arrivé de Korgul

[Lubash]

Sur une route en direction de Clantor, au beau milieu d'une épaisse et hostile forêt, une caravane de marchand s'avance paisiblement. S'ils paraissent calme, c'est surtout en raison des nombreuses pièce d'or qu'ils ont du débourser pour cette escorte de mercenaires et qu'ils sont persuader que la qualité se paye le prix fort, et de plus la plupart de ces mercenaires connaissent ces bois, ils y ont l'habitude de chasser. 

Draris Liron commandant de cette troupe de fière mercenaire ouvrai la marche, il connaissait ses bois et toutes les créatures qui le peuplait. Alors qu'il avançait d'un pas tranquille tout en pensant aux fut de bière qu'il se payerai avec la récompense, il aperçut au loin deux silhouettes canines, il hurla alors à ses hommes "Des loups! tous en position! je n'en vois que deux, le reste de la meute ne dois pas être loin, avancer tout en gardant vos position et ouvrer l'œil!

A quelque mettre de la caravane, à l'endroit exacte oui Draris a aperçut les loup, deux êtres canins sont en effet tapis dans les fourrés!
"Et voila, maugréa l'une des silhouettes, on est repérer, franchement t'es vraiment nul pour tendre une embuscade toi! c'est vraiment la dernière fois que je t'écoute!" la deuxième silhouettes lui répondit par un grognement désintéresser. 

Alors que la caravane s'approchait des loups, Draris vis un des deux loups se dresser sur ses des pattes arrières. Il s'arrèta net, de toute sa vie, il n'avait jamais vu ça! Il ordonna alors à ses hommes de ses mettre en position offensives et d'avancer très prudemment. Mais, plus ils avançaient, et moins le premiers loups ressemblait à un loup, et, pour ce qui est du second, il s'averrais qu'il étais de plus en plus gros, arriver à une distance de 20 mètres des opposant, il n'en croyait pas ses yeux, le loup rester à quatre pattes n'était pas un loup, c'était bien plus gros et plus dangereux! "Alors les légendes disait vraies, pensa-t-il tout haut, les wargs existe bel et bien!".

Le commandant observa alors le second "loup" qui s'était dresser sur ses deux pattes arrières un peu plus tot, comme il le pensait, ce n'était pas un loup lui non plus, mais ce qu'il voyait était bien pire : un demi-orques, c'était sur, il n'y a qu'eux pour avoir des canines inférieurs aussi saillante!

Le demi-orque portait une cape faite en peau de warg et dont la tête lui servait de capuche, c'est pour cette raison qu'il l'avait pris pour un loup lui aussi. Mais outre cette cape, le bandit n'était vétu que d'un pagne en peau de gibier! Aucune arme apparente, c'était pour lui l'occasion de montrer aux marchand que le prix demander en vaut la peine. Il lança alors à ses hommes d'attaquer leur adversaires!

Tois hommes chargèrent, le demi-orque mis alors une main dans son dos et sorti de sous sa cape une lance d'au moins taille et la planta dans la gorge d'un des 3 hommes, se qui stoppa net la course des deux restant. "comment peu il cacher une lance aussi grande son sa cape!" lança l'un deux en reculant au niveau des autres mercenaires.
"qui es-tu? lança le commandant Liron, et que nous veux tu?"
"L'on m'a nommé Korgul le vengeur, répondit calmement le demi-orque, et ce que je veux.. MMMmmmm...dite moi, que transportez vous?"
"Comment?!? tu nous tend une embuscade et tu ne sais même pas ce que l'on transporte!!"
"Je dois dire que l'embuscade n'était pas mon idée, mais celle de mon warg, lui répondit Korgul sur un ton sarcastique, et oui, je ne sais pas ce que vous transportez, mais je me suis dit qu'en attaquant au hazard quelques caravanes, j'aurait peut être la chance de tomber sur quelque chose d'intéressant. Maintenant, dite moi ce que vous transportez! ne m'obliger pas à aller voir moi même!"
"Des vêtements, des boucliers et de la vaisselle en direction de Clantor monseigneur." lui avoua un marchant térroriser
"Parfait, je vais prendre les vêtements, et en échange, je vous laisse vos vis, qu'en pensez, vous êtes gagnant! non?"
"si, vous avez raison" lui lança le commandant qui avait eu le temps de juger qu'ils n'avais pas la moindre chance contre lui maintenant qu'il était armé. Donnez lui tout les vêtement que vous transporter, ordonna-t-il au marchant, qui le firent en lui faisant remarquer que sa récompense s'en retrouverais grandement alléger.

