Arrivée de Déternos

[deternos]

Déternos comme à son habitude arriva via un portail planaire, en effet il commencé a être au fait des chemin à travers les plan qu'il fallait prendre pour rejoindre Clantord. c'était la fin de l'hivers la journée était douce, Déternos était vétu de fourure et porté son barda de camping. Il alla se poser dans une taverne pour siroter une bière. Son visage était usé par la fatigue. Il prit une table et dis à la serveuse:" Une bière s'il vous plait..... et vous m'apporterez un clacos de fromage de l'ours à la bière et un peu de charcuterie "

[Jolebo]

La serveuse arriva et pris la commande de l'homme, qui était tout seul dans la taverne. Il était arrivée à une heure peu fréquentée dans une taverne peu fréquentée et sans personne le fréquentant. On aurait pu dire qu'il avait un tête à tête avec la serveuse, jusqu'à ce que sa commande soit prise et que cette dernière s'éloigne pour aller chercher ce dont il avait besoin.

A peine trois secondes après qu'elle soit entrée dans les cuisines et qu'elle ait disparu du champ de vision de Déternos, un cri de femme, suraigu, retentit.

[deternos]

Déternos se  leva  claqua des doit pour faire apparaitre un petit grimoire magique stocké a l'origine dans un demi plan, il le pris dans sa mains droite et pris son baton de la main gauche et s'approcha de la cuisine pour voir ce qu'il se passé, tout en voulant s'approcher il dit d'une voie fort et puissante:
- "oh la qu'est ce donc que ce vacarme".
Sont approche est lente et prudente.

[Jolebo]

Alors qu'il entre dans la cuisine, prudemment, un poêle surgissant de nulle part fonce vers son visage. L'éviter ne sera pas facile...

Il s'agit de cette même serveuse, d'apparence innocente, qui l'agresse en ce moment-même. Est-ce pour le détrousser, pour se venger d'une mauvaise parole ? Peut-être le mage ne le saura-t-il jamais... Tout cela pourrait dépendre de sa capacité à esquiver l'objet en fonte qui est à une fraction de seconde de lui fracturer le crâne.

[deternos]

Déternos tendis son bras pour parer avec sont battons , qui ne fit que ralentir grandemant la trajectoire de la poele. et commença la récitation d'un sort de surdité et de cécité temporaire pour neutraliser la serveuse, maintena le sort en court d'incatation à travers son baton et s'adressa à la serveuse avant la fin du sort en lui disant:
-" ça suffit vs allez vous calmer oui ! sinon je serai dans l'obligation de vous tuer!
Lors de ces quelques mot le regard de déternos était asséré glacial comme les diable de la 6 eme strates ( confer: royaume de glace de la 6 eme archidiabless graywok  D&D3.5 )


pensé intérieure:
Déternos avais beau etre mauvais il n'affectioné pas tué inutilement. c'était une nécromancien/élémentaliste ,pas un de ces idiot de barbares orques des plaines sauvages qui tué a vue ou par jeu.

[Jolebo]

La poêle heurta la bâton avec grand fracas, poussant le mage à travers l'entrebâillement de la porte. Il fit un pas en arrière, contre son gré, mais garda facilement son équilibre. Son crâne avait été touché par le bâton, qui lui-même avait été touché par l'impressionnant récipient de cuisine, désormais utilisé comme arme par la serveuse.

Alors que cette dernière s'apprêtait à insister - mais qu'avait-il donc fait, ce pauvre mage ? - elle devint subitement aveugle et sourde. Le monde semblait l'avoir laissé tomber et une panique incroyable s'empara d'elle. Elle fit des moulinets dans tous les sens avec son arme improvisée, projetant de objets déposés sur les tables de la cuisine dans tous les sens. Un couteau vint de planter pile entre les deux pieds du mage, ce qui n'aurait pas manqué de faire peur à un quelconque bourgeois, s'il s'était retrouvé dans cette situation.

