[Légende] Arbégal
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[Légende] Arbégal
Cette histoire se déroule dans un monde que vous ne connaissez pas, sauf si vous l’avez déjà lue, cela va de soi. Le nom de ce monde est Arbégal. S'il ne vous dit rien, c’est normal. Dans ce monde pour le moins étrange, vous allez avoir affaire à des créatures étranges, elles aussi. Vous n’y rencontrerez ni cheval, ni chien, mais plutôt trolls et dragons. Mais ceci n’est pas la seule chose que vous devez savoir. Vous vous en doutez mais, à part des créatures étranges, vous trouverez également de la magie. Et aussi vaste que soit son domaine, ne retenez qu’une chose : rien n’est impossible.
Maintenant que vous en savez un peu plus sur le monde d’Arbégal, nous allons pouvoir commencer l’histoire…
…Tout commença à l’époque où le chaos était maître, l’époque où chaque race combattait toutes les autres, l’époque où le mot paix ne signifiais rien. A cette époque, il faisait sombre sur Arbégal, le sang coulait à flots et le soleil refusait de briller. Les historiens appellent cette époque l’âge rouge. En ce temps, trois grandes races existaient, à côtés d’elles plusieurs autres, bien plus moindres, luttaient pour leur survie. Ces trois grandes races, malgré qu’elle aient les mêmes ancêtres, se faisaient la guerre sans arrêt. Elles possédaient chacune une partie du monde et tentaient de conquérir les deux autres. Pendant près de mille longues années ce conflit sans fin dura. La première race, les Getalins, étaient de loin les plus nombreux. Leur force résidait dans leur nombre, leur patriotisme et leur inventivité. Ils vivaient comme des fourmis dans des communautés soudées. Chaque ordre de la reine était effectué sans discussion, chaque nouvelle invention apportait un peu plus de cruauté dans leur manière de se battre. Oui, car les Getalins étaient extrêmement féroces et cruels. Ils n’avaient aucun stratégie et se battaient avec tous les moyens du bord, y compris la maladie et la contamination. Le Getalin moyen mesurait à peu près un mètre cinquante de haut. Sa couleur de peau était verte ou rouge, noire quand il vivait dans la crasse. Sa force est comparable à celle d'un adolescent d’une quinzaine d’années. Mais sa souplesse allait bien au delà.
La seconde race, les Liners, étaient presque tout l’inverse. Ils étaient nombreux aussi, certes, mais beaucoup moins. Leur stratégie reposait sur la préparation et l’ordre. En situation de crise, chaque Liner savait ce qu’il avait à faire. Ils vivaient en grandes communautés libres, chacun avait le droit de faire ce qu’il voulait, en respectant une loi stricte et longue de plusieurs volumes. La seule force qui était au dessus de la loi était l’armée. Quiconque se faisait recruter devait, de gré ou de force, rejoindre l’armée. Cette armée ne cessait de grossir et de gagner en puissance. C’est certainement pour cela, et peut-être à tort, que les Liners pensaient être les plus forts. Le Liner moyen avait la taille d’un homme, voire un peu plus petit, moins fort que lui, mais plus rapide. Sa couleur de peau est claire, presque blanche, et ses yeux sont verts, quasi tout le temps.
La troisième race, les Korpents, était le peuple des forêts. Vivant constamment dans les forêts, ceux-ci avaient acquis une force incomparable. Ils se fondaient dans la nature et prenaient tous leurs ennemis au dépourvu. Leur communautée étaient fermées et séparées en petits groupes. Il y avait également beaucoup d’ermites. Dans leurs villes et villages, chaque membre devait apporter quelque-chose. C’est de cette race que l’on trouvait le moins de représentants. Le Korpent de base mesurait deux mètres de haut, sa peau était claire, voir verte. Sa force phénoménale et son agilité hors du commun font de lui un ennemi extrêmement redoutable. Chez les Korpents, il n’y avais pas de stratégie réelle, leurs armées sont simplement constituées des meilleurs combattants de la planète.