Une fois les marchants partis Korgul se trouva un pantalon en toile et une cuirasse flambant neuve, cela faisait plusieurs mois qu'il n'avait pas trouver de vêtements à sa taille, d'où la peau de biche en guise de pagne. Il brula le restant des vêtements le soir même afin d'alimenter le feu le temps qu'il expliquait SON propre plan à son warg pour tendre une embuscade le lendemain, puis le jeune demi-orques et son compagnon s'endormir paisiblement malgré l'hostilité de la forêt.

[Brajkina]

La forêt dans laquelle vivait Leona non loin de Clantor était baignée par la douce lumière de l'aube. C'était une forêt calme et majestueuse, cependant lorsqu'on ne la connaissait pas elle semblait hostile et dangereuse. En effet, s'y aventurer sans avoir l'habitude ces bois était à vos risques et périls. Mais la jeune femme était accoutumée aux forêts, mieux : elle s'y sentait chez elle, elle était à l'écoute de la nature et de toutes les créatures qui y vivaient. 

Lorsque le temps était aussi clément que ce matin là, la banshee ne portait pas de bottes, elle marchait pieds nus à même la terre. Elle se sentait plus proche de la faune et de la flore ainsi et avait la curieuse impression de mieux ressentir les choses. Elle arpentait donc les sentiers sentant la brise fraîche de l'aurore caresser ses bras nus et passait ses doigts sur les feuilles des arbustes trempées de rosée. Pourtant ce matin là elle se promenait anxieuse, plutôt pour se rassurer que par réel plaisir. En effet, Leona n'avait pas réussi à fermer l’œil de la nuit, à la tombée du jour elle avait entendu des cris qui avaient vite cessés mais cela l'avait beaucoup inquiétée. Déterminée à trouver de quoi il retournait elle était à l’affût du moindre détail anormal. Elle se dirigeait vers le nord de la forêt, les cris entendus dans la nuit venaient de cette direction à n'en pas douter. 
Rapidement Leona sentit une odeur métallique très prononcée, acre qui lui irrita les narines : du sang. Il n'y avait que le sang pour dénoter pareillement avec le parfum boisée et floral de ces lieux. Elle se laissa guider par son odorat et fini par découvrir le corps de ce qui semblait avoir été un mercenaire baignant dans une marre de sang séché, collé aux feuilles et aux racines. La jeune femme partagée entre l'horreur de voir à nouveau -ce qu'elle aimait à appeler- "sa" forêt souillée par un meurtre et par le dégoût qu'elle éprouvait vis à vis de ce mécréant assassiné certainement froidement par un autre homme du même acabits tourna les talons et fila oublier cette vision macabre près d'un ruisseau. 

Sur le chemin du cours d'eau elle entendit une respiration forte mais calme, celle d'un animal, un gros. Sa curiosité piquée à vif, Leona prit parti de trouver cette bête. Encore une fois, elle se laissa guider par ses sens et s'approcha de plus en plus de ce son ronronnant. Dissimulée derrière un bosquet, elle pu observer à l'entrée d'une grotte une grosse boule de poils recroquevillée sur elle-même. Comme un gros loup. Leona était un peu loin pour en être sûre mais cela semblait être un warg. Elle n'en avait jamais vu en vrai, elle avait seulement lu bon nombre de récits à leur sujet. Il lui semblait cependant un peu petit pour être un warg, peut-être était-il un jeune warg ? Elle remarqua à peine ce qu'elle croyait être un homme à côté de l'animal légendaire et restait fascinée à contempler cette montagne de muscles, de poils et de crocs.

