L'imago Faugist Lenwë
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L'imago Faugist Lenwë
L’imago Faugist Lenwë, psylle-Sylvareth (ou Diaphorina alfus ‘Sylvareth’).
CARACTERISTIQUES GENERALES
Nom : Faugist Lenwë
Surnom : L’imago
Taille : 1,90m
Poids : 140kg
Âge : 3 ans : mais au vue de son système de développement, parler d’âge pour cette espèce est une aberration.
Race : Diaphorina Alfus ‘Sylvareth’
Alignement : Neutre strict
DESCRIPTION PHYSIQUE
L’imago de ce parasite est une psylle humanoïde. Son corps est recouvert d’une épaisse armure de chitine articulée et aucun trait elfique ne fut conservé.
Elle a développé une musculature puissante et nécessaire pour se mouvoir à son aise malgré le poids de son armure chitineuse.
Cet insecte, n’a pas d’odorat à proprement parlé. Ces antennes servent à capter toutes sortes de molécules (comme celles constituante des phéromones) que le cerveau interprétera en messages primaires : danger, pas danger, agréable, désagréables… Il lui sera donc impossible de profiter de toutes les nuances de parfum des fleurs, de la terre humide ou de l’herbe fraichement tondue.
Ces antennes peuvent aussi bien émettre que recevoir.
Ces ébauches d’ailes, sont articulées, musculeuses et en parfait état de fonctionnement. La psylle peut ainsi s’accrocher aux parois qui le lui permettent, mais aussi peut s’en servir pour attaquer.
DESCRIPTION MENTALE
N’étant muée par aucune intention mauvaise, car elle n’ayant jamais côtoyé de créatures capables de sentiments, la haine, le bon, le mauvais, le bien, le mal…elle ignore tout de ses jugements de valeur.
En fait, une seule chose l’intéresse, son identité et sa place dans ce monde. Ainsi, elle développe un intérêt particulier pur toutes les connaissances animales et végétales que peuvent lui offrir l’observation, les livres, les érudits… et tous les moyens seront mis en oeuvre pour en apprendre plus sur ce qu’elle est. Pour les autres tâches, elle se sentira très vite ennuyée.
Durant sa mue à l’intérieur de l’hôte -Faugist Lenwë- la psylle réussie à capter une partie de sa mémoire. Aussi, parle-t-elle le commun et sait-elle écrire avec l’aisance de sa victime de son vivant. Sa mémoire par contre, renfermait des images qu’elle serait bien en mal d’interpréter. Des images qui apparaissent dans son esprit dès qu’elle ferme ses membranes oculaires, ou dans ces moments où son cerveaux n’arrive plus à refouler ses images ; fatigue, stresse…
Il faut savoir, que la recombinaison génétique ne s’est pas effectuée dans les meilleures conditions. L’hôte a fait montre d’une résistance sans précédent et les sorts de soins et de résistance des arcanistes Sylvareth ont perturbés la mue de la psylle.
- Pour en savoir plus:
Une coutume elfe ancestrale -qui persiste encore dans certaines des vielles familles elfiques de sang pur- veut qu’à l’image de la personnalité d’un individu, son prénom mue.
Quand l’enfant naît, le père le nomme. Généralement il s’agit du prénom du père pour l’aîné, sinon l’appellation est choisie à la discrétion du maître du foyer.
Le second prénom, lui est donné par la mère quelques décennies plus tard, quand l’enfant affirme son caractère.
Les autres prénoms sont eux donnés à la suite d’événements significativement marquant.
Jusque sa majorité ce sont les parents qui choisissent les appellations de l’enfant, mais à partir de sa majorité, la futur-femme ou le futur-homme, choisit lui-même ; cela au cours d’un rituel de passage à l’âge adulte. Ce rite est célébré tous les ans par les autorités compétentes et les familles des adultes en devenir.
Par la suite, tout changement est très réglementé ; il faut entre autre apporter la preuve d’un événement significatif dans la vie de l’elfe et justifiant la substitution d’appellation.