Le mage esquiva un tomate qui fila vers lui d'un geste ample quand la serveuse cessa sa folie. Elle se tenait là, haletante, les larmes aux yeux. Elle s'assit et pleura :
<< C'est eux qui m'ont forcée... >>

Elle ne s'entendait même pas parler, la pauvre, à cause de la surdité temporaire provoquée par la magie de son client...

[deternos]

Le mage d'un revers de la main leva le charme et dit d'un ton rassurant :
-Calmez vous, c'est qui eux?Des ennemie du clan Van Castle? Des gens qui ont pris en otage des membres de votre famille? dites moi. Que je fasse de leurs viscères mon nouveau sujet d'expérimentation.

Il regarda d'un air sadique la serveuse, en ayant un certain plaisir en ce disant qu'il allait légitiment enfin pouvoir torturer des être humanoïde..... Et ce délecter de leur souffrance. Et poursuivit en montrant ostensiblement sa chevalière familliale :
-Je ne vous demande qu'une chose, Avoir une bière et un peu de fromage quant je passerai dans cette taverne et cela à vie.   

Il savait qu'il n'allais pas tirer grande pièce d'or de cette malheureuse mais s'il pouvait avoir un endroit ou manger et boire il serait ravi. Déternos savait aussi qu'il fallait être fou, idiot ou bien organisé pour s'en prendre à une famille aussi méritoire que la sienne car même si les Von Castle étaient crainds par leurs méthodes, ils étaient respectés par leurs fait d'armes lors des différentes guerres.

[Jolebo]

Après un bon moment de larmes, elle finit par se calmer et retrouver une respiration plus ou moins contrôlée. Il était temps. Sa voix se fit tremblante, peu assurée, emprunte d'une émotion réelle.
<< Ils... ils ont débarqué dans ma cuisine et m'ont obligée... Je... Ils me tueront... >>

De nouvelles larmes jaillirent de ses yeux, mais elle ne hoquetait plus. On aurait dit qu'elle était résignée.

Ensuite, elle se leva péniblement et alla préparer la nourriture du l'homme qui venait de provoquer sa mort. Jamais elle ne serait excusée de ne pas avoir réussi à tuer le mage. Et alors qu'elle préparait le repas, elle sorti discrètement une petit fiole d'un mauve très foncé d'une des tiroirs qui lui faisait face. Impossible pour le mage de la voir agir. En tous cas, avec ses yeux.

Bientôt, elle lui apporta le repas, un maigre sourire au visage, mais les yeux toujours pleins de tristesse.

[deternos]

Le mage sachant la femme désespérai, il décida de la suivre discrètement en cuisine en utilisant ses pouvoir pour rester discret et demanda à la femme en restant dans son dos :
"- qui sont ils? Répondez moi sinon vous et votre famille connaitrez des tourment pire que la mort... " tourna le dos à la femme en restant vigilant mais par désinvolture, en repartant s'assoir et dit " maintenant dites moi tout et n'espérer pas me leurrer ni avec votre soupe ni avec vos instrument de cuisine, je m'attend à tout et cette fois je n'hésiterai pas à vous faire souffrir, sachez madame que je sais à quoi m'attendre des gens désespérer" 

Mental: Déternos et sa famille ayant connu la guerre et pour certain quelques tentative d'assassinant il savait que cette tavernière pouvait etre encore dangereuse tant que le problème n'était pas résolu ou tant qu'elle était encore vivante.... Il décida, de rester assit jusqu'à ce que les commanditaire ou leur second couteau débarque dans la taverne. et commença a dessiner des glyphe de magie élémentaire  et de feu noir invisibles, pour incinérer par mot de commande toutes personne hostile dans cette taverne, et partit ce planquer derrière un meuble...

[Jolebo]

[Tu permets que je fasse une pause ?]

[deternos]

dsl je te laisse faire (j'ai bien aimé ce début).

