Lysa [EN COURS DE REDACTION]

[Ellana]

Noms, prenoms, pseudos : de son vrai nom Lysa de la Martinière, même si elle affirme s'appeller Lysa Martinière.
Age : 10ans
Race : humaine
Classe : gamine/enfant des rues
Alignement : Bon (chaotique ? Neutre ? Loyal ? Ce n'est qu'une gamine, elle ne sait pas ce qui est juste ou pas)

Pouvoirs : peut émouvoir/charmer les gens
Possède aussi la capacité de changer ses yeux de couleur, et avec cela son humeur.

Histoire :
Lysa est née dans un grand château, entouré d'un grand parc dont elle ne connait que l'allée principale, n'ayant jamais exploré le reste. Elle était habituée, dès sa plus tendre enfance, à porter un masque sur son visage, comme tous les membres de sa famille, bien qu'elle ne sache pas pourquoi. Les jeunes filles qui étaient à son service étaient tenues de ne jamais la regarder dans les yeux, bien que Lysa ne s'en privait pas. Cherchant, comme tous les enfants, à s'amuser, elle prenait même un malin plaisir à tenter de croiser leur regard, mais n'y parvint jamais. Elle avait l'habitude d'obtenir tout ce qu'elle décidait, quoi qu'elle demandât, mais ce qui manqua à son enfance fut de vrais parents, aimants et attentionnés, et des enfants de son âge avec qui jouer. Elle se tenait toujours droite, sûre de sa supériorité par rapport aux autres.
Un jour, elle était en train de dormir paisiblement, lorsqu'elle fut réveillée en sursaut par des cris; et une odeur qu'elle n'avait jamais sentie auparavant. Et alors, elle eut une idée de ce qu'était l'enfer tant décrit dans le Livre.
C'était la panique la plus totale, tout le monde était en train de fuir. Les servantes n'obéissaient plus à leurs maîtres, la fumée faisait s'étouffer les gens. Lysa assistait, stupéfaite, à ce chaos.
"Le feu, partout autour de moi. Les gens ont peur, mais pourquoi ? Pourquoi ont-ils peur de ce feu qui réchauffe les nuits d"hiver, de ce feu qui illumine le Livre ? Et quelle est cette fumée, elle m'empêche de respirer ? D'où vient-elle ? Une servante, devant moi. Je la reconnais, c'est l'une de celles qui devaient s'occuper de moi. Elle n'aimait pas ce travail. Elle aurait tout donné pour me ridiculiser. Je la déteste. Je me vois encore