Pour exemple, un orphelin utilisera souvent le substantif « Pengwenir » (« sans parents » en sindarin) ; s’il n’a perdu que sa mère : « Pennana » ou « Pennaneth » ; s’il a perdu son père seulement : « Penada » ou « Penadar » -dans les deux cas le premier substantif est plus familier que le second.
Toutefois, il n’est pas rare de rencontrer de petits « Dôlfoen » pour un(e) enfant qui a une forte tendance à avoir la tête en l’air ; dans ce cas plutôt que d’un substantif, il s’agit d’un sobriquet.DESCRIPTION DE FAUGIST LENWË DE SON VIVANTFaugist Lenwë
Lors de son passage à l’âge adulte, l’elfe avait fait le choix de substituer le prénom des aînés de la famille Lenwë, au profit d’un prénom qui s’accordait plus avec qui il était devenu ; il avait décidé de prendre le prénom de « Faugist ».
Pas moins sociale qu’un autre, il préférait la compagnie des druides érudits qui le nourrissait de savoirs divers sur les relations entre la Nature et les elfes , et des druides plus jeunes qui partait éprouver leurs connaissances de la Nature sur le terrain.
Il passait ses heures, soit dans la grande bibliothèque, soit en expédition avec les jeunes druides.
Physiquement, ses régulières sorties lui avaient permis de façonner un corps solide et affuté sans non plus ressembler aux elfes qui préféraient le combat ; et qui entraînaient leur corps comme on travaille une lame.
Bien qu’il appréciait la chaleur et le confort d’un bon chez lui, il n’était pas contre les excursions à la vie plus rudimentaire. D’ailleurs il se sentait maintenant assez érudit et assez confiant en ces capacités physiques pour tenter l’expérience des sorties solitaires. Il voulait se sentir libre dans le choix des sujets d’études et dans le temps qu’il passera à faire ses observations.
D’ailleurs, il tenait un journal de ses observations, qui était rythmé par une prose harmonieuse , quelques poèmes et des esquisses en tout genre. Voici quelques extraits tirés de quelques-uns de ces calepins.Curieux animal croisé au détour d’un arbre ancestrale, au coin d’un étang limpide
Et pour la prose :« Ô arbre, accueille-moi! C’est tout seul que je suis sorti de la protection de tes branches, et maintenant c’est tout seul que je m’en reviens vers toi, ô père immobile!Reprends-moi donc sous ton ombrage, ô fils de la Terre!… »
ou encore :« Enfonçant, écartant de tous côtés tes racines fortes et subtiles!Et le ciel, comme tu y tiens! comme tu te bandes tout entierA son aspiration dans une feuille immense, Forme de Feu!La terre inépuisable dans l’étreinte de toutes les racines de ton êtreEt le ciel infini avec le soleil, avec les astres dans le mouvement de l’Annéeoù tu t’attaches avec cette bouche, faite de tous tes bras, avec le bouquet de ton corps, le saisissant en tout cela en toi qui respire,La terre et le ciel tout entiers, il les faut pour que tu te tiennes droit!De même que je me tiennes droit! Que je ne perdes pas mon âme! Cette sève éssentielle, cette humidité intérieure de moi-même, cette effervescenceDont le sujet est cette personne que je suis, que je ne la perde pas en une vaine toute d’herbe et de fleurs. Que je grandisses dans mon unité! Que je demeure unique et droit! »
ou plus technique quand il s’agissait de décrire ses observations durant ces expéditions :
« La cappucine est une plante vivace sous notre climat qui ne connaît pas le gel. Herbacée et grimpante, elle set parfois de couvre-sol. Ces feuilles d’un vert-jaune et tendre au touché ont une forme de bouclier. De belles fleurs en forme de casque, soit jaunes, soit rouges? Les fruits charnus sont rond et ont la taille d’un pois.
