Orildril
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Orildril
Oridril
Présentation :
Oridril est une gigantesque île qui situe à l'ouest de Zaerod qui fait la taille de La France et de la Grande Bretagne réunies. Les gens qui traversent Oridril découvrent une terre constituée de fermes fertiles, de collines ondoyantes, de montagnes d'une beauté vertigineuse et de forêts irréelles. Oridril est connu pour posséder un climat tempéré et les terres y sont plus facilement cultivables. Ses immenses forêts et ses régions sauvages sont séparées par des plaines et des vallées fertiles où le royaume de Bretonnie a établi ses domaines féodaux. C'est une contrée riche et bien défendue par la puissance des chevaliers de ce puissant royaume. La population est composée d'aristocrates et de Chevaliers courtois, de gentes dames, mais aussi de paysans satisfaits et respectueux. Les chefs de cuisine Bretonniens sont connus pour leurs compétences culinaires et les vins du pays sont renommés à travers tout le monde entier. Telle est l'image que les Bretonniens cherchent à donner de leur nation et elle n'est pas totalement fallacieuse. Mais, ça c'était à l'époque de son âge d'or. Bien que L'Oridril soit une terre où les vallées et les plaines sont fertiles, le Royaume de Bretonnie qui occupe 80 % d'Oridril est plongé depuis cent ans dans une guerre civile opposant les différents duchés qui ne cessent jamais. De plus, au sud est, dans une région séparée par un fleuve du reste de l'Oridril se trouve la tanière des Skavens de Markorgne réputées pour être une terre hostile et marécageuse. Les Skavens y sont installés en même de l'arrivée des premiers humains sur cette île. Ces créatures sont réputées dans l'île pour être des monstres mesquins, qui vaut une haine aux autres races et qui n'hésitent pas à trahir leurs propres congénères. En plus de la guerre civile et de la menace Skavens, au nord de l'île séparée du reste d'Oridril par une grande muraille se trouve une terre froide et désolée où une race d'hommes-bêtes nommées les Minotaures ont élus domiciles bien avant l'arrivée des humains et des Skavens. Les Minotaures de l'île sont connus pour être des sauvages qui pillent les villages et massacrent tout ce qu'ils voient. Le voyageur qui poserait les pieds ne verrait pas seulement une terre fertile avec des prairies et des vallées qui reflètent la lumière du soleil, mais aussi une terre ravagé par la guerre, la corruption et la mort.
Le Royaume de Bretonnie :
«De nos lances et de nos espadons, nous frapperons nos couards ennemis. Nous, fiers Chevaliers de Bretonnie, les ocrions. Tant que nous aurons foi en les cinq dieux, leurs armes ne nous atteindrons pas. Jamais notre gloire ne s'étiolera, car nos hauts-faits nous survivrons. Pour le Roy, la Bretonnie et les cinq dieux, chargez ! Sur l'ennemi !»
- Duc Bohémond, le Fléau des Bêtes, à la bataille du Gué de Grismar
Nom : Royaume de Bretonnie
Population : 12 500 000 millions d'habitants (97% humains et 3% autres)
Monnaie : L'Ecu
Capitale : Pamelot
Richesse : Riche, mais en faillite et ruiné depuis la guerre civile
Système politique : Féodale
Superficie : 696421, 600 Km² (soit 80 % d'Oridril)
Présentation et histoire :
Bretonnie est le plus grand royaume d'Oridril. À l'origine, les Bretonniens qui sont les habitants de ce royaume étaient des décédant de colons humains qui avaient débarqué sur cette île, il y a un millénaire. Sous la conduite de leur chef de guerre, Hilles le Breton, les colonies Bretonniennes se regroupèrent en une seule nation. Ils s'établirent et cultivèrent les terres, sous la menace constante des Skavens et des Minotaures. Après des siècles de luttes incessantes, les Bretonniens prirent le contrôle des vallées et des plaines fertiles et repoussèrent leurs ennemis dans les forêts et sur les plateaux désolés, mais les guerres continuèrent contre de nouveaux ennemis. Des flottes de morts-vivants ravagèrent les régions côtières à l'ouest, des Skavens désolèrent les terres du sud-est, des pillards nordiques vinrent par delà l'océan et s'enfoncèrent dans les terres en remontant les fleuves, détruisant tout sur leur passage. À travers ces générations de guerres continuelles contre divers ennemis, les Bretonniens se forgèrent une héroïque tradition de chevalerie.
Les gens qui traversent la Bretonnie découvrent un pays constitué de fermes fertiles, de collines ondoyantes, de montagnes d'une beauté vertigineuse et de forêts irréelles. La Bretonnie possède un climat tempéré et les terres y sont plus facilement cultivables. Depuis un millénaire, les Bretonniens avaient établi des fiefs et des comptées dans cette terre riche et prospère. Bien que ce pays soit très connu pour la bravoure de sa chevalerie, de sa noblesse et de ses paysans. Elle est également connue pour être pays spécialisé dans le vin, mais également dans sa pâtisserie et son pain. Mais, c'est surtout sur la bravoure et le code d'honneur de sa chevalerie que la Bretonnie est très connue. Les chevaliers de Bretonnie sont des cavaliers qui ne craignent ni la peur, ni la mort tant qu'ils ont fois aux cinq dieux et à leur Roy.
