L'arrivée de Gork

[Gork]

Me voilà arrivé dans une ville humaine ! Enfin, il y a pleins d'autres races qui viennent des autres contrées de ce monde ou qui sont installés ici. Mais, je crois être le seul représentant de mon espèce dans cette cité gigantesque grouillant d'un nombre hallucinant de personnes. Au début, je me sentais assez mal-alaise devant tous ces gens et ces étranges odeurs *couinement*. C'est pour cela que je me déplaçais dans les égouts de la ville, loin des bruits et des cris de la civilisation humaine et des races habituelles de cette région du monde. De plus, je me sentais mieux alaise dans les égouts, l'humidité, la faible luminosité, l'odeur de la pourriture et voir mes lointains cousins les rats se promener et couiner de partout était un environnement confortable pour skaven ou une personne qui ne pouvait pas vivre avec la civilisation. Tandis que je marchais dans les égouts de la ville, je remarquais divers déchets et objets jetés par les habitants de cette cité. Décidément, les humains, les nains, les elfes et autres ne pouvaient pas vivre aux côtés de la pourriture et des petits animaux qu'il considère comme des « parasites ». Pendant que je me promenais dans les égouts de la ville, j'en profitais pour fouiller les déchets jetés dans les égouts. Durant mes fouilles, je remarquais que les déchets étaient assez différents les uns des autres. Généralement, je trouvais principalement des objets sans valeurs et crasseux, mais il arrivait que je trouvais des objets métalliques, des potions (la plupart étaient encore consommables), de la porcelaine, voir même des armes. Dès que je trouvais ce genre d'objet, je le mettais tous de suite dans mon sac. Toutefois, quand il n'y avait plus de place dans celui-ci, je vidais les vieux sacs poubelles pour mettre ces objets de valeurs à l'intérieur.
 
Tandis que la nuit allait bientôt se coucher, j'avais eu l'idée de vendre la plupart de cette marchandise que j'avais trouvée dans les égouts à des marchands de la ville. Toutefois, je gardais quelques feuilles de papiers qui pouvaient encore être utilisé, des potions encore utilisables, des plantes et des moisissures pour créer mes futurs potions, des outils qui pourront être d'un grand aide plus tard et même quelques armes que je compterais utiliser plus tard, dont une épée courte convenable faite en acier qui pourrait remplacer ma veille épée rouillée. Tandis que je faisais les tris, je trouvais cela très étrange que ces objets de valeurs soient laissés à l'abandon. Pourquoi ?! Est-ce que des marchants ont t'ils sans fait exprès jeter des objets de valeurs ? Des forgerons n'avaient pas réussi à créer parfaitement ces armes du coup ils les ont jetés dans les poubelles de la ville pour finir dans les égouts ? Ou bien des nobles et des bourgeois ont trouvé ces objets tellement « laides » qu'ils ont décidés de les jeter ? Décidément, les humains et les autres races habituées aux codes de la civilisation étaient très bizarres et étranges pour moi. D'Habitude chez les skavens n'apporte quel objet est précieux et il ne fallait surtout pas la perdre. De plus, il n'était pas rare de voir une belle hache en acier échangé pour de la vulgaire nourriture. Oui ! Chez nous les skavens ce que vous appelez des « babioles » sont des objets de même valeur que de l'or, des joyaux ou de belles armes.
 
Enfin bref ! Je décidais de sortir des égouts au coucher du soleil, à l'heure où il y avait moins de personnes dans les rues, mais où il y avait encore les magasins et les boutiques ouvertes. Tandis que j'entrais dans une boutique, le marchand surpris de voir une créature ressemblant à un rat marchant sur ces pattes arrières. Rapidement, je m'avançais vers lui pour sortir de mon sac la marchandise que j'avais trouvée dans les égouts pour finir par demander :
 
« Combien coûte toutes ces marchandise chose-homme *couinement* ? »
 
Le marchand qui était assez terrifié de me voir commença à regarder dans les sacs, il vit les armes et les objets que j'avais ramassés. Mais, il remarqua également la crasse, la moisissure et il sentit en plus l'odeur que ces congénères humains qualifies « de puanteurs ». Très vite, le marchand commença à tousser, il finit par me regarder pour me répondre :
 
« Je n'accepte pas de tels marchandises ! Vous les avez trouvés où dans les poubelles ?! Décidément, vous êtes une créature qui ne connaît rien du mode de vie des êtres civilisés *rire* ! Mais, je peux accepter la plupart d'entre elle pour un prix raisonnable ! Disons que la totalité des objets qui sont encore vendables coûteront cinq cents pièces d'or ! »
 

Tout de suite, j'acceptais de vendre les marchandises pour cette modeste somme de pièces d'or. Les objets qu'il ne voulait pas prendre étant inutiles pour moi finissaient dans la corbeille. Dès que j'avais terminé de faire cette petite affaire, je décidais rapidement de retourner dans les égouts pour aller passer la nuit tranquillement. En effet, je ne voulais surtout pas aller me loger dans les auberges remplies de mercenaires et de bandits qui n'hésiteraient pas à me détrousser, mais surtout devant ces êtres qui se croient « supérieurs » soient disant qu'ils étaient civilisés. Finalement, je fais partie de ceux qu'ils ne pouvaient pas intégrer la civilisation, en même temps j'étais un skaven et un chaman du « Seigneur des mouches et des rats » ! Voir un skaven qui apportait la maladie et la peste n'était pas beau à voir dans une auberge ! En même temps, si j'allais là-bas je risquais de me faire détrousser, voir pire ! Les égouts étaient le seul endroit dans une ville confortable pour quelqu'un comme-moi !