[Lubash]

Le soleil était déjà bien haut lorsque Korgul ouvrit les yeux. Il se mit alors, à pester contre lui : une fois encore, il était tomber dans un profond sommeil, et donc, par conséquent, il n'avais pas tenu conte des allez et venu des environs de la grotte où il à élu domicile. Le fort ronflement de son jeune compagnon lui fit alors revenir à la réalité. Le semi-orque se leva alors et, afin de réveiller le warg, lui donna un bon coup de pied dans le flan "Allez! Debout mon gros!" Le warg se réveilla alors en sursaut en émettant un grognement désapprobateur. "Quoi? si t'en as marre que je te réveille comme ça, t'as qu'à te lever plus tôt!". L'être canin fit mine de ne pas entendre et sorti de la grotte.
Une fois dehors, il fit accueillit par une faible bourrasque, qui lui fit virevolter ses longs poils noir, rendu brillant et soyeux par les brossages quotidiens de son maître. Mais autre que le fait de le rafraichir et de montrer à la forêt le fruit d'un entretient régulier, le vent lui apporta une odeur qui lui était presque inconnue, un humain! Mais un humain qu'il n'avait encore jamais croiser. Il ne mit que quelques dixièmes de seconde à le localiser. "T'as mis le temps pour t'apercevoir de sa présence! lui lança Korgul qui sortait de la grotte, mais ne t'en fais pas, ce n'est pas un ennemis, si c'était le cas, il nous aurait attaquer pendant notre sommeil, c'est un humain, les humains agissent toujours de façon lâche! Et si c'est un éclaireur, le temps qu'il avertisse ses supérieurs, nous seront déjà loin." 
Le semi-orque reparti alors dans la grotte et revins avec 4 lapins, il s'assit devant l'entrer de la grotte et en lança 3 au warg, "allez, mange un bout, attendons qu'il parte avant de reprendre la route!". Le warg ne l'écoutait déjà plus, il s'acharnait à retirer la corde des pattes de lapins que son maître avait laisser pour ne pas qu'il les engloutissent d'un seul et unique coup.

[Brajkina]

Un peu plus tard l'homme se réveilla et lorsque qu'il se dressa sur ses jambes Leona détourna son attention du warg pour se rendre compte qu'il ne s'agissait pas d'un humain. Il était ce qu'on appelle un semi-orque. Encore une fois, c'était une première pour elle. Elle avait lu que cette race reste plutôt en clan, entre-eux et ne se mêle que rarement aux autres races. A la fois surprise, curieuse et effrayée Leona le dévisagea. Ses canines qui sortaient de sa mâchoire, ce teint grisâtre et ce regard froid lui donnait un air assez impressionnant et plutôt agressif. La jeune femme n'était pas rassurée mais lorsqu'elle le regardait bien, il n'était pas laid, il n'y avait pas de folie dans ses yeux, au final il semblait normal. 

Puis il frappa d'un violent coup de botte son compagnon à poil. Leona sursauta en même tant que le warg. Le semi-orque discutait avec son animal et elle se dit qu'elle ne craignait rien d'un être qui apprécie tellement une bête qu'il la traite comme un de ses pairs. Elle sourit, touchée par la scène, il lui semblait plutôt voir deux frères se chamailler qu'un warg et son maître. 

Leona comprit vite qu'elle n'était pas la bienvenue mais elle n'en avait que faire. Elle voulait voir la bête de plus près et elle n'en démordrait pas. Elle s'approcha lentement mais d'un pas assuré les deux camarades en train de bâfrer leur morceau de lapin. Elle s'arrêta à deux pas d'eux et tout en s'adressant au semi-orque, elle ne quitta pas le warg des yeux, d'une voix calme et douce déclara "Bonjour à vous ! Je suis navrée de perturber votre repas mais il me semble bien que c'est vous qui avez fait du tapage la nuit dernière. Je ne vous en blâme pas, ce mercenaire l'avait certainement mérité. Toujours est-il que ces événements m'on attirée vers vous et je dois admettre que je suis en admiration devant votre ami. Je n'avais jamais vu de warg de mes yeux vu et le votre est magnifique ! Il semble appartenir à une race rare... elle s'arrêta songeuse puis reprit un peu gênée : je vous prie de m'excuser de cette démarche cavalière. Je voulais juste le voir de plus près, j'ai un profond respect et une tendresse toute particulière pour les animaux et j'ai devant mes yeux le plus beau spécimen qu'il m'ai été donné de voir. Je suis désolée de vous importuner."

