Akalec, le porteur de la SCYLIA, (de la relique)

[yellowhub]

En bonne coopération avec Odysseus qui m'impressionnes toujours autant avec ses idées géniales 

La relique « Scylia »

 
Origine : (pendant le Deuxième Cataclysme)
Horrifiée par les désastres de la guerre et la destruction des grandes forêts au profit des armées, la déesse Verdanna avant de quitter Zaerod décida de créer une réserve intemporelle qui échapperait ainsi aux remous de l’Histoire en demeurant vierge du mal et des hommes. La forêt se situe à la frontière du royaume de Rërren au Sud de Zaerod. Au fil des générations elle prit le nom de « Holubi Dum » qui dans notre langue se traduirait par « le sanctuaire ».
 

Formes et effets sur le porteur:
La Scylia ne possède pas de forme définie, à l’origine, c’était une graine. Maintenant le pouvoir de la Scylia s’hérite en tuant son ancien propriétaire.

La Scylia n’est pas un outil pour achever sa volonté personnelle. La Scylia est attribuée à une personne choisit par la forêt comme étant le plus proche de celle-ci et la plus apte à la protéger. La forêt possède en effet une sorte de conscience héritée de la déesse Verdanna qui lui permet ainsi de ressentir les choses. L’autre moyen d’hériter des pouvoirs de cette relique est de tuer son ancien propriétaire. Quoiqu’il en soit, la conscience de l’individu disparaît petit à petit pour laisser place à celle de la forêt : en d’autre mots sa protection et rien d’autre.

Avec le temps la fusion entre la relique et l’individu s’approfondit et transforme celui-ci en « gardien » de la forêt. Il peut changer de forme, possède une force immensurable : il est quasiment invincible. Le dernier porteur de la Scylia ou « gardien » utilisait le plus souvent le corps d’un grand cerf rouge aux bois blancs qui formaient une ramification complexe et tranchante. Un autre terme apparu pour désigner le gardien : l’Arkandir

Le gardien est respecté par les habitants de la forêt que ce soit les oiseaux, prédateurs ou même les arbres. S’il ne peut les contrôler, le « gardien » peut tout de même les influencer : s’il est furieux, le reste de la forêt le sera aussi.
Bien que invincible ou presque sur son domaine (Holubi Dum), l’Arkandir ne peut le quitter, car au en devenant le porteur de la scylia bien gré ou pas, l’individu a passé un contrat avec la forêt comme quoi il la défendrait jusqu’à la fin de ses jours (qui s’annoncent longs étant donné que le gardien est immortel).
Grâce à la protection du gardien, Holubi Dum est restée ce qu’elle était plusieurs millénaires auparavant, c’est-à-dire une forêt sans âge où les anciens esprits errent toujours et la force de la Nature domine.
 

Histoire :
Au cours des millénaires qui suivirent la création de la Scylia, seul un unique gardien fut et est toujours.
 
 

I. LA CRÉATION

La Scylia à sa création n’était qu’une graine qui après avoir été plantée aux confins de la forêt par Verdanna, donna naissance à une fleur.
Cette fleur était la vie elle-même et la mort aussi. Au centre d’une clairière, elle représentait la forêt autant par sa beauté que dans sa rigueur et sa violence. Sa couleur et sa forme évoluait au gré des saisons et des sentiments de Holubi Dum. Allant de pétales blancs, presque transparents avec des feuilles argentées à un jaune gaie avec des feuille de d’un vert profond.

Un jour alors que la guerre faisait encore rage entre les troupes Asmodée et les derniers survivants  de Zaerod, un jeune homme blessé s’enfonça dans le Holubi Dum pour y trouver refuge. Il s’appelait Akalec et était un hybride entre les 2 races belligérantes : un père humain et une mère elfe noire. De ce fait il ne pouvait pas recevoir de l’aide d’aucun des camps : abandonné et seul rien ne le retenait.
Des semaines plus tard, après avoir guérit et s’être reposé il se rendit compte qu’il s’était égaré dans les méandres de la forêt. Vinrent alors 17 longues années de solitude et d’errance à travers les bois de Holubi Dum, infinis et sauvages à la fois.

Akalec perdit petit à petit son humanité et sa lucidité, sa conscience laissa place à la nature profonde son être : son attachement à la forêt s’exacerba et naquit entre eux un lien puissant. Alors qu’il s’enfonçait toujours dans plus loin dans la forêt, Akalec déboucha soudainement dans la clairière de la Scylia qui avait pris les couleurs ce matin-là d’un rouge profond proche du pourpre et ses feuilles bleus nuit virant au noir, reflétaient les lueurs de l’aurore. De la Scylia émanait la puissance et la magnificence de la forêt.

