flatteur. Je suis sans doute un peu trop amoureux. Tu reste mon amante, bien que je ne sois pas le seul concubin. Cependant, je ne peux pas t'en vouloir, tu es autant une épouse qu'une mère et tes enfants sont nombreux. Je sais ce qu'est la beauté du cœur. Tu es la seule à qui je ne me permettrais pas de faire de mal, la seule à être pur dans se monde corrompu par le mensonge, la haine et la trahison. J'ai tant encore à apprendre de toi....
Hormis ceux qui te suivent, les êtres ne sont que des outils, des animaux sans intelligence, qui ne voient pas la Beauté comme elle doit être. Ils ne sont bons qu'à être utiliser comme du bétail, à manipuler pour les fins que je te réserve à toi, mon amour. La Dame n'est plus là, plus du tout là, je ne suis qu'à toi, rien qu'à toi...à tout jamais!
Je ne fais que te rassurer, mon amour! Tu sais, ce ne fut pas une époque facile pour moi...! Je reste vivante, je reste impur! Mais je ne me rappel pas de toute nos lune de miel, comme ci quelque chose m'empêchait de concevoir qu....Aïe! "Ça" me refait mal! Mordious!



Caractère:
Ïdon est une femme extrêmement dérangée, dont la folie n'a d'égal que son intelligence. Son humeur allant d'un pic à l'autre rend imprévisible ses réactions. Il est difficile de cerner que derrière ces airs chancelants entre la colère et le ridicule se cache en réalité une femme dont la ruse et le raisonnement la rendent plus redoutable que n'importe quel stratège. Elle a su camoufler des dizaines et des dizaines de meurtres, empêcher toute recherche sur elle et même réussit à retourner ses agresseurs dans leurs propres pièges. L'intelligence est son arme la plus dangereuse, plus que ne l'est sa magie...
La Nécromancie est l'amour de Ïdon, autrement dit, cette dernière considère cette magie comme étant son épouse. Ainsi, elle respecte les morts bien plus que les vivants, de manière contradictoire lorsque le mort, de son vivant, était son ennemi. Ïdon puise un énorme respect de ses rituels et de ceux qui pratiquent la même magie. Elle ne se montrera jamais irrespectueuse avec eux, sauf si certaines circonstances obligent.
Il y a cependant des exceptions. Quand certaines personnes confirment un intérêt particulier pour Ïdon, elle les qualifies du nom des pièces de jeux d'échecs. Chaque pièces corresponds à un type particulier de personnes:

Pion: Inconnu
Tour: Robuste, téméraire, puissant, précis, déterminé, dominant
Cavalier: Intelligent, Charismatique, Sage, Calme, retenu
Fou: Dangereux, libre, calculateur,
Roi: La personne servant d'instrument principal aux actes de la Nécromancienne, cela pouvant revenir à n'importe qu'elle type de personne. « Roi » peut également signifier quelqu'un de malheureux, faible, triste. La différence entre la première et les autres significations n'est que la ponctuation et les mots employés par Ïdon
Reine: Obligatoirement une femme dont la force de caractère et les pouvoirs sont peu communs. Elle symbolise le Sacré, l'Interdit et la Destruction.

Cette manière lui permet de cacher ses relations, de garder une barrière entre les gens et elle tout en trouvant un bon moyen de ne pas mentir, tout en embrouillant la vérité. Cette manière est son passe-temps favori: Cachant, jouant sur les mots ou à coups de devinettes, voilà exactement comment parle Ïdon. La sincérité est-ce qu'il y a de meilleure, mais la parole est d'argent et le silence est d'or. Ainsi ne ment-elle jamais et répondra si elle doit répondre; mais tirer d'elle une information complète n'est pas la plus simple des choses et revient même de l'exploit. Ceci dit, une explication plus profonde doit être donné. Cacher à son entourage est quelque chose de familier, lui permettant de survivre, mais il est surtout un moyen, inconscient, de se protéger d'elle-même: Elle est beaucoup attaché à son passé, bien que pour une raison qu'elle n'explique pas elle-même et qui la dérange plus qu'autre chose. Ce dérangement est d'ailleurs visible: Elle fuira toujours si ce sont des questions d'ordres personnels datant du début de sa vie, protestant et à juste titre qu'un « marteau » lui tape le crâne, comme si une force l'empêchait d'entrevoir quelque chose qui pourrait lui être fatale.
Une autre de ses particularités est cette étrangeté à se masculinisé. Ïdon n'emploie jamais le féminin à son sujet et refuse d'accepter toute comparaison féminine, s'habillant comme un homme mais dont les traits physiques et la coiffure trahisse toujours son véritable sexe. C'est ce qui fait peut-être son charme et sa contradiction le plus agréable. Et par la même occasion le sujet le plus agaçant pour elle.