Les anciens ont classés cette plantes dans les plantes chaudes capable de raviver un corps atone, un organisme déconfit. C’est sans équivoques qu’ils l’ont appelés « Fleurs d’amour », moins pour ces qualités romantiques que pour sa capacité à raviver les passions lascives ; d’où une sensualité innée qui se dégage des filles de ce nom.»
ou simplement des observations sur son état d’esprit à un moment donné :
« Je n’arrive plus à me conncentrer, il fait tellement chaud! D’autant qu’avec l’humidité ambiante les moustiques et autres suceurs de sang s’en donne à coeur joie et me dévore, littéralement! »UNE COURTE PAGE D'HISTOIRE
Faugist Lenwë est né, Urhtel Lenwë, un elfe sylvain de naissance « graine de Sylvareth » ; il fut élevé dans la pure tradition des druides tel que l’archidruide Sylvareth la conceptualisa.
Un enfant aimable et équilibré, il avait tout de même la particularité de se refermer un peu sur lui-même. Il aimait beaucoup lire et apprendre et fut un élève discipliné, même s’il n’était pas le plus assidus en cours ni le meilleur, il restait dans les têtes de classe. À ce titre d’ailleurs, il fut victime des grivoiseries de ses camarades de son âge, mais quoi de plus banal?
Quoi qu’il en soit, et il s’agissait d’une tradition de la famille, il devait, à terme de son existence d’enfant -et à l’issue du rituel de passage à l’âge adulte- faire ses preuves en tant que pisteur. C’est donc naturellement qu’il entama la formation ad-hoc et qu’il put tirer de ses connaissances encyclopédiques, de véritables armes pour vivre plusieurs semaines à l’extérieur se nourrissant de ce que la forêt produisait naturellement.
Très vite il trouva son indépendance et devint un pisteur reconnu. Le secret venait du fait qu’il éprouvait une passion sans limites pour les espèces animales et végétales vivantes. Durant son temps libre, il mettait à contribution ses talents de pisteur, pour suivre et observer les animaux et végétaux qu’il jugeait digne de son intérêt. C’est ainsi qu’il commença ses calepins d’expéditions, où se mêlent poésies inspiré par son environnement du moment et des notes plus techniques de ce qu’il observait.
Mais un jour, il ne savait pas comment, ni pourquoi il tomba malade. Mais le plus curieux restait qu’il se sentait affaibli petit à petit depuis quelque mois et que cela c’est fait de manière tellement insidieuse, qu’il ne s’en était pas rendu compte de suite. Là il était alité, terrassé par ce qu’il semblait être une sorte de rhume ; comme si son corps avait cessé de se combattre. À la frustration se mêlait le dépit, car il s’en rendait compte, une grippe le tuerai.
Peu après, il s’enfuit de chez lui en ne laissant que quelques notes derrière lui, qu’il avait rédigé dans un ultime moment de lucidité. Il ne laissa rien à part des confessions couchées sur un morceau de papier imbibé du sang qui inondait son lit.
«...et je me rends compte aujourd’hui que cette piqure anodine ne l’était pas. Je pensais m’être fait piqué par un de ces suceurs de sang de la forêt mais il n’en est rien. En fait il s’agissait d’autre chose…une chose qui je le sens, grandit en moi. Une chose qui absorbe mes force, presque sui me consomme de l’intérieur… »
«…maintenant 3 semaines que je suis alité et j’enchaîne maladie sur maladie. Je sens mes forces diminuer petit à petit, à tel point que le moindre virus, la moindre bactérie à sur moi un effet démesuré… »
«Je dois partir. Ce n’est plus possible. trop mal! Mes draps de sang. Quelque chose, en moi, qui me bouffe! ça va sortir. je vais crever »
«Fuir! Avant…les autres…danger! »
Ce n’est qu’après quelques jours plus tard que l’on retrouva son cadavre dans les hautes herbes qui bordaient la cité de Puritas. Son corps avait été déchiqueté, la cage thoracique ouverte. Le plus touillant était une note à côté de lui et griffonné sur un morceau de tissus lui appartenant. Le style de ce poème -car il s’agissait d’un poème- correspondait tout à fait à celui de Faugist. En voici quelques bribes :«Au détour d'un sentier une charogne infâmeSur un lit semé de cailloux… »« Le soleil rayonnait sur cette pourriture,Comme afin de la cuire à point,Et de rendre au centuple à la grande natureTout ce qu'ensemble elle avait joint ;Et le ciel regardait la carcasse superbeComme une fleur s'épanouir.La puanteur était si forte, que sur l'herbeVous crûtes vous évanouir.Les mouches bourdonnaient sur ce ventre putride,D'ou sortaient de noirs bataillonsDe larves, qui coulaient comme un épais liquideLe long de ces vivants haillons. »« Et pourtant vous serez semblable à cette ordure,A cette horrible infection,Etoile de mes yeux, soleil de ma nature,Vous, mon ange et ma passion ! »
Invité- Invité
Re: L'imago Faugist Lenwë
Hello,
Très belle fiche de perso, savant mix entre l'article que tu avais rédigé sur le sujet des parasites et le background des Iles Vertes & Elfes Sauvages.
C'est très bien construit et, pour le coup, original.
Il va peut-être manquer quelque chose néanmoins. Quid des aptitudes de ton perso ? Tu les abordes de façon sommaires et plus ou moins détournées dans ton récit, mais concretement ça donne quoi ?
Que sait-il faire ? Quels sont ses points faibles et ses défauts ?
Peut-être serait-il intéressant de creuser ces aspects là du personnage.
Très belle fiche de perso, savant mix entre l'article que tu avais rédigé sur le sujet des parasites et le background des Iles Vertes & Elfes Sauvages.
C'est très bien construit et, pour le coup, original.
Il va peut-être manquer quelque chose néanmoins. Quid des aptitudes de ton perso ? Tu les abordes de façon sommaires et plus ou moins détournées dans ton récit, mais concretement ça donne quoi ?
Que sait-il faire ? Quels sont ses points faibles et ses défauts ?
Peut-être serait-il intéressant de creuser ces aspects là du personnage.
Mortelune- En formation de Maître
Re: L'imago Faugist Lenwë
Tu as cent fois raison.
Je me suis concentré sur le RP du peso et j'ai zappé la partie technique.
En tout cas merci pour tes encouragements je complète tout cela dans la semaine. J'ai beaucoup de boulot en ce moment et je cours partout!
Je me suis concentré sur le RP du peso et j'ai zappé la partie technique.
En tout cas merci pour tes encouragements je complète tout cela dans la semaine. J'ai beaucoup de boulot en ce moment et je cours partout!
Invité- Invité
Re: L'imago Faugist Lenwë
Voilà la suite et fin qui met un accent plus concret sur les compétences... Je n'ai pas pu m'empêcher de faire du zèle et d'approfondir son métabolisme (mais c'est très léger). Evidemment je ferais un édit pour avoir une fiche de perso plus propre, mais uniquement après validation.
Allez-y soyez pinailleurs ma fiche n'en sera que plus approfondie et plus belle!
MODE DE VIE:
- Nutrition : L’imago est de nature insecte. Aussi, se nourrit-il le plus souvent des sels minéraux et des sucres qu’il trouve dans la sève des végétaux. Pour ses apports en protéines, le plus souvent il mange de petits animaux crus. Il n’a jamais appris de son hôte à cuire sa viande et ne l’a pas appris des autres non plus. D’ailleurs, l’idée de gâcher le bon goût de la chaire chaude et encore palpitante des ultimes battements de coeur de sa proie, lui est incompréhensible.
-SOMMEIL :
Le cycle de vie de l’imago, se voit rythmé par deux cycles distincts. Le premier, l’éveil, qui est aussi long que le lui permet ses réserves d'énergie. Il ne dort jamais en dehors de ses cycles de sommeil. Quand ceux-ci arrivent, cela se fait progressivement -plusieurs jours- où ces capacités intellectuelles et physiques déclinent. Une fois arrivé à son paroxysme, le corps tombe dans le sommeil.
Ce cycle l'imago préfère le faire, accroché par ces membres dorsaux sur une surface loin du sol et pouvant la soutenir tout du long. Alors, elle se recroqueville sur elle-même et devient presque inerte. Ces antennes se posent sur sa tête. Ses bras se replient sur l’abdomen, ainsi que ses membres inférieurs.
La température de son corps diminue fortement, elle entre dans une hibernation provoquée. Le rythme cardiaque est, lui, ralenti au minimum ; induisant un ralentissement de la respiration et des messages nerveux. La durée de cet état dépend de l’activité de la période d’éveil. Elle peut varier d’une semaine à plusieurs. Il est à noter que certaines expériences menèrent à l’observation d’une période de sommeil pouvant aller jusqu’à deux mois pour certains Diaphorina les plus imposants.
- BESOINS :
Comme tout animal que nous sommes, l’imago se doit d’évacuer les déchets de son corps. Elle le fait via une faiblesse dans sa chitine située sous la ceinture pelvienne. La chitine à cet endroit précis n’est pas soudé et s’écarte comme deux mandibules pour laisser apparaitre méat duquel sont évacués dans le même temps les déchets acides et les déchets basiques -vulgairement et respectivement pipi et caca. Le soucis est que le métabolisme de l’imago est fortement basique, il va donc évacuer tous les déchets acides de son corps. Ceux-ci sont très frottement concentrés et donc ont un pH très bas et une température avoisinant les 40°C -à température ambiante, son « urine » se cristallise. D’ailleurs sur le marché noir certains tentent d’abuser des badauds mal informés pour leur vendre ces cristaux en les faisant passés pour des pierres précieuses.
COMPÉTENCES ET SAVOIR-FAIRE :
Concrètement, durant sa transformation en imago dans le corps de son hôte, la nymphe a eu accès toute la mémoire de son hôte :
Aussi, les compétences que l’elfe à acquises durant ses entraînements, l’imago les a.
C’est-à-dire (HRP : c’est une liste non-exhaustive et qui se complétera au fur et à mesure) :
- le pistage.
- les langues parlées et comprises : commun et elfe.
- sa nature insecte et sa couleur lui permettent un mimétisme parfait dans les environnements boisés. (à l’instar des phasmes).
- une passion et une connaissance accrue des plantes, insectes, animaux, les plus connues dans l’archipel des îles-vertes ; ce qui fait de lui un survivant hors paire! De plus, dans une environnement inconnu il ne lui faut qu'un peu d’observation et quelques expériences rudimentaires pour en déduire les propriétés générales des plantes, les habitudes des animaux et leurs modes de fonctionnements.
- Du fait de sa chitine, il ne souffre qu’à peine des dégâts occasionnés par une lame tranchante et nom magique, mais souffre au contraire bien plus que la normale des dégâts occasionnés par des armes contondantes. Qu’on se le dise, il faudra tout de même une sacrée force pour entamer son armure naturelle.
- il une force supérieure à la normale surtout au niveau de ses jambes : il en faut des muscles pour bringuebaler gracieusement 140 kg.
- Ces crochets ne sont pas tranchants, mais ils déchiquettent très bien la chaire humaine et n’ont pas de mal à se planter dans le bois ou une pierre tendre, vu qu’il s’en sert surtout pour se suspendre dans les airs.
- Son hôte ayant été d’essence magique, il pourra maîtriser les arcanes, à condition qu’il trouve un mentor pour cela.
Même en ayant une mémoire très développée, cette dernière n’est ni instantanée, ni infinie. Aussi, il trimballe toujours un calepin et de quoi écrire. Comme son but est de comprendre ce qu’il est, il se doit de conserver toutes les connaissances qu’il a emmagasinées ou seulement inscrites sur son calepin. L’égarer, ou se le faire dérober est le seul moyen de lui faire perdre le contrôle de lui-même.
Particularités notables : il ne parle pas en prose ou rarement, mais en vers. Souvent les images sont pauvres, parfois les figures de styles sont subtiles et poétiques. Il ne le contrôle pas.
Allez-y soyez pinailleurs ma fiche n'en sera que plus approfondie et plus belle!
MODE DE VIE:
- Nutrition : L’imago est de nature insecte. Aussi, se nourrit-il le plus souvent des sels minéraux et des sucres qu’il trouve dans la sève des végétaux. Pour ses apports en protéines, le plus souvent il mange de petits animaux crus. Il n’a jamais appris de son hôte à cuire sa viande et ne l’a pas appris des autres non plus. D’ailleurs, l’idée de gâcher le bon goût de la chaire chaude et encore palpitante des ultimes battements de coeur de sa proie, lui est incompréhensible.
-SOMMEIL :
Le cycle de vie de l’imago, se voit rythmé par deux cycles distincts. Le premier, l’éveil, qui est aussi long que le lui permet ses réserves d'énergie. Il ne dort jamais en dehors de ses cycles de sommeil. Quand ceux-ci arrivent, cela se fait progressivement -plusieurs jours- où ces capacités intellectuelles et physiques déclinent. Une fois arrivé à son paroxysme, le corps tombe dans le sommeil.
Ce cycle l'imago préfère le faire, accroché par ces membres dorsaux sur une surface loin du sol et pouvant la soutenir tout du long. Alors, elle se recroqueville sur elle-même et devient presque inerte. Ces antennes se posent sur sa tête. Ses bras se replient sur l’abdomen, ainsi que ses membres inférieurs.
La température de son corps diminue fortement, elle entre dans une hibernation provoquée. Le rythme cardiaque est, lui, ralenti au minimum ; induisant un ralentissement de la respiration et des messages nerveux. La durée de cet état dépend de l’activité de la période d’éveil. Elle peut varier d’une semaine à plusieurs. Il est à noter que certaines expériences menèrent à l’observation d’une période de sommeil pouvant aller jusqu’à deux mois pour certains Diaphorina les plus imposants.
- BESOINS :
Comme tout animal que nous sommes, l’imago se doit d’évacuer les déchets de son corps. Elle le fait via une faiblesse dans sa chitine située sous la ceinture pelvienne. La chitine à cet endroit précis n’est pas soudé et s’écarte comme deux mandibules pour laisser apparaitre méat duquel sont évacués dans le même temps les déchets acides et les déchets basiques -vulgairement et respectivement pipi et caca. Le soucis est que le métabolisme de l’imago est fortement basique, il va donc évacuer tous les déchets acides de son corps. Ceux-ci sont très frottement concentrés et donc ont un pH très bas et une température avoisinant les 40°C -à température ambiante, son « urine » se cristallise. D’ailleurs sur le marché noir certains tentent d’abuser des badauds mal informés pour leur vendre ces cristaux en les faisant passés pour des pierres précieuses.
COMPÉTENCES ET SAVOIR-FAIRE :
Concrètement, durant sa transformation en imago dans le corps de son hôte, la nymphe a eu accès toute la mémoire de son hôte :
Aussi, les compétences que l’elfe à acquises durant ses entraînements, l’imago les a.
C’est-à-dire (HRP : c’est une liste non-exhaustive et qui se complétera au fur et à mesure) :
- le pistage.
- les langues parlées et comprises : commun et elfe.
- sa nature insecte et sa couleur lui permettent un mimétisme parfait dans les environnements boisés. (à l’instar des phasmes).
- une passion et une connaissance accrue des plantes, insectes, animaux, les plus connues dans l’archipel des îles-vertes ; ce qui fait de lui un survivant hors paire! De plus, dans une environnement inconnu il ne lui faut qu'un peu d’observation et quelques expériences rudimentaires pour en déduire les propriétés générales des plantes, les habitudes des animaux et leurs modes de fonctionnements.
- Du fait de sa chitine, il ne souffre qu’à peine des dégâts occasionnés par une lame tranchante et nom magique, mais souffre au contraire bien plus que la normale des dégâts occasionnés par des armes contondantes. Qu’on se le dise, il faudra tout de même une sacrée force pour entamer son armure naturelle.
- il une force supérieure à la normale surtout au niveau de ses jambes : il en faut des muscles pour bringuebaler gracieusement 140 kg.
- Ces crochets ne sont pas tranchants, mais ils déchiquettent très bien la chaire humaine et n’ont pas de mal à se planter dans le bois ou une pierre tendre, vu qu’il s’en sert surtout pour se suspendre dans les airs.
- Son hôte ayant été d’essence magique, il pourra maîtriser les arcanes, à condition qu’il trouve un mentor pour cela.
Même en ayant une mémoire très développée, cette dernière n’est ni instantanée, ni infinie. Aussi, il trimballe toujours un calepin et de quoi écrire. Comme son but est de comprendre ce qu’il est, il se doit de conserver toutes les connaissances qu’il a emmagasinées ou seulement inscrites sur son calepin. L’égarer, ou se le faire dérober est le seul moyen de lui faire perdre le contrôle de lui-même.
Particularités notables : il ne parle pas en prose ou rarement, mais en vers. Souvent les images sont pauvres, parfois les figures de styles sont subtiles et poétiques. Il ne le contrôle pas.
Dernière édition par Ulkvarr le Ven 20 Juin - 17:42, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: L'imago Faugist Lenwë
Ulkvarr a écrit:- sa nature insecte et sa couleur lui permettent un mimétisme parfait des les environnements boisés. (à l’instar des phases).
Tu parles bien des Phasmes plutôt, non ?
Ulkvarr a écrit:- Du fait de sa chitine, il ne souffre qu’à peine des dégâts occasionnés par une lame tranchante et nom magique, mais souffre au contraire bien plus que la normale des dégâts occasionnés par des armes contondantes. Qu’on se le dise, il faudra tout de même une sacrée force pour entamer son armure naturelle.
Et quid d'un aérosol de Baygon vert géant ? Il serait mal là hein ?? Bon je déconne, pardon...
Ulkvarr a écrit:Particularités notables : il ne parle pas en prose ou rarement, mais en vers. Souvent les images sont pauvres, parfois les figures de styles sont subtiles et poétiques. Il ne le contrôle pas.
Oulah, bah je te souhaite bien du courage pour respecter ce trait !!!
Bon plus sérieusement, ok on en apprend un peu plus sur ses capacités, même si comme tu l'as dit rien n'est exhaustif. Cela étant, l'aspect évolutif d'un personnage n'est à priori pas un soucis, bien au contraire, de mon point de vue, son futur conditionnera ce qu'il va devenir, et c'est très bien comme ça.
J'ai croisé deux/trois coquilles (ça arrive toujours). Soucis d'accords, de participe etc...je te laisse repasser le tout au peigne fin pour débusquer les plus grosses. C'est du pinaillage, mais bon, tu nous l'as demandé aussi hein ! Et puis j'imagine que tu ne dois pas apprécier cela !
Mortelune- En formation de Maître
Re: L'imago Faugist Lenwë
Ça y est! Le sujet est édité! Merci pinailleur opportun! ;-)
Pour répondre...le Baygon est une relique magique antique perdue depuis des âges ancestraux et c'est tant mieux, na! Et pis ça va pas hein?!
Mortelune, cruel et moqueur! J'adore!
Pour répondre...le Baygon est une relique magique antique perdue depuis des âges ancestraux et c'est tant mieux, na! Et pis ça va pas hein?!
Mortelune, cruel et moqueur! J'adore!
Invité- Invité
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