Fasciné et comme soudainement attiré par une force supérieur, Akalec s’approcha de cette mystérieuse plante. D’une main hésitante il effleura d’un bout du doigt le pétale écarlate de la Scylia. Le temps sembla se figer et apparu Verdanna dans toute sa splendeur. Elle lui transmit la force nécessaire pour protéger son domaine et dans un bruissement d’air s’évanouit et la plante aussi.

 

II. LA RENCONTRE

Etait né le premier Arkandir, « gardien » de Holubi Dum. Akalec ne comprit pas directement l’amplitude des changements qu’il avait subis. Ses sens avaient décuplés : il sentait la forêt, il lui semblait qu’elle n’était plus que l’extension de son propre corps. S’imposa alors dans son esprit embué par la surprise et les années de solitude, le devoir de protéger la forêt. Le reste de sa volonté propre, de sa lucidité s’enfouirent au plus profond de son âme. 
Depuis les rares troupes qui s’aventurèrent dans la forêt furent massacrées par Akalec qui transformé en loup sauvage décima les troupes quelque soit leurs origines humaines ou elfes.
Les décennies s’écoulèrent et Holubi Dum resta vierge de l’activité des hommes, tel un îlot mystérieux, délaissé et abandonné par les rois, où la Nature régnait en maître.


Le Nouvel Age débutait. Aux abords de la forêt des villages naissaient ; ils gardaient toutefois une distance respectable de celle-ci et ne coupaient les arbres qu’avec parcimonie en lisière. Dans l’un d’eux une jeune fille Calypso habitait. C’était l’image même de la gaieté et de l’énergie de vivre. Elle aimait particulièrement la forêt : son affinité était telle qu’on la destinait à une carrière de druide. Sans peur elle s’aventurait dans la forêt pour se reposer à l’ombre d’un géant d’acier (un immense arbre dont le bois était réputé pour ne jamais pourrir), ou bien pour observer les animaux et chanter avec les oiseaux de sa voix enfantine. Là où les villageois voyaient une forêt ténébreuse et dangereuse, elle voyait un endroit chaleureux et reposant dans lequel elle pouvait admirer la beauté de la forêt
 
Ses jours heureux furent cependant brisés lorsque dans un incendie accidentel, sa famille entière périe et seule elle survécut étant sortie pour chercher de l’eau. Folle de douleur et perdant à demie la raison elle partit se réfugier dans le seul milieu qui pouvait l’apaiser : les bois de Holubi Dum. Elle courut encore et encore sans s’arrêter, perdant la notion du temps, de la distance comme pour échapper à cette douleur lancinante. Exténuée et sanglotant elle s’effondra aux pieds d’un arbre qui paraissait être centenaire, ce n’était en effet pas un arbre commun mais un « originel » soit un patriarche de Holubi Dum, un arbre bénit de Verdanna qui n’était pas affecté par le temps. Se lovant au creux de ses racines, Calypso s’endormit laissant s’emporter par ses rêves.


Akalec qui occupé à parcourir Holubi Dum, fut interpellé par un frisson qui parcouru l’ensemble de la forêt. Une détresse sans fond éclatait au loin, et la forêt réagissait comme essayant de consoler la personne en proie à cette tristesse. Il se dirigea vers la source et arriva prêt de la femme. D’abord choqué qu’un humain puisse communier avec les originels, il hésita à la tuer un instant, considérant la fille une créature irrationnelle. La pureté qui émanait de l’endormie le retint finalement, il décida de la soigner. Se transformant en cerf, il changea ses bois afin qu’ils puissent l’accueillir sans la blesser.

Alors qu’il l’amenait vers son refuge, une partie oubliée de son âme, semblait se réveiller : des sentiments ainsi que la compassion resurgissaient, fissurant ainsi la coquille dans laquelle il vivait depuis des siècles.
Arrivé, il la déposa dans son refuge. L’entrée se situait aux pieds d’un géant d’acier, à la manière d’une tanière mais en plus grand. Une fois le boyau traversé, ils débouchèrent dans une modeste cavité, un carré de 3 mètres de côté et 2 mètre de hauteur éclairée par les lucioles qui attirées par la chaleur de l’endroit, s’y était réfugiée. La tanière se situait juste en dessous du vénérable arbre. Au sol une litière confortablement garnie, prenait la majorité de la place, l’air quoique lourd était apaisant et sain.
 