[Lubash]

Le warg venait à peine de de finir son premier lapin et de s'attaquer  à la corde du second que l'intrus se montra et leurs adressa la parole, le warg lança alors un aboiement moqueur destiné au semi-orque! "Mais nan imbécile, lui répliqua Korgul sur un ton, lui aussi moqueur, elle à dit "warg" donc c'est de toi l'animal dont elle parle.". Il s'adressa alors à l'humaine :
"Alors voila donc notre mystérieux espion. Puisque que vous vous montrez sans armes, je suppose donc que nous avons rien à craindre de vous.
En effet, le mercenaire dont tu m'as parler est bien le fruit de ma lance, il escortait une caravane de marchand, et j'avais besoin de "revisiter ma garde-robe", mais cet idiot s'est élancé vers moi, épée à la main, je n'est fait que me défendre. Tu as devinez que mon compagnon étais un warg d'une race rare, en effet, c'est un Berzerk. Quand au fait que vous puissiez l'approcher, ce n'est pas à moi d'en décider, mais à lui, mais, je vous fait savoir que les Berzerks on beau être très stupide, ils sont en contrepartie très agressif. Mais vu la qu'il a eu en vous écoutant, je peut vous affirmer qu'il est flatter par votre discours. Vous aurez donc une chance d'en réchapper si vous l'approcher de près."

[Brajkina]

Leona écoutait patiemment son interlocuteur, un sourire aux lèvres. Un fois qu'il eu fini elle reprit la parole. "Ne vous méprenez pas. Malgré mon apparence chétive j'ai plus d'un tour dans mon sac." Elle adressa un large sourire au semi-orque et en un mouvement de poignet rapide mais délicat, la jeune banshee fit apparaître un boule de lumière jaune flottant au dessus de sa main. Elle regarda autour d'elle puis allongea son bras en direction d'un imposant rocher à quelques mètres de là. La boule de lumière s'y projeta à une vitesse fulgurante prenant plutôt la forme d'une flèche déformée que d'une boule et s’écrasa contre la paroi du rocher. Un trou d’environ un poing de large et de profondeur y résidait maintenant, fumant. "Ce n'est qu'un aperçu de mes pouvoirs. De plus je suis encore jeune, le pire reste à venir." Elle émit un petit rire enfantin. Puis s'empressa de rajouter qu'elle utilisait ses dons pour sa défense et sa survie principalement, qu'ils n'avaient donc aucune méfiance à avoir vis à vis d'elle. Bien sûr Leona savait qu'après cela ils seraient forcément méfiants mais elle n'aimait pas qu'on la sous-estime.
Elle n'osait pas trop s'approcher du warg, sachant que la bête avait son caractère propre et semblait un peu teigneuse. Mais malgré tout, sa curiosité brûlai tout son corps, peut-être n'aurait-elle plus jamais l'occasion d'en voir un d'aussi près, et un si rare ! "Berzerk dites-vous ?" Elle resta contemplative. Elle fini par s'avancer d'un pas, elle pouvait sentir le souffle du warg sur sa peau. Elle tendit sa main vers lui, paume vers le ciel comme une mendiante pour lui montrer qu'elle ne lui ferait aucun mal et qu'il était libre de choisir de s'approcher plus ou non. Dans un murmure elle lui souffla "Tu es magnifique." absorbée par le regard de l'animal. Soudain elle retira sa main. Elle s'excusa auprès du warg d'un signe de tête et avant de reprendre sa position précédente elle dit "Quelle mal élevée je fais ! Je suis Leona Burgan. Je suis plus qu'enchantée d'avoir croisé ta route. Comment t'a-t-on appelé toi ?".