C’est dans une ville Linerienne que se passa la chose qui allait mettre fin à l’âge rouge. Cette chose, bien qu’elle fut le raison de beaucoup de morts, fut bénie par la suite car c’est grâce à elle que le mot paix apparu dans les dictionnaires de l’époque. C’est lorsqu’un jeune apprenti en magie beaucoup trop curieux pénétra dans le bureau de son professeur sans autorisation que nous allons commencer le récit de l’incident qui fut la cause du début de l’age d’or. Cet apprenti, un Liner, vous vous en doutiez, avait décidé de devenir puissant. Ceci étant plus facile à dire qu’à faire, son ambition était aussi grande que son courage, et c’est pour ça qu’il osa pénétrer dans le bureau de son maitre. Jetant un coup d’œil aux alentours, il posa sa main sur la poignée de la lourde porte en bois. Dans un mouvement aussi silencieux que discret, il se glissa par l’ouverture après avoir enclenché le mécanisme de la porte. Tremblant de tous ses membres, Féon l’apprenti referma la porte aussi discrètement que possible, ce qui émit un petit cliquetis. C’est avec un sourire malicieux qu’il avança vers la bibliothèque tant convoitée. Sans même laisser son esprit savourer cette demi-victoire, il commença à lire les titres des nombreux volumes de magie : ‘comment enseigner la magie’, ‘guide des légendes d’Arbégal’, ‘Créatures étranges et sauvages’, etc… Pendant plusieurs minutes, les noms défilaient sous les yeux de Féon, mais il ne trouvait pas ce qu’il cherchait. Ce n’est qu’en arrivant vers la fin de la bibliothèque, ayant presque perdu tout espoir, que le livre recherché lui apparu : ‘Tout sur la nécromancie par Juni Verse’. C’est alors qu’il saisit rapidement le livre et qu’il le cacha dans son sac de cours. Il s’avança vers la porte pour quitter la pièce à toute vitesse, lorsque celle-ci s’ouvrit…
- Que faites-vous ici, apprenti Féon ? demanda le professeur Brunnock avec un regard sévère.
Sa voix n’était par celle de l’homme en colère, mais plutôt celle de l’homme surpris. Le professeur portait un habit rouge avec des bords blancs, il avait un collier peu visible derrière sa longue barbe grise. Les sourcils froncés et le visage ridé par la vieillesse, il attendait une réponse.
- Ah, professeur Brunnock, je vous cherchait justement. Vous vous rappelez du sortilège que vous nous avez expliqué ? Celui qui nous allons apprendre seulement en deuxième année. Le sortilège de lévitation.
- Oui, oui, je vois. Eh bien, qui a-t-il, dépêchez-vous !
- Voilà, j’ai un peu cherché dans les manuels des deuxième année et j’ai essayé le sortilège, et j’ai réussi !
- Cela m’étonnerai. Je ne suis pas un vieillard sénile, comme vous voulez bien le croire. Allez vous-en maintenant !
- Bien, termina Féon en s’inclinant.
Et c’est en soupirant discrètement que l’apprenti quitta la pièce.
Maintenant que vous en savez un peu plus sur le monde d’Arbégal, nous allons pouvoir commencer l’histoire…
…Tout commença à l’époque où le chaos était maître, l’époque où chaque race combattait toutes les autres, l’époque où le mot paix ne signifiais rien. A cette époque, il faisait sombre sur Arbégal, le sang coulait à flots et le soleil refusait de briller. Les historiens appellent cette époque l’âge rouge. En ce temps, trois grandes races existaient, à côtés d’elles plusieurs autres, bien plus moindres, luttaient pour leur survie. Ces trois grandes races, malgré qu’elle aient les mêmes ancêtres, se faisaient la guerre sans arrêt. Elles possédaient chacune une partie du monde et tentaient de conquérir les deux autres. Pendant près de mille longues années ce conflit sans fin dura. La première race, les Getalins, étaient de loin les plus nombreux. Leur force résidait dans leur nombre, leur patriotisme et leur inventivité. Ils vivaient comme des fourmis dans des communautés soudées. Chaque ordre de la reine était effectué sans discussion, chaque nouvelle invention apportait un peu plus de cruauté dans leur manière de se battre. Oui, car les Getalins étaient extrêmement féroces et cruels. Ils n’avaient aucun stratégie et se battaient avec tous les moyens du bord, y compris la maladie et la contamination. Le Getalin moyen mesurait à peu près un mètre cinquante de haut. Sa couleur de peau était verte ou rouge, noire quand il vivait dans la crasse. Sa force est comparable à celle d'un adolescent d’une quinzaine d’années. Mais sa souplesse allait bien au delà.
La seconde race, les Liners, étaient presque tout l’inverse. Ils étaient nombreux aussi, certes, mais beaucoup moins. Leur stratégie reposait sur la préparation et l’ordre. En situation de crise, chaque Liner savait ce qu’il avait à faire. Ils vivaient en grandes communautés libres, chacun avait le droit de faire ce qu’il voulait, en respectant une loi stricte et longue de plusieurs volumes. La seule force qui était au dessus de la loi était l’armée. Quiconque se faisait recruter devait, de gré ou de force, rejoindre l’armée. Cette armée ne cessait de grossir et de gagner en puissance. C’est certainement pour cela, et peut-être à tort, que les Liners pensaient être les plus forts. Le Liner moyen avait la taille d’un homme, voire un peu plus petit, moins fort que lui, mais plus rapide. Sa couleur de peau est claire, presque blanche, et ses yeux sont verts, quasi tout le temps.