Malheureusement, depuis un siècle le pays est ravagé par une guerre civile qui oppose les différents pour la succession du trône. En effet, avant la guerre civile, le Roy Malkor n'avait eu aucun décédant, pas de fils, ni même de fille. Suite à cela, le Roy avait décidé que son meilleur ami, le duché d'Aquitaine succédera au trône, mais ses deux frères n'avaient pas acceptés cette prise décision du Roy. À la mort de ce dernier, le pays tout entier était plongé dans une guerre civile opposant les hommes du nouveau Roy et ceux des deux frères. Au début, les deux frères ont été alliés, mais suite à une discussion pour savoir qui sera le prochain à monter sur le trône dès que la guerre sera terminée, l'alliance entre les deux avait été rompue. Depuis, lors le pays est divisé en trois factions, les différents fiefs qui au début ne voulaient pas entrer dans cette guerre, avaient finalement décidés de prendre les armes pour défendre leurs terres et chacun s'étaient rangés dans les différentes factions. Mais à cause de cette guerre civile, le pays avait été entièrement ravagé, si le voyageur met les pieds sur la Bretonnie, il ne verrait pas seulement des plaines et des vallées fertiles, mais aussi un nombre hallucinant de cadavres datant de batailles plus ou moins anciennes. De plus, de nouvelles menaces firent apparition, les Skavens de Markorgne qui avaient été repoussés dans les terres du sud-est, il y a fort longtemps, avaient commencé à prendre un exode et à ravager les terres du Royaume de Bretonnie. Les Minotaures qui venaient des terres désolées au nord d'Oridril, avaient réussi à franchir la grande muraille qui séparait leurs territoires et celle du Royaume de Bretonnie, en commençant à piller les villages Bretonniens des alentours et à massacrer leurs habitants. Malgré cette menace qui aurait dû obliger les différents fiefs de s'unirent contre cette menace, ces derniers continuèrent toujours leurs guerres, malgré la menace évidente. Cette guerre avait entraîné des famines parmi les populations locales surtout chez les paysans, les Chevaliers qui dissimulèrent leur brutalité sous le couvert de la courtoisie étaient monnaie courante à travers le pays, les complots et les trahisons faisaient entièrement parti du paysage de ce pays. Désormais, la Bretonnie est ruinée et saigné. Elle n'était plus le royaume que l'on pouvait prendre pour modèle pour sa bravoure, sa chevalerie et le travail ardeur des paysans. Maintenant, ce pays est à deux doigts de s'effondrer ...
Structure sociale :
La société Bretonnienne est divisée entre la noblesse et la paysannerie. Cette distinction fait partie intégrante de la loi, qui accorde des droits très différents aux deux classes. L'idée que les gens naissent égaux semble parfaitement ridicule pour la plupart des Bretonniens. Tout Bretonnien naît dans une classe ou l'autre et il est presque impossible d'en changer. Un aristocrate est une personne capable de prouver que ses ancêtres des cinq générations passées sont issues de la noblesse. Tous les noms et toute la généalogie des membres de l'aristocratie étant répertoriés dans le Grand Nobiliaire, cela revient à montrer que tous vos ancêtres y figurent. Tous les autres sont des paysans. C'est ainsi, notamment, que l'enfant d'un noble et d'une paysanne est un manant. Un paysan ne pouvant pas hériter d'un fief, les propriétaires terriens n'en épousent jamais. Mais, il existe exceptions. Tout d'abord, les étrangers ne sont pas Bretonniens et ne sont donc ni des nobles ni des paysans.
Les relations entre les nobles et les paysans influencent le moindre aspect de la société Bretonnienne. Le rapport de base est cependant très simple. Les paysans ne vivent que pour servir leur seigneur. Les nobles, de leur côté, sont censés les protéger et assurer la justice. Néanmoins, les seigneurs ont d'autres devoirs que de veiller sur leurs serfs, notamment envers leur propre seigneur, responsabilités qu'ils ont tendance à considérer comme plus importantes. La quasi-totalité des aristocrates voient les paysans comme des individus inférieurs. Les exceptions sont extrêmement rares.
En dehors de ce cadre, il est peu probable de rencontrer dans sa vie plus d'un Bretonnien exprimant de telles idées. Même dans ce cas, l'aristocrate en question ne considérera généralement comme égaux qu'une poignée de paysans. De nombreux serfs considèrent les nobles comme leurs supérieurs, mais les exceptions sont bien plus fréquentes dans ce sens. En effet, on trouve à travers tout le royaume des paysans qui voient les aristocrates comme des parasites de la société. Les nobles peuvent être privés de leur titre par ordre du Roy. Cela affecte alors tous leurs descendants, c'est pourquoi cette décision n'est jamais prise à la légère. Mais, comme le pays est divisé en plusieurs factions par la guerre civile, les fiefs ne sont plus obligés de se soumettre aux ordres du Roy. Toutefois le Roy et mêmes les seigneurs peuvent également accorder le statut de noble à un paysan, mais ce cas-là extrêmement rare. Toutefois, depuis la guerre civile, les soldats paysans qui savent montrer leurs bravoures ou leurs stratégies peuvent avoir le titre de seigneurs de guerres, c'est généralement par cette action que des paysans embrigadés dans l'armée devant par la suite des généraux de guerres qu'ils deviennent des nobles.