III. LE RÉVEIL

Calypso sortit enfin des limbes de son sommeil profond, dans son dernier rêve elle avait ressentie, une chaleur intense mais agréable et que son corps entier était parcouru de vrombissements sonores. Tirés de son sommeil, elle se réveilla et se rendit compte de la situation. Un immense loup (la forme préférée d’Akalec) au pelage gris dormait et son souffle provoquait les tremblements dans le corps de la jeune femme, le loup était enroulé autour de Calypso afin de la réchauffer.


Calypso n’eut pas de mouvement de recul, la forêt lui avait appris de ne pas s’arrêter aux premiers abords et surtout que les animaux n’étaient fondamentalement pas méchants. Le loup qui lui faisait face, paraissait pourtant différent, de par sa taille naturellement mais aussi par ce qu’il dégageait quelque chose de particulier, que Calypso n’arrivait pas à définir. Perplexe et curieuse, elle tendit la main vers les poils de la bête remontant jusqu’à la tête.
Akalek fut tiré de son sommeil par une texture douce et chaude qui le chatouillait. Vif il ouvrit ses yeux, vert clairs et tomba museau à nez de la jeune fille qu’il avait amené 2 jours auparavant et qui ne s’était pas réveillée depuis. Il avait veillé sur elle afin de s’assurer qu’elle reste en vie.

Décontenancé sur l’instant, il reprit ses esprits et d’une voix rocailleuse qu’il n’avait pas utilisée depuis longtemps, il dit :
« Ne craint rien, je ne souhaite pas te faire de mal, la forêt te considère comme son amie »

Calypso fut frappé par le fait que la créature en face d’elle lui parle. Mal assurée elle répondit
« Je me nomme Calypso, et vous seigneur de cette forêt qui êtes-vous ? »

Elle fixa les yeux de la bête, verts il semblait vous terrasser par leur intensité. Ils saillirent au moment où Calypso posa la question.
« J’ai connu bien des noms, tous les plus différents des autres, mais appelle moi « le gardien » ou bien Arkandir »

Calypso ne parut pas satisfaite pas cette réponse,
« Mais ton nom, ton VRAI nom » répéta-t-elle obstinée."


Akalek resta silencieux le temps de quelques battements de cœur. Les lucioles éclairaient toujours la tanière, de leur lumière chaude et douce à la fois, car la lumière du soleil n’atteignait pas l’extrémité du boyau. Les ombres des 2 interlocuteurs s’allongeaient sur les parois irréguliers de la tanière, s’entrecroisant telles des flammes. Un courant d’air tiède provenant de l’extérieur, apportait l’odeur fraîche de la rosée et allégeait ainsi l’atmosphère.
Il s’ébroua. Il était perplexe et savait que donner son vrai nom aurait une signification, cela reviendrait à signer un pacte qui le lierait avec cette fille spéciale. Un sentiment inconnu provenant du fond de son cœur et de la Scylia qui vivait en son sein, l’étreignit. L’image confuse de Verdanna lui revint à l’esprit, et ce fut cette mémoire qui le poussa finalement à répondre à l’interrogation de cette Calypso.

Le cœur battant à la chamade, il répondit d’une voix basse, presque inaudible
« …… Akalec….. »

A ce simple mot, il sembla reprendre possession de son nom longtemps oublié, le temps se figea et le corps bestial d’Akalec se brouilla pour laisser paraître son corps humain aux muscles puissants. Emerveillé d’être redevenu ce qu’il était avant, il s’attacha profondément à Calypso laquelle lui retourna ses sentiments. Plus il passait du temps avec elle, plus ses souvenirs en tant que humain refaisaient surface, son humanité revenait et il utilisait de moins en moins ses dons de Arkandir, pour se rattacher à son côté « humain ».

Les années passèrent sans encombre et ils continuèrent de vivre ensemble, un amour profond les liait tout deux. Ce bonheur puissant, se répercuta sur la forêt, elle devint plus accueillante avec des animaux moins sauvages ainsi que plus de trouées  qui laissaient passer la lumière du jour.
Cette période bénie ne pouvait durer……
 