[Lubash]

Korgul observa la jeune humaine qui faisait une démonstration de ses pouvoirs, un fois la démonstration terminé, le warg, se sentant menacé, émit un grognement défensif et se plaça en position d'attaque. Korgul lui expliqua paisiblement que sa réaction étais légitime mais inutile, ce n'était pas une attaque, mais plutôt une mis en garde, et les propos de la jeune fille le confirmèrent. Le warg redevins serin et reprit sa position détendu initial. Le jeune monteur de wargs observa l'humaine qui tenta une approche de son camarade, quand celle-ci recula afin de se présenter au warg. 
Le Berzerk lui répondit alors par quelques grognement, après lesquels Korgul intervint :"Il te fait savoir que peut lui importe les noms, il n'identifie pas les êtres vivant pas des noms, mais par des odeurs, et pour ce qui est de son nom, il te fait savoir qu'il en à pas encore. En effet, dans mon clan, la tradition veut que 'on ne donne un nom à son warg seulement lorsque l'on est capable de le monter, et lui de nous supporter sur son dos, et mon warg est encore trop jeune pour supporter le poids d'un être humanoïde, quand à moi, je me nomme Korgul le vengeur, descendant de Rendar le malchanceux, feu chef de clan du clan disparu des monteurs de wargs.".

[Brajkina]

Sans pouvoir se l'expliquer Leona fut très déçue que l'animal n'ai pas de nom. Elle se serait peut-être sentie plus proche de lui d'une certaine manière. Mais elle avait eu raison : le warg n'était pas encore arrivé à maturité. Elle mourrait d'envie de poser un milliard de questions à l'individu à propos de son compagnon mais c'était un parfait étranger, il l'aurait assurément envoyée promener.

"Enchantée répliqua la jeune femme, serait-il indiscret de vous demander ce qui vous amène dans ces bois ?" Elle regretta aussitôt sa question, c'était très déplacé et en plus de cela, le sujet semblait paraître tabou. L'atmosphère s'était refroidie derechef. 
Un silence lourd plana quelques instants. Leona ne savait pas si elle devait ou non enchaîner sur un autre sujet pour briser ce silence, le semi-orque répondrait-il ? Contournerait-il le sujet ? Peut-être pourrait-elle l'aider ? Elle n'en savait rien et restait donc là à le regarder dans le blanc des yeux.

[Lubash]

En entendant la question de Leona, le semi-orque fut surpris! Il allais lui répondre, mais aucune réponses ne lui vint à l'esprit. En effet, il ne savait pas lui même ce qu'il faisait dans ses bois, cela faisait plusieurs mois qu'il marchait après s'être exiler de son campement, et après avoir avancer pendant quelques jours dans la forêt, il s'était aperçu que beaucoup de marchant passait par ces bois, il décidât donc d'y passer quelques semaines pour se reposer, faire le pleins de provisions et de vêtements, et aussi,peut être, débuter l'entrainement de son warg...mais il ne pouvait pas lui dévoiler cela, car l'humaine risquerait de poser une multitude de questions, et de question en question, elle pourrait découvrir l'histoire sombre de son village, et pire encore, elle pourrait deviner en suivant son discourt où se trouvait..
Korgul fut sortit de ses pensés par une douleur au pied, son warg, voyant qu'il mettait trop de temps à répondre, l'avait ramener à la réalité en lui écrasant le pied!
Le monteur de warg remarqua alors l'air gêné de Leona, elle semblait regretter sa question, Korgul lui répondit enfin : "Je suis en ces bois dans le but d'entrainer mon compagnon afin que, prochainement, je puisse le monter. Et de plus il apprécie cette forêt!"
Le semi-orque eu de nouveau l'occasion de se faire écraser le pied par les 120 kilos de muscle de la bête poilu. En effet, Korgul avait menti, le warg détestait les forêts, ce paysage verdoyant était bien trop différent des paysages chaotiques des montagnes qu'il chérit tant, là où les humains ont bien trop peur d'aller, et ou seul les meilleurs grimpeurs peuvent s'aventurer! Et de plus, l'odeur des fleurs et leurs pollen lui irritait sans cesse les naseaux, d'où le fait qu'il est mit tant de temps à repérer Leona.
"Et toi, que fait tu ici?" lui retourna Korgul, qui venait de remarquer qu'il la tutoyait déja, malgré le fait qu'elle soit une parfaite inconue...mais elle inspirait la confiance, et ça conscience l'avait surement remarquer depuis un bon moment!

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