On attend de tous les aristocrates de sexe masculin qu'ils deviennent Chevaliers, ce qui est le plus souvent le cas. Les dames ne sont pas admises au sein de la chevalerie et leur rôle se résume à tenir la demeure de leur époux et à faire partie « des plus beaux meubles ». La séparation entre les hommes et les femmes sont l'autre grande division de la société Bretonnienne, les deux sexes étant loin d'être considérés comme égaux. Les hommes sont tenus de se montrer courtois envers les femmes, en toute circonstance. Manquer de respect envers une représentante du beau sexe est un manquement grave à l'étiquette et les hommes qui s'en prennent violemment à une femme sont très sévèrement châtiés. Les hommes doivent se lever quand une femme pénètre dans la pièce et sont censés la laisser passer en premier. Les femmes sont servies en premier et les appartements les plus confortables leur reviennent.
Bien entendu, ces exigences ne s'appliquent qu'au sein d'une même classe. Un aristocrate n'est pas censé montrer un tel degré de courtoisie à une paysanne, même si certains le font et en tirent une certaine considération, du moins tant qu'ils n'en profitent pas bassement. En revanche, les femmes ne sont pas autorisées à être propriétaires, à voyager sans escorte masculine ou à pratiquer la plupart des métiers. Malgré l'apparat de la courtoisie, ce sont les hommes qui tiennent les rênes.
La plupart des femmes s'accommodent de ces contraintes et un nombre significatif d'entre elles pense même qu'elles sont justes. Mais d'autres décident de tenir une arme ou une échoppe. Pour cela, il leur faut se faire passer pour des hommes. Personne ne sait combien il existe de femmes ainsi déguisées de par la Bretonnie, mais rien qu'au sein de la noblesse, on sait que chaque année au moins un Chevalier mort sur-le-champ de bataille se révèle être une femme. Les aventurières et les commerçantes des pays étrangers risquent également de ne pas apprécier la manière dont elles sont traitées. Elles goûteront peut-être la courtoisie, mais verront vite que personne ne les prend au sérieux, partant du principe que ce sont les hommes du groupe qui mènent la barque. Certaines femmes qui se rendent régulièrement en Bretonnie préfèrent passer pour des hommes afin d'éviter ces désagréments.
Système économique :
La Bretonnie a un système économique basé sur la féodalité, les paysans doivent donner trois-quarts de ce qu'il gagne à leurs seigneurs ou fiefs et ces derniers doivent également donner trois-quarts de ce qu'il gagne au Roy. En échange de cela, les paysans reçoivent une protection et des foyers permanents des fiefs et des seigneurs. Tandis que les seigneurs et les fiefs reçoivent le titre de noble permanent pour posséder des terres et des privilèges par le Roy. Ce système économique fait entièrement parti du système Bretonnien, de la loi, mais aussi de la structure sociale. En effet, c'est ce système féodal qui est en principe à l'origine du système de classes en Bretonnie. L'idée que chacun possède le même nombre de richesse ou que quelqu'un puisse s'enrichir aisément est particulièrement « stupide » aux yeux d'un Bretonnien. Chacun à le devoir de servir les uns, les autres, tel est le système économique du pays intérieur. Toutefois, la guerre civile a entièrement changé cela. Désormais, les fiefs ne sont plus obligés d’obéir et de se soumettre aux rois. À l’heure actuel, les fiefs décident eux-mêmes de l’administration de leurs terres.
En revanche, le système économique politique extérieur est presque totalement différent. Contrairement aux systèmes économiques intérieurs qui se basent sur les codes de la féodalité, celui de l'extérieur dépend des fiefs. La plupart d'entre eux sont en en accord à une libre circulation des marchandises, mais la majorité des fiefs se méfient énormément des produits venues de l'étranger et ils décident d'imposer de lourde taxe, voir même du boycott. Un marchand étranger qui poserait les pieds en Bretonnie serait généralement mal vu par les populations et les aristocrates, sauf dans quelques fiefs qui s'enrichissent du commerce importé par les étrangers.
La monnaie le plus utilisé en Bretonnie est l'Ecu, cette monnaie est couramment utilisée dans tout le royaume. Les pièces les plus courantes sont en argent, celle en bronze sont un les équivalents du centime, mais tandis que celle en or valent au moins plusieurs centaines de pièces d'argent. En effet, les pièces d'or sont extrêmement chers, comme la Bretonnie est un pays qui possède très peu de mines et que les échanges avec l'étranger sont rares, l'or est devenu un objet très précieux, pour un habitant de Zaerod une pièce d'or ce n'est pas grand-chose, mais pour un Bretonnien une pièce d'or est équivalent à toute sa richesse. C'est pour cela que des aventuriers et des marchands venus d'autres contrées arrivent facilement à traiter avec les marchands du coin pour seulement quelques pièces d'or, par exemple une armure neuve en Bretonnie vaut seulement cinq pièces d'or. Mais, c'est également pour cela que la Bretonnie est vue généralement par les autres pays comme « pauvres ». Toutefois, l'Ecu qui est malgré elle la monnaie officielle du pays se fait facilement remplacé par le troque surtout dans les classes paysannes. La monnaie est généralement utilisée pour traiter avec l'aristocratie ou la bourgeoisie (qui est une classe qui fait partie au même titre que les paysans, mais dans les cités) du pays.
L’Armée :
La Bretonnie n'a pas d'armée régulière. Cela signifie qu'il n'existe pas de soldats menant une carrière militaire au service de la nation. Au lieu de cela, le royaume compte sur le service féodal de ses Chevaliers.
