Balade amnésique au fond d'une crypte.

[Samy]

Aconith ouvrit difficilement les yeux. Son crâne lui faisait atrocement mal. Un passage rapide de sa main dans ses cheveux lui informa l'absence de bosse.
En l'absence de lumière seul ses autres sens pouvaient l'informer des lieux ou elle se trouvait.
L'humidité poisseuse et malodorante putréfiait les lieux, les pavés de la pièce étaient recouvert d'une pellicule visqueuse que l'on aurait pu imaginer d'un bleu vert luisant à la lumière d'une torche. Ces pavés ne possédaient pas de joints, il aurait été facile d'en déchausser un pour se défendre contre un éventuel agresseur.
Rien n'indiquait la présence d'autres individus dans la pièce hormis le souffle fort d'êtres dormant d'un sommeil agité quelques pas plus loin. 

Aconith fût de nouveau prise d'une migraine, des images lui revenait, elle avait passé une soirée de débauche mais rien d'autre. Où était elle ? Qui respirait aussi lourdement dans la pièce ? D'où venait cette pestilentielle odeur de mur suintant la putréfaction des chairs et de pavés vaseux ? Pourquoi donc avoir été emmené ici avec des inconnus et allaient-ils se réveiller un jour ?
La shaman risqua un écho et d'une voix tremblante demanda :

"Y a-t-il quelqu'un ici ?"

Sa voix résonna dans tout les recoins du lieux et la jeune femme demeura dans l'attente d'une réponse.

[Odysseus]

"Y a-t-il quelqu'un ici ?"

Une voix faible, accompagnée d'une forte migraine résonna dans la tête d'Arakjörn. Il ouvrit instantanément les yeux, et après quelques secondes, il remarqua qu'il était dans l'obscurité totale, chaques recoins de son corps semblait lui crier de rester allonger tandis qu'il se relevait péniblement. Après avoir vérifié son equipement, il analysa rapidement son environement, et  entendit de léger bruits de pas, quelqu'un était présent. C'était sans doutes la personnes qui avait formulé la question qui l'avait réveillé, à laquelle il décida de répondre par un "oui" ferme, dissimulant son inquiétude dans une tonalité sévère. Du bout des doigts il invoqua une petite sphère de lumière qui révéla la position du magicien ainsi que son entourage

[Aurom]

Sal' avait mal aux cheveux. C'était cool.
Sal' ne se souvenait pas de sa soirée. Ça devait être une soirée cool.

"Y a-t-il quelqu'un ici ?"

Après avoir vérifié l'état de ses vétements, qui n'étaient heureusement que sales, Sal' se mit debout tant bien que mal.
La jeune personne répondit de sa voix claire : "Oui, y'a quelqu'un !".

A ce moment, une lumière apparu et agressa les yeux de Sal'.
"Eteins ça tu veux ?".

[Samy]

Une lumière blanche jaillit des ténèbres, aveuglant la jeune femme et lui faisant pousser un léger cri aigu. Elle protégea son visage de la lumière, son épaisse frange ne suffisant visiblement pas.


Elle poursuivit.

"Vous êtes donc deux... Je... Savez-vous pourquoi nous sommes ici ? Ah ! Ça glisse !"

Dans l'ombre on ne distinguait pas même les dorures de son manteau pourtant était bien audible la glissade et la chute que venait de faire la shaman.

Alors qu'il y eut un silence gêné un étrange souffle suivi de ce que l'on aurai pu croire un grognement parcourut la salle ou se trouvait le petit groupe.

[Odysseus]

Ajustant son chapeau et fourrant son nez dans son écharpe, Arakjörn repondit calmement :


"Je l'éteindrai quand on saura où nous sommes, et comment sommes nous arrivés ici". Il marqua une pause, écoutant le son étrange qui semblait omniprésent, tentant de l'analyser sans se soucier de la femme tombée au sol.

"Et encore moin tant que nous ne saurons pas ce qui a provoqué ce bruit". Compléta-t-il

[Aurom]

Sal' tourna plusieurs fois sur elle-même, tentant de repérer l'origine du son.
Il semblait s'être remis de la commotion, comme si elle avait l'habitude de ce genre d'état.

Il se tenait dos à la lumière, toujours douloureuse pour ses yeux.
"J'aime les monstres, y sont cools"

[Samy]

Au hasard de l'ombre Aconith mit la main sur ce qui semblait être un bâton. approchant alors doucement des voix, elle demanda encore tremblante :

"Qui êtes vous ? Je.. Je ne vois rien ! Mon nom est Aconith c'est tout ce que vous avez besoin de savoir !"

A présent accroupis pour  une pas salir sa capeline elle attendait, armée une réponse. De sa main elle chercha brièvement son sac et ses "médicaments" mais sa recherche fut veine. La panique commençait à monter lorsque un souffle ;  non, une onde parcourut la pièce jusque en son centre. Cela semblait venir de partout à la fois et en même temps de nulle part.
Il y eut ensuite un léger éclair rougeoyant et un son de serpent à sonnettes. Puis le silence revint, pesant autant que cette odeur de chair en putréfaction.

Un nouvel éclair eût lieu, enflammant le reste d'un cadavre desséché d'un feu nauséabond. Il éclairait à présent la pièce d'une douce lueur sanglante, dessinant les quartes silhouettes de manière nette. La salle possédait à présent des frontières et un horizon.
Elle était très large, soutenue par des piliers tortueux s'élevant jusque aux cinq mètres de plafonds. Entassés dans un coin le monticule de cadavres dont avait déserté ce qui leur servait de torche ne donnait plus signe de vie depuis depuis bien longtemps.

La proportion démesurée de la pièce donnait une sensation d'écrasement du plafond sur la largeur de la salle, si bien qu'Aconith suffoqua à l'idée du titan qui pouvait résider en ses lieux.

[Odysseus]

À la fois rassuré et inquiet de la lumière émanée par les cadavres, le mage  répondit calmemement à la shaman :

"Je me nomme Arakjörn l'épouvanteur, ou le vagabond selon les versions, savez vous ce que nous faisons ici ?".
Il tenta d'avoir l'air le plus amical possible, si l'une de ces deux personnes savait quoi que ce soit, ce qui n'était pas son cas, il pouvait être utile de tisser un quelconque lien d'amitié. Cependant il avait l'air plus agressif qu'autre chose. Le magicien était loin d'être sociable et l'ambiance macabre et l'obscurité lui pesait sur les nerfs.

Dans le doute il sortit Nygdmer de son étuis, de manière à bien veiller à ce qu'il ne s'ouvre pas que s'il en avait besoin. Et envoya deux autres lumières, cette fois un peu plus fortes, dans les parties les plus obscures de la pièce, afin d'y déceler une quelconque source de danger.

Il se tourna vers l'autre femme, qui lui tournait le dos :
"Désolé... hum..." marmona-t-il dans le but d'engager une courte conversation

[Aurom]

Sal' se retourna vers le dénommé Arakjörn dès qu'il eut finit de se présenter.
"Un épouvanteur, qu'est ce que c'est ?

C'est ton travail ?

Ça consiste en quoi ?

Tu te tiens au milieu d'un champ et tu attends ?

Tu fais peur aux gens ?

Aux monstres ?"

Sal' n'avait aucune considération pour l'espace vital des gens : Elle tournait autour du mage, l'observant sous toute les coutures, tantôt accroupie, tantôt sur la pointe des pieds.
Déverser un flot de questions quasi-continu était sa deuxième spécialité.
L'expression "Embeter le monde" n'existe pas dans le vocabulaire du jeune androgyne.

[yellowhub]

Coucou je rejoints le RP mon personnage c'est Maoru voici le lien https://jdrlibre.forum-actif.net/t3672-maoru-le-guerrier-aveugle?highlight=Maoru 


Maoru au son de voix qui s'appelaient, se réveilla douloureusement. Il mit quelque temps à se remettre les idées en place, à comprendre la situation dans laquelle il se trouvait et surtout à se remémorer les causes du mal de tête lancinant qui lui lacérait l'esprit, d'habitude limpide .
Sa mémoire lui revint petit à petit , la veille il avait fêté le retour de Samy qu'il n'avait pas vu depuis longtemps. La soirée s'était prolongée dans la nuit entre les récits d'aventures, les blagues et les bières .....
après c'était le néant , aucuns souvenirs

Maoru se leva tant bien que mal et à l'aide de son sabre (Saika) il essaya de se repérer dans ce qui semblait être une crypte. L'air était insalubre et puait la chaire en décomposition. le sol jonché de débris et d'une traînée visqueuse attira l'attention de Maoru mais sans plus. Encore sous l'effet de l'alcool et dans un environnement inconnu, Maoru était parfaitement conscient de ses faiblesses.

Il se dirigea vers la provenance des voix, à ce qu'elles disaient il se rendit compte qu'ils étaient dans la même situation que lui et de ce fait il n'avait pas besoin de se cacher. Rassuré de ne pas être en présence d'ennemis il se rapprocha, sans toutefois baisser sa garde.

En s’avançant à découvert il surpris un individu qui assaillait de questions un pauvre bougre qui n'avait pas l'air d'être dans son élément. Maoru distingua les énergies de chacun des individus. Celui qui parlait le plus dégageait l'énergie la plus vive. Le pauvre bougre qui devait s'appeler Arakjörn l'épouvanteur d'après ce que Maoru avait entendu semblait normal, quoique une sombre force émanait proche de lui, un artefact puissant peu être. La 3ème personne était la plus mystérieuse, peu d'énergie ressortait et autour d'elle une flagrance sylvestre planait....

Maoru pris les devants et dit: 
"Je suis Maoru, il semble que nous sommes tous dans la même situation, quelqu'un sait-il comment sortir de cet endroit immonde ?"

[Odysseus]

( vus que Samy est indisponible, j'enchaîne )


Saisir la personnalité de chacun ne semblait pas être un objectif très difficile à atteindre pour Arakjörn, en particulier en ce qui concernait la personne qui virevoltait autour de lui. Elle lui présentait le cas d'une personne survoltée, très instable et bonne qu'à attirer l'attention, des coéquipiers comme des ennemis. De nature habituellement patiente, le magicien, qui était déjà sérieusement sur les nerfs à cause de l'ambiance macabre de la pièce et l'impression d'un danger proche, semblait au bout de ses limites. D'un mouvement lent mais ferme, il écarta de la main cette étrange personne, pris ses distances, vérifia que son chapeau pointu était toujours ancré sur sa tête, et rangea Nygdmer dans sa sacoche de peur qu'il tombe dans les mains de cette personne dont-il n'arrivait toujours pas à déterminer le sexe, peut-être y arriverait-il grâce à son nom ?

"Tu découvriras sans doutes plus tard d’où me viens ce surnom, et je te prie de bien vouloir me donner le tiens avant de me harceler". Il répondit durement aux questions de l'androgyne. Mieux valait-il éviter de nouer quelconques liens avec ce genre de personnes, car apparamment il ou elle ne savait rien, et s'en fichait.

Les lumières blanches envoyées aux quatres coins de la pièce, ainsi que celle du monticule de chair brûlante, révélait maintenant complètement l'état de la pièce, ainsi que le moindre des ses détails, qui se composaient principalement des cadavres en décomposition, et de la substance visqueuse qui semblait couvrir aussi bien le sol que les murs. Mais celui qui le marqua le plus fut le fait que la lumière révélait la présence d'une silhouette qui avançait vers le petit groupe un sabre à la main.

L’inconnu se présenta et se révéla être un homme dans la même situation qu'eux. Arakjörn l’examina, et constata qu'il n'avait rien d'anormal, hormis le fait qu'il portait des lunettes de soleil dans l'obscurité et que son sabre lui paraissait étrange.

"J'ai l'impression que personne ne sait quoi que ce soit sur cet endroit" il dit d'une voix ennuyée. Il semblait en effet que sortir d'ici allait mettre un peu de temps.

[Aurom]

Sal' ne semblait pas inquiétée par la réaction d'Arakjörn. Cela semblait même l'exciter encore plus. La jeune androgyne fit un salut militaire pour répondre à l'épouvanteur : "Oui, chef ! Mon nom à moi, c'est Sal' ! Enchantée !"

Lorsque le nouvel arrivant apparu à la lumière du feu créé par Aconith, Sal' s'approcha de lui en courant et repris son manège d'observation. "On est quatre maintenant, c'est cool, plus on est de fous plus on rit."
Pour l'instant, seul lui était en train de rire.

Lorsque Arakjörn exprima a voix haute la question que tous se posaient, Sal' répondit, dans son rire clair : "C'est ça qu'est marrant : découvrir l'inconnu".

[yellowhub]

« Au moins je préfère découvrir l'inconnu que CES inconnus d'énergumènes » pensa amèrement  Maoru. »

Maoru avait repris ses esprits et sans attendre une réponse qui ne viendrait probablement jamais, il s’éloigna du groupe en longeant le mur, unique repère dans cet environnement inhospitalier et froid.

En prenant de la distance avec le groupe et ayant restructuré sa pensée, Maoru parvint à se concentrer pour se diriger. Il sentit une brise légère et en faisant attention à ne pas trébucher, en s’appuyant de son sabre comme canne, il parvient à atteindre ce qui ressemblait une entrée, une porte peut-être ?

Maoru ne pouvait en être certain car ses mains sentaient seulement le vide en face et un courant d’air lui indiquait que c’était la bonne voie. Il ramassa plusieurs cailloux et les lança pour s’assurer qu’il ne marchait pas dans le vide.

Les projectiles rebondirent sur les vieux pavés, et Maoru au bruit des réverbérations, compris qu’il était dans un petit vestibule ovale. Il s’avança toujours lançant des cailloux plus loin pour se situer et en sifflant doucement afin de voir jusqu’où le son portait.

Finalement Maoru parvint à ce qui ressemblait être un escalier, après quelques heures de recherches infructueuses pour trouver une autre sortie, Maoru décida de s’engager dans l’escalier mystérieux qui s’enfonçait encore plus dans la terre 

[yellowhub]

Il s’enfonça dans passage obtus de l’escalier, à force des relents de puanteurs s’intensifiaient. Arrivé à la fin de la descente, l’air lourd empêchait d’inspirer à fond faute de s’étrangler.

Maoru pour s’assurer de qu’il n’y avait rien de dangereux face à lui, jeta un caillou en face de lui. Celui-ci à la différence des autres rebondit dans un bruit étouffé. Une créature se déplaça alors dans un chuintement ténu, seul le bruit des mandibules qui frottaient l’une contre l’autre permit à Maoru de comprendre ce qu’il avait face à lui. Une des araignées géantes qui ont presque disparues mais subsistent encore dans certains endroits reculés et hors du temps.

Maoru à l’odeur arriva à la conclusion que l’araignée était une Dreikas. Il hésita à agir, par le passé il avait déjà combattu quelques individus de cette espèce mais était accompagné d’un vieux compagnon d’arme qui lui assurait ses arrières.
 Là il était seul et sans feu, arme décisive contre les Dreikas, Maoru pouvait bien frapper les murs de son sabre afin de créer des étincelles mais à quoi bon ?!

Soudain il entendit un craquement et instinctivement se jeta devant. Bien lui en eu pris, le mur sur lequel il s’appuyait à l’origine venait de s’effondrer bloquant toutes sorties. En levant ses mains il sentit des fils gluants les effleurer, la pièce en était remplis.

« Mais où se trouve l’araignée ? » se demandait anxieusement Maoru. 

Une idée toute aussi folle que désespérée germa alors dans son esprit : si l’araignée pouvait le voir et le sentir, Maoru pouvait au moins la localiser grâce aux vibrations des fils tendus à travers la pièce.

Il s’immobilisa et concentra totalement sa pensée sur ses sens…..

[Odysseus]

La réaction de "Sal", nom qui ne l'aidait pas dans la détermination de son sexe, n'étonna pas l'épouvanteur, qui ne savait s'il devait se réjouir ou se morfondre. Il décida simplement de passer outre cette conversation : le nouvel arrivant, Maoru, s'éloignait et s'enfonçait dans les ténèbres, et visiblement n'avait pas besoin de lumière pour s'y déplacer, en jetant un dernier coup d’œil à Sal' et Aconith, le magicien décida de suivre le plus discrètement possible l'étrange personnage, avec une très faible lumière pour savoir ou il mettait les pieds,et ne pas le perdre de vue.

Au fur et à mesure qu'ils s'enfonçaient sous la terre, Arakjörn compris aux manières de Maoru que celui-ci était aveugle , il interprétait à la perfection les ondes pour ainsi se repérer. Plus flagrant encore : lorsque que pour confirmer son hypothèse Arakjörn amplifia sa lumière, celui-ci ne vit pas ou fit comme si de rien n'étais, mais si son ouïe était si perfectionnée, il était probable qu'il était déjà repéré, aussi il commença a le rejoindre quand une substance gluante le retint au niveau des pieds, le faisant trébucher. Il s'écroula par terre : s'il n'avait pas été repéré, il l'était a coup sur maintenant. Il se tourna vers l'épéiste, qui a sa grande surprise ne se trouvait plus dans le couloir, dont on voyait maintenant le bout : un escalier, probablement là ou il était parti.

la magicien tenta de se relever, mais ne le pus : la substance collante en question était de la toile de Dreika, il n'était donc pas difficile de comprendre que lui et Maoru étaient en danger. Il fit rapidement brûler la toile. Puis descendit les escaliers le plus rapidement possible. Il ignorait de quoi l'épéiste était capable, mais sans feu il ne pourrait pas grand chose

[Aurom]

Sal' était effrayée et enthousiasmé en même temps. Lorsque la lumière d'Arakjorn s'éloigna de la grande pièce pour suivre son maître qui lui-même suivait Maoru, l'androgyne se précipita à sa suite.
Contrairement à ce qu'on pourrait croire en rencontrant Sal', elle n'était pas tout à fait idiote et savait lire l'ambiance. C'est juste que parfois, elle se fichait de l'ambiance. Mais cette fois ci, c'était différent : ils étaient perdus dans des souterrains et ne se souvenaient plus comment ils étaient arrivés la. C'était une raison suffisante pour rester -un minimum- sérieux.

Sal' suivit donc Arakjorn à pas de loup, tout en jetant des regards d'extase autour de lui. Plus ils avançaient, plus il y avait de toiles d'araignées, collantes et gluantes. Même avec ses capacités, Sal' n'arrivait pas à les décoller facilement : l'araignée produisant ce fil ne devait pas être tout à fait normal, ni inoffensive.

[yellowhub]

(HRP considérez que le mur ne s'est pas écroulé ou que du moins vous pouvez atteindre la salle sans devoir enlever les débris. A l'origine j'avais fait ça pck je pensais que j'étais le seul à jouer ^^) 

Maoru fut surpris par le juron de quelqu'un qui venait de tomber dans la cage d'escalier ou devant son entrée. 
"Quelqu'un m'aurait suivi?" espéra Maoru

Durant ce bref instant de répit il perdit sa concentration profonde et fit face au constat morbide qu'il était à la merci d'une Dreika probablement affamée sans aucun moyen de se défendre. 
Il recula subitement en sentant une bête se mouvoir. Il resta dans l'embrasure de la porte, du moins ce qu'il en restait et appela
"Hey, à celui qui est en haut qu'il vienne, j'ai besoin de feu ou de lumière afin de savoir où je dois frapper!"

Ce fut probablement une des premières fois qu'il appelait à l'aide, mais les circonstances l'exigeait.

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