La troisième race, les Korpents, était le peuple des forêts. Vivant constamment dans les forêts, ceux-ci avaient acquis une force incomparable. Ils se fondaient dans la nature et prenaient tous leurs ennemis au dépourvu. Leur communautée étaient fermées et séparées en petits groupes. Il y avait également beaucoup d’ermites. Dans leurs villes et villages, chaque membre devait apporter quelque-chose. C’est de cette race que l’on trouvait le moins de représentants. Le Korpent de base mesurait deux mètres de haut, sa peau était claire, voir verte. Sa force phénoménale et son agilité hors du commun font de lui un ennemi extrêmement redoutable. Chez les Korpents, il n’y avais pas de stratégie réelle, leurs armées sont simplement constituées des meilleurs combattants de la planète.
C’est dans une ville Linerienne que se passa la chose qui allait mettre fin à l’âge rouge. Cette chose, bien qu’elle fut le raison de beaucoup de morts, fut bénie par la suite car c’est grâce à elle que le mot paix apparu dans les dictionnaires de l’époque. C’est lorsqu’un jeune apprenti en magie beaucoup trop curieux pénétra dans le bureau de son professeur sans autorisation que nous allons commencer le récit de l’incident qui fut la cause du début de l’age d’or. Cet apprenti, un Liner, vous vous en doutiez, avait décidé de devenir puissant. Ceci étant plus facile à dire qu’à faire, son ambition était aussi grande que son courage, et c’est pour ça qu’il osa pénétrer dans le bureau de son maitre. Jetant un coup d’œil aux alentours, il posa sa main sur la poignée de la lourde porte en bois. Dans un mouvement aussi silencieux que discret, il se glissa par l’ouverture après avoir enclenché le mécanisme de la porte. Tremblant de tous ses membres, Féon l’apprenti referma la porte aussi discrètement que possible, ce qui émit un petit cliquetis. C’est avec un sourire malicieux qu’il avança vers la bibliothèque tant convoitée. Sans même laisser son esprit savourer cette demi-victoire, il commença à lire les titres des nombreux volumes de magie : ‘comment enseigner la magie’, ‘guide des légendes d’Arbégal’, ‘Créatures étranges et sauvages’, etc… Pendant plusieurs minutes, les noms défilaient sous les yeux de Féon, mais il ne trouvait pas ce qu’il cherchait. Ce n’est qu’en arrivant vers la fin de la bibliothèque, ayant presque perdu tout espoir, que le livre recherché lui apparu : ‘Tout sur la nécromancie par Juni Verse’. C’est alors qu’il saisit rapidement le livre et qu’il le cacha dans son sac de cours. Il s’avança vers la porte pour quitter la pièce à toute vitesse, lorsque celle-ci s’ouvrit…
- Que faites-vous ici, apprenti Féon ? demanda le professeur Brunnock avec un regard sévère.
Sa voix n’était par celle de l’homme en colère, mais plutôt celle de l’homme surpris. Le professeur portait un habit rouge avec des bords blancs, il avait un collier peu visible derrière sa longue barbe grise. Les sourcils froncés et le visage ridé par la vieillesse, il attendait une réponse.
- Ah, professeur Brunnock, je vous cherchait justement. Vous vous rappelez du sortilège que vous nous avez expliqué ? Celui qui nous allons apprendre seulement en deuxième année. Le sortilège de lévitation.
- Oui, oui, je vois. Eh bien, qui a-t-il, dépêchez-vous !
- Voilà, j’ai un peu cherché dans les manuels des deuxième année et j’ai essayé le sortilège, et j’ai réussi !
- Cela m’étonnerai. Je ne suis pas un vieillard sénile, comme vous voulez bien le croire. Allez vous-en maintenant !
- Bien, termina Féon en s’inclinant.
Et c’est en soupirant discrètement que l’apprenti quitta la pièce.
Jolebo- Fondateur
Fiche de personnage
Nom: Groshnak
Race et classe: Sage Demi-orque
Compétences:
Re: [Légende] Arbégal
On n'a jamais retrouvé la suite de ce livre. Il parait que ce sont de téméraires aventuriers qui ont rapporté cette histoire d'un de leurs voyages dans un monde parallèle.
Rien n'est moins sûr, toutefois. C'est peut-être pure invention d'un écrivain qui cherchait la gloire.
Rien n'est moins sûr, toutefois. C'est peut-être pure invention d'un écrivain qui cherchait la gloire.
Jolebo- Fondateur
Fiche de personnage
Nom: Groshnak
Race et classe: Sage Demi-orque
Compétences:
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