IV. DRAME ET CONSÉQUENCES

 
Malheureusement le passé d’Akalec le rattrapa petit à petit, son devoir était vers la forêt et non envers Calypso. Avec oppression, la Scylia lui rappelait son devoir et le tourmentait avec une insistance grandissante. Ce dilemme l’obsédait sans cesse, l’amenant souvent à la limite du gouffre de la folie. Ce rappel pris la forme d’une tache noire qui ne cessait de s’étendre au fil des années et qui rendait ses crises plus longues et douloureuses. Cette tâche tel un tatouage funeste apparut dans son dos au même niveau que son cœur. Au début Akalek ne la remarqua pas, mais petits a petit lors des moments de bonheur la tâche le démangeait. Cette sensation de démangeaison se transforma avec le temps en mal de tête intense puis en douleur folle... Les rares sages qui connaissent l'histoire pensent que c'est Verdana qui jalouse de l'amour que portait Akalek à Calypso, le punit de la manière la plus cruelle qui soit:
Les douleurs se firent plus régulières, devenant presque quotidienne. Un soir après une journée idyllique, dans un bref éclat de folie causé par la douleur lancinante qui lacérait son esprit depuis des mois, Akalek perdit toute forme de contrôle et sombra dans la fureur. Il se transforma en bête féroce et déchiqueta Calypso qui alerté par les hurlements d'Akalek avait accourue. Seul ses cris d’impuissances et ses larmes le rappelèrent, c’est ainsi qu’il vit sa femme décéder dans ses bras ensanglantés. Plongé dans un lac noir de désespoir, il érigea une tombe faite du bois blanc des géants d'acier. Ce bois reste encore teinté du sang de ses mains qui coupèrent les géants d'acier pourtant réputés indestructibles. 
 
Suite à la mort de Calypso, Akalek perdit toute raison de vivre, même son amour pour la forêt. Ainsi le devoir qui autrefois lui dictait de protéger Holubi Dum, ne l’influençait plus. De son désespoir naquirent les Gryffins : des créatures qui prirent forment de sa folie et protégèrent la forêt à sa place.
Les Gryffins sont de grands lions noirs à tête de rapace et aux pattes ornées de serres. Ils ne possèdent pas de pelage mais des écailles mates qui recouvrent l’ensemble de leur corps, formant ainsi une véritable armure. Leur regard ne peut être supporté et provoque de fortes nausées. Leurs griffes acérées sont empoisonnées. Seule une dizaine de ces créatures naquirent, elles reprirent la protection de la forêt avec autant d’assiduité qu’Akalek.
 
Akalek quant à lui s’endormit dans un sommeil sans fin au pied du tombeau de Calypso qu’il avait érigé dans la clairière où il avait trouvé la Scylia : où tout avait commencé…
Son corps repose y encore, figé dans le temps et dans l’oubli, caché dans un temple de la Nature au cœur même de Holubi Dum. Les siècles passèrent et le nom d’Akalec, de « gardien » et d’Arkadir disparurent pour laisser place au nom « le roi de Bruyère ».
 
On raconte que « le roi de Bruyère » ne se réveillera jamais sauf si la forêt est en danger profond et que les gryffins ne sont pas suffisant pour sa défense. Il entrerait alors dans une rage incontrôlable et détruirait tout sur son passage, sans pitié abattant même sa fureur sur les villages alentours. La forêt se transformerait d’un endroit propice à la vie à une forêt de la mort.
Le roi de Bruyère se réveille  est synonyme de malheur aujourd’hui.
Une autre légende raconte que celui qui tuera le Roi de Bruyère héritera de ses pouvoirs, mais devra à son tour protéger le domaine de Verdanna. L’endroit où repose le roi dormant reste encore inconnu, perdu dans le dédale de cette immensité verte.
 
Le roi de Bruyère est en dehors du temps. Il est une ombre, dessinée par des milliers de fines aiguilles de lumière perçant les interstices du plafond de la salle vivante. Il est épines et primevères, racines et branches et lierre, aux doigts de sarments. Sa barbe et ses cheveux sont des amas de mousse grise et verte, et des branches torses s’échappent de son crâne comme des cornes.
Mais son visage, son visage est de mottes de lichen tapissant un crâna humain, des fleurs noirs éclosent dans ses orbites.
 
Parmi les rares héros qui se sont aventurés plus profondément que la lisière de la forêt, tous assurent que lorsque le vent souffle il porte avec lui le nom de « Calypso »…..


Caractéristiques du Gardien/ Roi de Bruyère : (On ne les a jamais vues, mais c’est pour répondre à la curiosité insatiable des lecteurs  ) Cette entité possède un pouvoir immense et est immortelle :
        
           - Son corps ne possède pas de forme distincte, celui-ci change au gré de ses besoins : que ce soit une nuée d’oiseaux ou bien la forme humanoïde qu’il aborde auprès du tombeau
          -  Le Roi de Bruyère ne fait qu’un avec la forêt, les arbres lui obéissent et il saura les utiliser pour se défendre ou bien même attaquer
          - Il affectionne tout particulièrement les ronces qu’il utilise avec une efficacité redoutable. Celles-ci épaisses de quelques centimètres à plus d’un mètre de diamètre peuvent à la fois former un mur infranchissable ou bien des lances meurtrières.
          -  Généralement il ne peut être affecté par les coups, son essence réside dans la forêt : tant que la forêt est, il sera
          - Il peut guérir les personnes, animaux et arbres : cette capacité de purification est très utile pour ses alliés


Rappel : S’il paraît tout puissant de cette manière, il faut garder en tête plusieurs limites

          - En ce moment il est plongé dans une hibernation profonde, ce qui fait de lui un être pacifique. Seule une menace imminente pesant sur la forêt le réveillerait.
          - A son réveil il n’aurait pas de conscience ni de volonté propres. En effet, c’est l’instinct de protéger la forêt qui le guide et rien d’autre.
          - Il pourrait exister de rares artefacts capables de le tuer mais ceux-ci sont perdus.

[Odysseus]

Woaw, c'est franchement génial, je pensais pas que tu arriverais a faire quelque choses d'aussi complet . Bien, a mon tour maintenant.. j'éspère arriver a faire ça vite.

[Odysseus]

Mais une question. Chaques reliques ont leurs limites, un point faible, une contrainte qui empêche son possesseur de devenir un dieu a proprement parler : le gardien ne pourra jamais être aussi puissant que Verdanna, et même s'il est sous son emprise, une limite s'impose, laquelle est-ce ?

[Mortelune]

Hello, comme promis, j'ai tout lu !

D'abord quelques remarques sur la forme : C'est facile à lire et plutôt cohérent. J'ai noté quelques petites fautes mineures d'ortho qui ne nuisent pas au texte.

Sur le fond, c'est vraiment bien. J'aime l'histoire et son originalité. Peut-être que les aptitudes du Gardien auraient put-être un peu plus développées pour que l'on se rende un peu mieux compte de sa puissance.

Je trouve par contre que la mort de Calyspo est mal amenée et tombe un peu comme un cheveux sur la soupe. L'histoire de la tache noire qui grandit est un peu bâclée, du coup, les raisons qui poussent Akalec à tuer son aimée ne sont pas bien vendues. Même si on devine que c'est la jalousie de la foret/Verdanna qui pousse le gardien à la tuer. Ça pourrait être mieux romancé.

Sinon d'une façon générale c'est vraiment sympa.

[yellowhub]

ehe merci à tous

@dawn: pour la puissance du gardien, je considère que vu qu'il ne peut être tuer (pck déjà faut le trouver et ensuite tuer un être immortel s'avère être difficile) et bien il n'y a pas de risque à ce que ce pouvoir tombe dans de mauvaises mains, 
mais t'as raison je vais faire un truc plus détaillé pour ses pouvoirs ^^
de plus et je vais le préciser sur la fiche, le gardien est techniquement un être pacifique qui en ce moment "hiberne"

@mortelune: tout d'abord merci
ensuite je suis tout a fait d'accord avec toi, en fait c''était pas mon principal objectif de décrire leur relation et je pense aussi que sa mort est trop abrupte
je corrige ça dans la journée

[yellowhub]

coucou tout le monde, j'ai ajouté les corrections <3 
(pour la mort de calypso et les pouvoirs du gardien
merci pour votre lecture ^^

[uriel]

OH MON DIEU C'EST GENIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAL *idée de dessin a la chaine *

[yellowhub]

aha merci bcp Uriel, 
franchement ça me fait très plaisir que tu me dises ça   
vu le peu de personnes qui on vu le poste voilà je suis tout content ^^

[Jolebo]

Rappelle-moi de venir lire.

[Jolebo]

Oh merde.

Yellow', tu as payé quel écrivain pour écrire ça ?

C'est aussi super-extra-génial que surprenant. Une histoire sans prétention, bien glissée dans le background de Zaerod, apportée avec un talent réel.

J'aime.

[Assiah]

Tu as raison Yellow, c'est effectivement le genre d'histoire que j'adore. Une histoire envoûtante d'ailleurs j'aime le principe d'un gardien de la forêt ça me fait penser à un bouquin que j'ai lu dernièrement d'ailleurs (ou à un manga que j'ai vu mais je ne saurais plus te dire lequel). Toujours est-il que c'est génial, le gardien me semble un être attachant et j'aimerais bien le réveiller ^^.

Pour moi c'est tout simplement magique dans la beauté de la Nature et de sa toute puissance. Je m'incline bien bas devant ton imagination et l'inspiration magistrale dont tu as fait preuve dans ton écriture. 

Bravo

[yellowhub]

vous allez me faire rougir tout les deux .....
 @jo: l'écrivain à été payé durant mes cours de philo ou qd je m'ennuyais pendant 5 mois

@assiah: merci bcp <3

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