Physique:
Grande femme au corps svelte, mesurant un mètre et quatre-vingt-sept centimètres. Sa beauté, sa carrure, sa peau blanchâtre et ses longs cheveux bouclés couleur de jais en font une personne charismatique et impressionnante. Grâce à la nécromancie, elle a put rallonger sa vie et empêcher le poids des années de se porter sur elle, paraissant encore aujourd'hui jeune et saine de corps. Cependant, cette magie demande un prix: Les capacités rationnels d'Ïdon s'en retrouve profondément touchée, une des raisons multiples à sa folie et sa couleur de peau est la preuve irréfutable des nombreux emploies de la magie noir. Portant des longs manteaux souvent synonyme de sa richesse, elle ne cherche pas à être ravissante: plus de prestance que de beauté, plus imposant que doux, tels sont ces principes de goût de la Nécromancienne. Elle possède à son actif l'une des plus grandes collections de jabot de tout Zaerod, récupéré au fil des ans. Les chapeaux sont également une passion: Il n'est pas rare de la voir se pavaner avec un chapeau aux bords longs, la plume du Corbeau Blanc* accroché au gallon. L'Encrier du Corbeau Noir** est dans une petite boîte accroché autour de son cou par une chaîne de fer.
Ïdon ne maîtrise pas les armes et seul un couteau sacrificiel décoré de pierreries et au fourreau formées d'arabesque pendouille à sa ceinture de cuir. Elle ne s'en sert jamais pour se battre, exclusivement réservé aux rituels. Cependant, une poche intérieur, toujours présente dans ses manteaux, garde bien au chaud son accessoire de sortilège: Le crâne.
Sa voix à le ton grave, teinté d'une pointe d'accent montagnard dût à sa vie passé en grande majorité dans ces territoires. Il arrive, par moment d'énervement ou d'excitation, de parler dans le dialecte montagnard***.

* Expliqué plus bas
** Expliqué plus bas
*** J'aime bien Cyrano de Bergerac, la pièce de théâtre. Petit hommage, même si ça n'a pas vraiment à voir avec un accent montagnard, ni même le dialecte!

Objet:

Crâne:
C'est un crâne comme il y s'en trouve dans les tombes, servant de catalyseur pour les sortilèges. Sa seule particularité est d'être infecté par le pouvoir de la Nécromancie, permettant ainsi l'utilisation des pouvoirs d'Ïdon.



L'Encrier du Corbeau Noir et la Plume de Corbeau Blanc:

« Il était une fois un roi vivant dans le plus grand et le plus heureux des royaumes. Toute sa vie, il fût un homme honnête qui fît prospérer son peuple. Aucune famine n'était apparu depuis des années grâce à sa grande sagesse et le royaume était en paix. Les pauvres étaient heureux, ne manquant ni du gîte ni de nourriture et les riches étaient polis et humbles envers ceux qui les servaient; n'arborant leur richesses que pour les cérémonies, l'autre partie pour les travaux publics, pour le bien commun.
Cependant, le roi vieillissait, arrivant à l'âge honorable de cent ans. N'ayant aucun descendant, qui pourrait bien s'occuper de son royaume, la mort venue? Ainsi réunit-il ces conseillers et parmi eux, un grand magicien dont le renom allait plus loin que les terres du roi. Alors que les questions se multipliaient et que nul n'arrivait à trouver une solution, le Magicien ouvrit la parole:
« Mon roi, il existe une solution. Mais j'ai réticence à vous la proposer en toute paix de conscience, car c'est la Mort elle-même qui faudra rencontrer. Elle est celle qui choisit la Fin, elle seule peut vous aider dans le salut du royaume, mon roi. »
L'assistance protesta, mais une lueur d'espoir brillait déjà dans le corps vieillit du roi. Le Magicien continua:

« Elle habite au plus profond de la terre, là où même les ténèbres les plus noirs n'osent s'approcher tant elle est crainte. Les Dieux eux-même se soustraient à sa volonté et nul ne peut la contester. Il vous faudra vous noyer dans le lac le plus profond et traverser les profondeurs de la terre, les Abysses. Seulement après, vous pourrez la rencontrer et vos chances d'y parvenir sont presque aussi large que ne l'est un grain de sable en comparaison du désert. »

Le choix fut décidé: Le vieux roi accepta, ne pouvant se soustraire à ses obligations. Il demanda à ses plus braves chevalier de l'escorter, mais aucun eu le courage de le faire. Le vieux roi partit donc seul, avec le poids des responsabilités d'un monarque sur ses épaules. Il traversa montagnes, plaines et vallées à la recherche du lac. Le roi demanda à chaque passant où était le lac le plus profond du monde. Nul ne connaissait la réponse et chacun se contentait de partir, l'air de rien. C'est alors que, se restaurant près d'une rivière, une naïade, nymphe des eaux, apparut devant lui, attiré par la bienveillance et la détresse du vieil homme. Elle lui dit:

« Que l'espoir revienne en ton cœur, Roi! Vous n'êtes pas loin de votre but! Dans cette forêt se trouve votre chemin, mais vous ne pourrez passer si vous ne répondez pas à l'énigme du Passeur! Suivez le cours d'eau et vous le trouverez! »

La Naïade disparu dans une volute d'eau. Le vieux roi, prit d'une nouvelle vigueur, descendit dans la même direction que coulait la rivière et finit par arriver devant un gigantesque lac d'on les profondeurs étaient aussi noirs que les ténèbres. S'approchant du bord de l'eau, un être étrange apparut devant lui, recouvert d'algue et puant la moisissure. Aucune créature n'était plus immonde que cette chose. Le Passeur ouvrit la parole:

«Cette chose toute choses dévore:
Oiseaux, bêtes, arbres, fleurs;
Elle ronge le fer, mord l'acier;
Réduit les durs pierres en poudre;
Met à mort les rois, détruit les villes;
Et rabat les hautes montagnes...!
Qu'elle est la réponse...? »

Le vieux roi réfléchit, sans succès. La créature commençait déjà l'observer d'un œil mauvais. Alors, l'idée de combattre vînt à l'esprit du roi. Mais déjà le désespoir s'emparait de lui, car il n'était plus aussi vigoureux qu'il ne le fût. C'est alors que le miracle se produisit! A ces mauvaises pensée, le roi devina la réponse:

« Le temps! »

Le Passeur gronda, irrité. Alors, le Passeur attrapa le roi, surpris, l'emportant avec lui dans le Lac. Malgré que le brave homme se débattit comme un beau diable, la créature était bien plus forte et il fut entraîné dans les eaux troubles du lac. L'air manquant, le vieux roi sombra dans l'inconscience.
Quand il se réveilla, il se trouvait dans un lieu rocailleux. Des souterrains! Le vieux roi avait passé la première partie du voyage, le Passeur ne l'avait pas trahi et maintenant, son périple pouvait continuer dans les abysses du monde. Il marcha pendant des heures, ce qui fût peut-être des jours ou des semaines, sans jamais savoir quel chemin était le bon à emprunter. Finalement, le vieux roi découvrit un gigantesque précipice d'où un vent glacial semblait murmurer des paroles inaudibles. Ici était la demeure de la Mort. Le roi se jeta du haut, prêt à tout les sacrifices, à la rencontre de la plus terrible des entités...
La chute était interminable. Ses espérances allaient-elles être exaucer? D'un coup, son corps s'arrêta. Tout semblait être fixe, autant lui que ce qui était autour, l'obscurité, comme si le temps n'existait pas en ce lieu. Alors le vieux roi la vît: Un squelette aux longs cheveux blancs dans une large robe noirs d'où des petites lumières et une plus grande se mouvaient, l'univers lui-même.