[Jolebo]

Après avoir servi le repas de son client, la serveuse resta debout près de lui, un moment. Son faible sourire avait disparu, laissant place à une expression sévère, sérieuse, qu'une personne pourrait avoir si elle tentait de garder son calme dans la panique. Ses yeux brillaient d'un éclat de défi. Celui qu'on a juste avant de commettre l'action de notre vie...

Elle se mit subitement à genoux, devant le mage, attrapa une de ses mains en la serrant fort, mais avec douceur, presque gentillesse. Son regard avait de nouveau changé pour laisse place à celui de la peur et de la panique. Son corps semblait pris d'un grand stresss et elle articula, si vite qu'on peinait à comprendre, quelque chose comme :
<< ViteSauvezMoiIlsArrivent >>

A ce moment-là, la porte de la cuisine explosa et une petite armée d'homme sortit d'un peu partout. A croire qu'ils avaient fait de cette auberge leur quartier général et qu'ils tenaient la serveuse en otage. Ce qui était le cas, bien sûr.

La douzaine d'homme se mit à encercler celui qui allait justement commencer son repas. Mais qu'ont-ils toujours, ces représentants du mal, à débarquer aux mauvais moments ?

Ils étaient tous habillés de brun. Un espèce de tissu qui avait pris la boue, ainsi qu'une odeur que même un porc d'élevage ne supporterait pas. On aurait dit qu'ils avaient vécu dans les égouts toute leur vie. Chacun d'entre eux avait une barbe plus ou moins longue, qui correspondait à peu près à l'âge qu'on leur aurait donné, même si cette réflexion n'est probablement pas la première qu'on aurait en se retrouvant dans pareille situation. Leurs armes étaient de très mauvaise qualité, mais toutes en métal ou en pierre. Nul morceau de bois à discerner. Etrange équipement, pour des bandits et des pillards...

Bientôt, le mage fut totalement encerclé...

[deternos]

déternos s'exclama:
"- vous auriez pu me laisser manger que diable, j'aurai était de meilleur humeur et aurait peut eu l'indulgence d'épargnez vos vie "

Les 12 homes pour l'instant n'osé attaqué  et tenais en respect Déternos. Celui se leva son baton à la main tenu fermement, et se retrouva au milieu de cercle composé des ces "hommes".

Déternos dit un mot, la femme tomba au sol de sommeil qui feignait la mort. ( rythme cardiaque tres faible , signe vitaux quasi inexistant )
Le but de la manœuvre est simple... Que les agresseur crois qu'elle est en train de mourir pour qu'il se retrouve au pied du mur et n'est d'autre choix que d'en arriver au armes envers lui.
Déternos leur dit: "vous croyez que la vie de cette aubergiste à une quelconque importance pour moi?" quand le corps de l'aubergiste tomba au sol il enchaina sur son preneur d'otage qui se penchait au sol pour la récupérer et qui essayer en vain de maintenir un couteau sous sa gorge. Déternos lança  de sa main gauche, un rayon bleuâtre affaiblissant sur le preneur d'otage pour saper et drainer sa force physique, et s'exclama: Chaque cadavre sera autant de pantin à mont service, avez vous vraiment envie de jouer... amener moi votre chef j'ai autre chose a faire qu'exterminer des second couteau!"

a ce moment la il se mit a faire luire les glyphe qu'il avait commencer à dessiner sur le sol de l'auberge d'un cout de baton sur le sol de sa main droite. celle-ci avait un éclat noir-rougeâtre et légèrement feu.

Et répéta avec une certaine fureur:- "Qui veut jouer?" Les yeux de Déternos s'emplire de flamme et un espèce d'aura rougeâtre se dégagé de lui.

[Jolebo]

Les hommes qui encerclaient Déternos attaquèrent de concert, de tous les côtés. Au moins trois lames filaient vers sont visage. Une à gauche, une à droite et une derrière.

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