Quand un seigneur doit partir en guerre contre l'ennemi, il fait appel à l'assistance militaire de ses vassaux. Ces derniers convoquent à leur tour leurs propres vassaux et la plupart des seigneurs prennent avec eux des paysans formés au combat ou au tir à l'arc. Ces armées ne suivent pas de formation commune et n'ont généralement même pas de hiérarchie interne, mais leurs tactiques militaires sont suffisamment simples et homogènes pour fonctionner harmonieusement en toute circonstance.
La principale faiblesse de ce système apparaît surtout dans les longues campagnes. Seigneurs et Chevaliers doivent rejoindre leur fief pour le gouverner ou protéger directement les leurs, la plupart ne pouvant pas répondre à l'appel de la guerre pour une durée excédant quarante jours. Les choses sont bien entendues différentes si ce sont au départ les terres du seigneur en question qui subissent un assaut.
Quand un site important, tel qu'un col de montagne ou l'accès à une forteresse Gobeline, a besoin d'être défendu, le Roy ou un Duc accorde alors un fief local à un puissant guerrier qu'il nomme Marquis. Ce nouveau seigneur est ensuite responsable de la construction de fortifications, de la formation des troupes et de l'élimination de la menace. Cela fonctionne généralement bien à la première génération, mais ensuite, le premier héritier du Marquis n'est pas toujours à la hauteur de la tâche. Certains vont même chercher l'aide d'aventuriers de basses extractions. Enfin, le Roy seul peut déclarer une Guerre Sainte, mais comme la guerre civile dure depuis cent ans le pays n’a pas connu de Guerre Saintes depuis forts longtemps. La plupart des Chevaliers accourent alors au combat pour prouver leur vertu.
Les Chevaliers de Bretonnie se voient comme des modèles de chevalerie et de vertus chevalières, représentant le pinacle des idéaux guerriers. À la guerre contre des adversaires civilisés, le Chevalier Bretonnien se doit d'être magnanime aux prisonniers nobles, courtois envers les vaincus et généreux dans sa victoire. La guerre donne au Chevalier Bretonnien une chance de montrer son courage, de gagner de l'honneur et d'avancer les idéaux de la Chevalerie par sa bravoure personnelle. Cependant, bien que ces valeurs soient recommandables (mais pas toujours appliquées), cette attitude idyllique envers la guerre n'est pas toujours en faveur des Bretonniens. Enthousiastes à l'idée d'affronter les adversaires les plus puissants, ils ignorent souvent toute autre considération. L'infanterie, alliée ou ennemie, est généralement méprisée et la majorité du travail est laissé aux pauvres paysans embrigadés. Ce fait n'est pas souvent mentionné dans les poèmes épiques et les chansons composées pour commémorer les actions de la noblesse.
Mais, depuis la guerre civile qui dure un siècle, les règles ont depuis très longtemps changé. Les chevaliers Bretonniens qui devaient se montrer courtois envers leurs adversaires d'une autre civilisation n'existent plus, à la place tous les prisonniers de guerres sont exécutés, les chefs et les nobles sont pris en otage en échange d'une rançon. De plus, l'armée intérieure du pays à changer, les chevaliers qui devaient s'occuper de la justice et de la protection du royaume est laissé à des soldats venus des campagnes. Maintenant, les villes, les villages et les forteresses ne sont plus protégés par des aristocrates, mais par une poignée de paysans. Toutefois, ces soldats embrigadés ont finis à prendre de l'hégémonie et à être plus autonome. Désormais, les soldats venus de la classe paysanne sont devenus la force et le rempart principal du pays et des terres des seigneurs. Le titre d'état-major qui au début n'était que donner à des nobles est maintenant autorisé à des soldats ou de fins stratèges de la classe paysanne.
- Les paysans embrigadés dans l'armée :
Politique extérieure :
La Bretonnie est un pays très renfermé sur lui-même, les étrangers qui parcourent ce pays sont souvent extrêmement rares, car il faut une autorisation des fiefs pour qu'un étranger puisse se déplacer dans ses terres. De plus, même s'ils possèdent une autorisation de se déplacer librement, les paysans du coin et même les nobles les regardent de travers. Si vous décidez de parler à un Bretonnien vous devez éviter d'employer de mauvais mots, un simple mot de travers vous risquez d'être attaqué par les fourches et les torches des paysans. De plus, le pays coupe presque tout contacte avec le monde extérieure, seuls quelques rares représentant du pays quittent Oridril pour négocier ou parler avec les dirigeants ou les marchands des autres peuples. Le pays s'est encore plus renfermé sur lui-même avec la guerre civile qui ravage le pays depuis cent ans. En effet, les conflits ont fait fuir les marchands venus pour faire affaire dans ce pays. Toutefois, la guerre civile qui ne finit pas s'arrêter, les fiefs ont décidé d'employer des mercenaires, des assassins et autres pour aider les soldats paysans ou les chevaliers dans les batailles ou pour aller assassiner des nobles d'une famille d'un fief ennemi. Bien que la Bretonnie soit un pays très renfermé sur lui-même, il arrive que des marchands, des mercenaires et autres viennent ici pour faire affaire dans ce pays très coupé du reste du monde.
Religion :
Les Bretonniens vénèrent des entités qu’ils nomment les cinq dieux. Pour eux se sont les créateurs et ceux qui guident le destin de chaque êtres vivants sur ce monde. La religion fait entièrement du Royaume de Bretonnie et ceux qui osent la blasfemer est sévèrement puni. La religion fait entièrement parti de la culture, du mode de pensé et dans le code de la chevalerie du royaume. La relgion est presque de partout dans les maisons, les chateaux des seigneurs, dans la rue et bien évidemment dans les temples. Les Bretonniens vénèrent cinq dieux, le premier est le dieu du soleil et le roi des dieux Juzz, le deuxième est la déesse du vent et de la nature associé souvent aux moissons nommé Aquia, le troisième est le dieu du tonère et des mers prénomme Ulmo, le quatrième est le dieu des morts et scépultures Anubas et la dernière c’est la déesse de l’amour et de la beauté associé souvent à la fécondité la déesse Aphronite. Ces dieux ont chacun un temple didié à eux et ils sont tous vénéré par la population de la Bretonnie.
Les Fiefs :
Avant de s'attaquer à la description des différents duchés, quelques précisions s'imposent concernant le fonctionnement des noms. L'usage des toponymes et des titres est très simple. Prenons exemple la Couronne. Le duché de Couronne est gouverné par le Duc de Couronne, qui siège au château de Couronne, lequel se trouve dans la ville de Couronne. Cela s'applique également aux échelons inférieurs. Le seigneur du Pays de Golles, en Pays de Golles, règne sur le fief du Pays de Golles depuis le château Golles, qui domine la ville de Golles. Les habitants des autres contrées du monde imaginent que c'est parce que les Bretonniens ne peuvent pas se souvenir de plus d'un nom à la fois. Les intéressés quant à eux insinuent que les nobles Bretonniens aiment s'entourer de toutes sortes de titres pour compenser leur manque de pouvoir. En réalité, les nobles Bretonniens peuvent avoir plusieurs titres, mais en utiliser plus d'un à la fois est très mal vue : ils se servent donc uniquement du plus pertinent. Les Ducs utilisent donc invariablement leur titre de Duc, le Roy constituant l'exception principale à cette règle. Toutefois, la guerre civile qui ravage tout le royaume a totalement divisé le royaume, chaque Fiefs est rangé dans trois factions différentes qui se battent pour la succession du trône de Bretonnie. Les premiers sont les hommes du Roy, suite à la mort de l'ancien, il a décidé que le duché d'Aquitaine son meilleur ami soit le Roy ainsi que ces descendants. Mais, les deux frères de l'ancien Roy s'y opposent, mais comme les deux frères n'arrivent pas s'entendre entre eux, ils se font également la guerre entre eux pour savoir qui sera le nouveau Roy. Même, cent ans plus tard, les descendants du nouveau Roy et des deux frères se font toujours la guerre. Les premiers sont les hommes du Roy symbolisé par l'emblème du cerf, la deuxième faction est la coalition ralliée au descendant du duché du premier frère symbolisé par l'emblème du lion et la dernière ralliée au descendant du deuxième frère est l'alliance symbolisée par l'emblème de l'aigle.
La Bretonnie est découpée en 12 Fiefs dont voici la liste :
L'Aquitaine, Roy François III, les hommes du Roy
Lombon, duché du Dux Chiffroy, l’Alliance
Le Northland, duché du Duc Kenneth II, Coalition
Le Bordelaux, duché du Duc Lord Rob, les hommes du Roy
Bretonnia, duché du Duc Joffrey, Coalition
La Couronne, duché du Duc Barathéon, les hommes du Roy
La Anglosaxe, duché du Duc Henri XVI, L’Alliance.
La Comptée duché du Duc Bile, hommes du roy.
Pays de Golles, duché du Duc Charles, Coalition.
L’Etienne, duché du Duc Magnus, neutre.
Le Montfort, duché du Duc d’Edouard XVI, L’Alliance.
La Massilia, officiellement sans Duc, bien qu'un mystérieux chevalier se soit récemment emparé du duché, neutre.
La magie en Bretonnie (ou "la chasse au sorcière"):
« J'ai vu mademoiselle Tarnier rôdé dans la forêt ! Cette sale garce ! Elle se croit plus belle que-nous ! Elle fait des choses étranges la nuit j'en suis sûr ! Et elle ne parle presque jamais à nous ! Même elle fait sa frimeuse ! Elle va souvent dans la forêt toute seule ! Je suis sûr que c'est une sorcière ! Bientôt elle fera moins sa maline cette morveuse »
- Annabelle Haunerd, paysanne Bretonnienne parlant à ces voisines
La magie est considérée comme un crime et une hérésie dans le Royaume de Bretonnie. Une très grande majorité des habitants de la Bretonnie (qu'ils soient nobles ou paysans) ont une hostilité envers elle, car ils la voient comme l'oeuvre du mal incarner. De plus, tous ceux qui la pratiquent seront directement envoyés au bûcher par les chevaliers et l'inquisition du royaume. Cette dernière est une organisation chargée de traquer tous les pratiquants de la magie à travers le Royaume de Bretonnie et de les exterminer. C'est pour cela que les magiciens, les alchimistes et autres sorciers de la Bretonnie se sont faits discrets dans le royaume. D'ailleurs, c'est souvent à cause de cette hostilité envers la magie et l'alchimie que le Royaume de Bretonnie est très renfermé sur elle-même. En effet, elle ne veut pas du tout communiquer et traiter avec les autres peuples qui la pratiquent, car ils les voient en quelque sorte comme des « serviteurs du mal et des démons ». C'est pour cela que la plupart des autres peuples voient le Royaume de Bretonnie comme un peuple « primitive » et ignorant. Si vous êtes un alchimiste ou un pratiquant de la magie qui décide d'aller faire un tour en Bretonnie, vous devez faire très attention, si par hasard quelqu'un découvre votre identité, vous êtes sûr pour aller faire un tour au bûcher.
De plus, avec la guerre civile qui fait rage depuis un siècle, les accusations pour acte de sorcellerie n'ont jamais été aussi hautes. La majorité de personnes dénoncées n'étaient pas véritablement des sorciers. En réalité, comme les complots et les trahisons font entièrement parti du paysage du Royaume de Bretonnie depuis la guerre civile, si vous voulez vous débarrasser d'une personne rapidement, on pouvait tout simplement l'accuser de sorcellerie, car l'accuser de meurtre était beaucoup plus lent, (car il fallait faire des enquêtes, des recherches, être sûr si la personne accusée était là au moment du meurtre etc.). D'ailleurs, il arrivait que des fiefs en guerre s'accusaient chacun l'un et l'autre de sorcellerie. Depuis, lors la chasse aux pratiquants de la magie est devenue en quelque sorte un « sport national » et le pays commence à sombrer dans décadence.
Les Skavens de Markorgne
«Bienvenue parmi les égoutiers, mon gars ! C'est un métier difficile et dangereux, mais c' est toujours mieux que de trimer dans les champs, à la merci des nobles ! Ici, au moins, on est des hommes libres ! Et tous les hommes sont égaux quand ils ont les pieds dans la… euh… tu vois ce que je veux dire. T'es pas claustrophobe, au moins ? Certains de nos gars finissent par craquer et deviennent un peu mabouls.
Tiens, le mois dernier, justement, on a dû virer un de nos gars. Il était persuadé que des rats le suivaient partout. ll jurait même avoir vu des rats gros comme des hommes qui marchaient sur leurs pattes arrières !
Je l'ai envoyé au temple pour que les prêtresses vérifient s'il n'avait pas pris un coup sur la tête, mais il a du croiser un coupeur de bourses sur le chemin. Quelqu'un lui a tranché la gorge d'une oreille à l'autre. On l'a retrouvé près de l'entrée des égouts, mais ça ne devait pas être un voleur très doué qui l'a attaqué... Il ne lui a même pas pris sa bourse ! Les Skavens ont été vaincus et ils ne reviendront plus jamais dans ces terres ! Et celui qui dira le contraire je le vire sur le champ ! »
- Dab la Chance, égoutier
Nom : Le territoire de Markorgne
Population : 6 millions d'habitants (90% de Skavens, 9% d'humains et 1 % autres, le deux derniers sont que des esclaves)
Monnaie : Aucune
Capitale : Markorgne
Richesse : Pauvre
Présentation et histoire :
L’histoire des Skavens de Markorgne est nimbée de mystères et on a très peu d’archives qui parlent de leurs histoires. D'après ces derniers, les premiers Skavens seraient arrivé sur Oridril depuis des petits bateaux qui auraient confectionnée aux-même. Toutefois, cette hypothèse est remit en question. La première c’est que les Skavens sont assez mauvais pour naviguer en mer. De plus, ces derniers ont une grande peur de l’eau. Donc, la plupart des historiens ne pensent pas que les Skavens soient arrivé en Oridril avec des bateaux qui auraient fabriqué eux-mêmes. D'autres archives, nous parles que lorsque les premiers colons humains allaient débarquer sur l’île pour fonder le royaume qui deviendra la Bretonnie plus tard. Ils avaient enmené des passagers clandestins, dont des Skavens. Une fois que les navires débarquèrent en Ordril, les humains et les Skavens auraient colonisé l’île en même temps. Toutefois, les relations entre les deux races étaient très tendues. De plus, ces deux derniers avaient croisés une race indigène, les Minotaures. Depuis, ce fut une longue guerre entre les trois. Comme les humains contrôlent maintenant une grande partie de l’île se sont eux qui ont réussi à s’imposer sur l’île.
Les autres races se réfugièrent dans des régions loin des contrées humaines. Les Minotaures s'installèrent dans les terres désolées du nord séparé du reste d'Oridril par une immense muraille que les humains avaient construits, il y a fort longtemps. Les Skavens s'installèrent dans les terres du sud-est, une région très marécageuse où ils bâtirent une immense cité Markorgne. D'autres s'installèrent dans l'ombre dans les égouts des villes humaines sans que ces derniers ne le sachent. Toutefois, avant que les Bretonniens les repoussent dans les marais du sud-est, les Skavens avaient autrefois un puissant chef qui avait bâti un immense empire qui contrôlait presque tout le sud-est d'Oridril. D'ailleurs ce dernier est vénéré depuis fort longtemps par les Skavens de Markorgne qu'ils le considèrent comme leur seul et unique « guide ». Mais, après la mort de leur chef, leur empire avait sombré dans l'anarchie et les Bretonniens en ont profité pour conquérir les territoires du sud. D'ailleurs, ces derniers la nommeront « La première guerre sainte ». Pendant, des siècles, les Skavens ont vécu dans les marais du sud-est où se trouve la cité Markorgne. Toutefois, ce territoire était plongé dans l'anarchie, les guerres entre clans Skavens, les complots et les trahisons avaient ravagé tout leur territoire. Toutefois, depuis la guerre civile qui ravage le Royaume de Bretonnie pendant un siècle, lorsque les guerres entre les clans cessent, les Skavens en profitent pour attaquer les territoires Bretonniens proches de leurs domaines déjà assez affaibli. Depuis, lors les Skavens de Markorgne ont commencés à entamer leur immense exode pour ravager les terres du Royaume de Bretonnie.
Anatomie :
Comme leurs autres cousins, ces créatures ressemblent à de gigantesques rats qui se tiennent sur leurs pattes arrières mesure plus d'un mètre cinquante et son corps est conformé de manière à pouvoir plus ou moins marcher sur deux jambes, ce qui fait qu'il ferait à peu près la taille d'un homme s'il était debout. Sous tous les autres aspects, ils ressemblent aux rats communs : ils sont couverts de fourrure des pieds à la tête, à l'exception de leur truffe, d'une mince queue charnue et de leurs oreilles qui sont glabres. La queue est à peu près aussi longue que le corps et chacun de leurs quatre membres se terminent par une patte armée de griffes acérées. Leurs oreilles sont proéminentes et ils possèdent de longues moustaches poussant sous la truffe. Leurs yeux brillent d'une lueur rouge et leur bouche est garnie de dents acérées, avec des incisives particulièrement développées qu'ils utilisent pour déchirer leurs proies. Sous tous les rapports, ces êtres présentent une inquiétante similitude avec les rats dont ils sont indubitablement cousins. Mais les seuls points communs avec les humains et les autres espèces intelligentes sont leurs intelligences, les Skavens de Markorgne peuvent résonner et élucider des problèmes comme les humains et ils sont bipèdes comme eux.
Toutefois, les femelles Skavens sont très différentes que les mâles. Ces dernières sont beaucoup plus grandes (soit trois mètres), mais à la différence des mâles, les femelles Skavens ne possèdent pas la bipédie et elle ne parle pas souvent le langage courant du sexe opposé. En effet, les femelles ne servent qu'à la procréation d'autres Skavens, c'est pour cela qu'elles sont souvent isolées et traitées comme du bétail. De plus, elles représentent seulement 10% de la population, les restes ne sont que des mâles. Bien qu'elles soient souvent mises à l'écart des mâles, elles représentent le rouage de la société Skavens. En effet, une seule femelle peut donner naissance à 100 autres Skavens.
Mentalité :
« Mieux vaut un lâche vivant qu'un héros mort ! »
- Proverbe d’un Skaven de Markorgne
Contrairement à leurs autres cousins, les Skavens de Markorgne sont des créatures égoïstes, élevées dans une société turbulente qui prise la survie par-dessus tout. La vie et la liberté individuelles n'ont presque aucune valeur dans la société de Markorgne. La survie est d'une importance capitale pour l'individu et on laisse rarement les faibles survivre à moins qu'ils n'apportent quelque bénéfice tangible à leurs supérieurs. Si la vie ne vaut pas grand-chose pour les Skavens de Markorgne, chacun combat néanmoins à tout prix pour sa propre survie. Un Skaven de Markorgne acculé combattra jusqu'à la mort, du moins s'il n'est pas accompagné d'autres congénères dont le sacrifice peut lui sauver la peau. Les relations que les hommes-rats entretiennent avec leurs congénères sont pour le moins fugaces et ne durent que tant que leurs frères ou leurs cousins leur sont d'une quelconque utilité. Pour résumer, les Skavens de Markorgne sont mesquins, jaloux, retors et sournois.
Structure sociale :
Les Skavens de Markorgne vivent dans une société où la survie est la seule unique règle. Vous me diriez que c'est tout simple. Eh bein ! Non, les Skavens vivent dans une société structurée en clans et les rivalités où la suprématie ne s'éteint jamais. Son système politique est dominé par la fourberie, la trahison, les intrigues et le complot, minée par la traîtrise et rongée par une haine profonde envers le monde des hommes. Il en résulte que les Skavens de Markorgne forment une race paranoïaque dont les esprits retors ne cessent de veiller à leur profit personnel. Tout ce que font les Skavens de Markorgne a pour but que de marquer des points, que ce soit d'un point de vue individuel ou en tant que civilisation. Lorsqu'un clan perd de son influence et devient vulnérable, les autres se retournent contre lui et attaquent sa place forte pour la mettre à sac. Les Skavens des clans ainsi démantelés sont invariablement réduits en esclavage par ceux qui les ont vaincus et passent le reste de leurs brèves existences enchaînés, à servir leurs nouveaux maîtres. Mais les clans les plus puissants peuvent avoir une place dans le conseil des sept. Le conseil des sept est un conseil rassemblant les plus puissants clans Skavens pour maintenir « l'ordre ». Lorsque les rivalités cessent entre les Skavens, ils en profitent pour rassembler leurs forces, afin d'envahir les autres territoires.
Lorsqu'un Skaven est né, il est choisi en fonction de son sexe, son apparence et surtout ses capacités pour être intégré dans différent castre de la société de Markorgne. Si c'est une femelle, elle est directement prise en charge de sa mère pour devenir plus tard une procréatrice d'enfants. Par contre, si c'est un mâle, c'est totalement différent. Ces derniers ne sont que gardé que par leurs mères pendant quatre ans (huit ans pour un humain), après cela elle les abandonne et ces derniers doivent se débrouiller seuls. C'est à l'âge de dix ans qu'ils sont choisis pour être intégré dans différent castre. Les plus forts et les plus grands sont engagés dans l'armée. Les plus chétifs, mais qui possèdent un don dans la discrétion sont engagé comme assassin. Les autres, mais qui possèdent un savoir intellectuel ou manuel sont engagés dans des fonctions publiques, (comme médecins, trésoriers, artisans, etc.) Les plus faibles sont directement forcés à être des esclaves pendant toutes leurs misérables vies. Malheureusement, sur les 100% mâles abandonnés par leurs mères, seuls restent 20% qui ont survécu, les autres ont péris pour diverses raisons, (tué par un autre petit, dévoré par des prédateurs, mort à cause d'une maladie, ...) C'est à cause de ce système que les Skavens de Markorgne vivent dans une société où la loi du plus fort domine.
Les castre :
Vous aurez remarqué dans la « structure sociale », les Skavens de Markorgne vivent dans différents castres plus ou moins supérieurs. Il y a les soldats enroulés pour combattre sur le front. Les esclaves engagés pour des travaux forcés pendant toutes leurs misérables vies (rares sont ceux qui peuvent vivre au-delà de 17 ans). Toutefois, on peut aussi trouver les fonctionnaires (médecins, marchands, artisans, etc.) qui composent le rouage de la société de Markorgne. Enfin en dernier, on a l'administration et l'état major de l'armée qui composent la haute hiérarchie du pouvoir. Cependant, un Skaven qui se situe en bas de l'échelle peut monter les échelons en faisant ses preuves au combat, dans l'administration ou dans d'autres domaines. Les seuls qui échappent à cette exception sont les esclaves. Mais, de nombreux Skavens souhaitent montrer les échelons et la concurrence est rude. En effet, à cause de cette concurrence, les Skavens se font souvent l'objet de complots ou de trahison entre eux pour monter les échelons. C'est bel et bien cette concurrence qui est l'origine de cette attitude et de cette loi qui est basée sur la trahison et la concurrence. Un Skaven de Markorgne serait même près à trahir ses proches pour monter dans castre beaucoup plus supérieurs.
Voici les différentes castres qui composent la société de Markorgne :
Les 13 Seigneurs -- Les 7 chefs des clans dominant, Intendant de Markorgne, Grand trésorier et les 4 Patriarches du grand temple du Grand Rat --
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Officiers Généraux -- Chefs de clans mineurs, Généraux de la milice de Markorgne et Intendants provinciaux--
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Officiers -- Baillis, Érudits, Trésoriers, Chef de guerres et Prêtres --
\/3\/
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Sous Officiers –Sergent, capitaine et Maîtres Artisans --
\/4\/
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Soldats -- Guerriers des clans--
\/5\/
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Fonctionnaires -- Artisans, Marchands, Ouvriers, Bardes et autres fonctions publics--
\/6\/
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Vermines -- Esclaves--
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Officiers Généraux -- Chefs de clans mineurs, Généraux de la milice de Markorgne et Intendants provinciaux--
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Officiers -- Baillis, Érudits, Trésoriers, Chef de guerres et Prêtres --
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Sous Officiers –Sergent, capitaine et Maîtres Artisans --
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Soldats -- Guerriers des clans--
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Fonctionnaires -- Artisans, Marchands, Ouvriers, Bardes et autres fonctions publics--
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Vermines -- Esclaves--
En cours ...
Dernière édition par Gork le Ven 24 Avr - 19:39, édité 19 fois
Gork- En apprentissage
Re: Orildril
bonne suite, intéressant et surtout sans être très original, ça se lit simplement ^^
yellowhub- Maître
Re: Orildril
je sais ^^, et si ma mémoire ne me fait pas défaut, tu le fais avec zodiac
(je suis pas modo pour rien qd même XD
non sérieusement c'est bien que t'ais fait un background complet comme ça
bon boulot
(je suis pas modo pour rien qd même XD
non sérieusement c'est bien que t'ais fait un background complet comme ça
bon boulot
yellowhub- Maître
Re: Orildril
Mon compteur clichés viens de m'exposer à la figure...
Bref, le début est excellent, tu est un mortelune dans l'âme, par contre comme je disais... Sa fait pas un peu... Trop cliché ?
Sinon j'attends de voir la suite pour en dire plus car j'ai juste par ma propre impression Si un aventuriers avec assez de pouvoir magique entre dans ces terre sa va être dat bordel
Bref, le début est excellent, tu est un mortelune dans l'âme, par contre comme je disais... Sa fait pas un peu... Trop cliché ?
Sinon j'attends de voir la suite pour en dire plus car j'ai juste par ma propre impression Si un aventuriers avec assez de pouvoir magique entre dans ces terre sa va être dat bordel
Re: Orildril
Rappelle-moi de lire cette fiche, un de ces quatre !
Jolebo- Fondateur
Fiche de personnage
Nom: Groshnak
Race et classe: Sage Demi-orque
Compétences:
Re: Orildril
Mise à jours 24/04/2015
J'ai modifié quelques petits trucs chez les Skavens.
J'ai modifié quelques petits trucs chez les Skavens.
Gork- En apprentissage
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