« Bienvenue, roi mortel. Dit la Mort. La visite est rare et interdite, mais ton courage mérite cette politesse d'entrée dût à tel acte, mais... Ne crains pas-tu que la témérité propre à ta race n'est pas l'erreur suprême? Qui crois-tu être comparé aux restes du Tout? Ni mortel et immortel, ni homme ni dieu n'a de pouvoir sur moi et tous ce plis à ma loi: Je suis maître du Tout! Je connais ta demande, roi... Mais est-ce qu'elle mérite que je m'occupe de toi si proche de me rejoindre pour l'éternité? »

Le vieux roi commença à douter si tout le chemin qu'il avait fait pour en arriver là avait servit à quelque chose; si le Magicien ne l'avait pas seulement jeté dans la gueule du loup, si la Naïade n'avait été qu'une mauvaise créature pour l'amener dans l'antre de la Bête. Le Maître du Tout sentait l'hésitation et la peur envahir le vieux roi anéanti et écrasé, la situation l'amusant au plus haut point.

« Je ferais tout ce que vous souhaiterez! » Hurla finalement le vieux Roi, utilisant ses dernières forces. »

La Mort ricana devant l'état pitoyable d'un être, qu'elle savait, dominer un royaume. Mais ce n'était rien comparé au Tout.

« Vraiment...? Ta vie m'importe peu, tu n'en auras bientôt plus. Mais je compatis, je peux jouer en ta faveur auprès de l'existence, je peux faire preuve de gentillesse, sous certaines conditions.... »

Le maître du Tout fit apparaître d'un mouvement de main une plume blanche scintillante et un encrier.

«  Voici ce qui signera la vie prospère de ton royaume: En gage de cela, tu devras devenir l'esclave de mes caprices. L'encrier du Corbeau Noir et la Plume blanche du Corbeau Blanc, qui serviront à signer ton pacte, seront à toi et tu devras utiliser ces artefacts pour m'apporter le rire, moi qui n'est pas de compagnie, comme un bouffon à la cour. Tu pactiseras pour m'apporter le plus de défunts! La mélancolie deviendra ta compagnie jusqu'au jour où un guerrier te tuera, tel est ta destinée et tel sera le jour où j'accepterai de te libérer de ton supplice... »

La Mort tendit la plume et l'encrier au vieux roi. Ce dernier, sans hésité, trempa le bout de la plume dans l'encre et écrit dans le vide, les lettres se formant d'une traînée lumineuse. Le pacte était signé. Il entendit une dernière fois la Mort rire et dire:

« Je ne t'avais pas menti, tu n'avais bientôt plus de vie...! »

…. »

Ce conte sert de légende à l'Encrier du Corbeau Noir et la Plume du Corbeau Blanc. La fin du conte finit par la mort du Roi, libéré de son fardeau, et la disparition des artefacts, le guerrier victorieux les emportant avec lui. Nul ne sait si la légende est vrai et nul ne pourrait dire d'où proviennent ces artefacts ni même qui en est le créateur. Mais Ïdon s'en est acquérit depuis très longtemps, depuis sa plus tendre enfance, qu'elle a trouvé alors qu'elle logeait dans des égouts. Elle explique qu'elle est l'une des rares personnes à avoir découvert l'intérêt de ces objets, peu de personnes ayant comprit qu'une plume et un encrier pouvait posséder un tel pouvoir. Ce sont les objets les plus précieux à ses yeux.


Magie: Nécromancie

Pouvoirs: (Catalyseur actuel: Crâne)

Animation des Morts:
Ïdon caresse le Crâne dans sa main, implorant aux défunts de combattre pour elle. Deux petites lueurs blafardes apparaissent dans les orbites vide du catalyseur, prenant vie. La mâchoire s'ouvre, laissant s'échapper une brume épaisse tentaculaire, pénétrant dans les cadavres pour les ranimer.

Contrôle des morts:
Ïdon manipule les morts invoqués grâce au crâne qui retranscrit ses ordres par magie à ses serviteurs macabres.
Ïdon
Ïdon
En apprentissage


Fiche de personnage
Nom:
Race et classe: Humaine/Nécromancienne
Compétences:

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum