Emilika
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Emilika
Les cendres tournoyèrent autour d’elles-mêmes avant de créer une forme humanoïde. Un Cendreux venait de naître, avant de se mettre à genoux, entrer en méditation un bref instant, avant de se relever avec délicatesse sous les traits d’une jeune femme. La Cendreuse regarda autour d’elle avant de se diriger dans une direction prise au hasard.
*Un homme en armure le visage camouflé sortit d’un buisson, une épée pendant à sa ceinture, sa capuche ne put cacher un rictus sauvage, puisqu’ils avait tout assisté. Il s’élança après la jeune femme. Sa traque pouvait commencer.*
La jeune Cendreuse slalomait entre les arbres avant de tomber face à une vaste carrière, alors qu’elle admirait le paysage, elle faillit ne pas entendre un homme approché silencieusement… Faillit, elle sauta en arrière, se retourna brusquement avant de lui assener un coup de pied en plein visage. Le brigand essuya le sang qui dégoulinait de sn nez, cracha par terre, avant de se précipiter vers la jeune femme. Celle-ci l’esquiva mais ne vit pas le poing se figer dans son ventre. Elle tomba à genoux pendant que le brigand la poussa au sol avec son pied. Il se baissa sur elle, dégaina un katana et le plaqua contre son cou. La Cendreuse prit alors conscience que son existence ne serait que brève, alors elle ferma les yeux, tenta de contenir sa rage, se mordit les lèvres avant que ses mains se crispent. Elle attendit la mort mais n’entendit qu’un cri, elle rouvrit les yeux et découvrit que des éclairs sortant de ses mains avait repoussé le brigand. Elle se releva, ferma les mains, laissa le brigand faire trois pas en avant avant de les rouvrir, aucun éclair ne sortait. Le brigand étouffa un éclat de rire, la Cendreuse se concentra et un autre éclair sortit de ses mains, projetant le bandit en arrière contre un arbre et le maintenant contre-celui-ci. La jeune femme s’approcha de son agresseur, prit le katana de ses mains. Et le laissa retomber de son arbre, le brigand alors s’élança à nouveau vers elle, mais n’eut pas la sagesse d’éviter la lame de son arme qui le transperça de part en part. Le brigand tomba au sol, encore sous le choc de sa rencontre. La Cendreuse fouilla le corps et lui retira sa ou pendait l’étui du katana ainsi qu’une bourse.
La jeune femme atteignit une petite chaumière ou était pendu divers vêtements. Elle les regarda et choisit se saisit d’une robe bleue, elle tenta de faire un pas avant de tomber, car la robe lui entravait ses jambes. Elle poussa un soupir avant de retirer la robe, et de laisser son regard devant une petite tunique de cuir. Elle l’enfila, et sourit de joie. Pile à sa taille, elle regarda autour d’elle et commença à retourner vers la forêt avant d’entendre un homme dire :
-Arrête toi et retourne toi…
La Cendreuse lui obéit, laissant l’homme tenant une arbalète la détaillée, il demanda :
-Tu es une Cendreuse, et ne me ment pas.
La jeune femme hocha la tête, ne s’étant pas entraîné à parler. L’homme appela sa femme, et détaillèrent ensemble la jeune arriviste. L’homme glissa quelque mot à sa femme avant de déclarer :
-Bienvenue ma sœur, je vais t’apprendre quelque éléments importants et ma femme te prêtera quelques vêtements, la Cendreuse pencha la tête pour montrer son étonnement pour que le Cendreux développe, oui, j’ai abandonné l’immortalité pour une femme, la mienne.
La jeune femme suivit l’étrange couple dans leur chaumière.
*L’homme poussa un soupir, il s’accroupit, aiguisa un bref instant son arme, et commença la fabrication de piège.*
L’ancien Cendreux et la jeune femme étaient en état de méditation, le Cendreux transmettant le langage humain à la Cendreuse, et explorant les récents évènements dans la nouvelle vie de sa jeune compatriote. Il interrompit sa méditation et regarda la Cendreuse ouvrir après un moment les yeux. La femme du Cendreux arriva et déclara :
-Il serait peut-être temps qu’on étudie les vêtements que tu porteras.
L’humaine regarda la Cendreuse retirer la tunique de cuir avant de renfiler la robe qu’elle avait prise.
-Ah oui, c’était celle de notre fille.
-Désolé, je ne savais pas, déclara précipitamment la jeune femme sans tenir compte de sa voix.
-Ne t’inquiète pas, tu as une jolie voix tu sais, et la robe te va à merveille, mais quel est ton nom ?
-Emilika, déclara la Cendreuse après un moment de réflexion avant de répéter pour se familiariser, Emilika, mais qu’est ce qui est arrivé à votre fille si je peux me permettre.
-Elle à décider d’épouser un riche marchand nomade, mais elle ne savait pas que c’était un prince déchu, et lorsqu’ils ont été rattrapé par les anciens sujets de son mari, ils ont été tous les deux tués.
Emilika garda le silence, et le Cendreux entra dans la pièce, un vêtement se trouvant dans sa main et une dague surplombant le vêtement. Il déclara :
-Essai cette tunique, tu pourras cacher tes armes, ton armure ainsi que les autres du reste du monde.
Il sortit, laissant sa femme aider Emilika à enfiler la tunique par-dessus son armure de cuir, puis ajuster la ceinture et y glisser le katana et la petite dague en acier. Elles retournèrent dans la pièce à vivre, et s’assirent à table, l’humaine et sa femme mangeaient tranquillement tandis que Emilika n’avait encore touché à son assiette. Le Cendreux déclara :
-J’ai dû oublier de te prévenir, au départ, on n’aime pas trop le goût de la nourriture, excepté bien entendu quand c’est fabriqué par la meilleure des cuisinières, mais pour s’intégrer à la société, il te faudra de temps à autre manger pour leur donner le sentiment d’être comme eux. Par ailleurs, sache que tu ne trouveras jamais le sommeil lorsque tu devras te coucher sauf si par amour tu renonce à l’immortalité, le seul sommeil que tu pourras t’offrir est le repos éternel. En tout cas, même si la nourriture et le sommeil ne te sont pas nécessaires, rappelle-toi que la nuit, le meilleur à faire pour te redonner de la force est de la méditation.
Le repas terminé, et après l’essai de Emilika, les humains allèrent se coucher, et Emilika se mit à genoux dans le salon, avant de contempler le feu.
*L’inconnu regarda par la fenêtre et vit Emilika devant le feu, il secoua la tête avant de s’effacer.*
Emilika émergea de sa méditation par la sensation que quelqu’un la secouait par l’épaule, le Cendreux était au-dessus d’elle, avec un petit peu de nourriture en main, la Cendreuse mangea du mieux qu’elle put, après, elle se leva et déclara :
-Je vous remercie de m’avoir accueillie parmi vous le temps de m’apprendre, maintenant, j’aimerai me retirer...
-Il ne te reste qu’une petite chose à voir, le Cendreux montra son arbalète, j’aimerai que tu apprennes son utilisation. Vu que ta magie se manifeste de manière aléatoire.
Le Cendreux lui montra les bases du maniement de l’arbalète, puis la laissa continuer à explorer les différentes utilisations de l’arme. Après cela, Emilika rendit l’arbalète à son propriétaire, remercia la femme du Cendreux, puis le Cendreux lui-même avant de partir sur un chemin pas très bien entretenu, elle continuait de tracer sa Voie.
*L’inconnu attendit regarda le Cendreux retourner chez lui, avant de s’approcher en toute discrétion de la femme qui triait son linge. Il plaqua sa main sur la bouche de la femme avant de lui transpercer le cœur d’un coup bref. Il enfonça la porte de la chaumière et trouva le Cendreux, l’arbalète à la main, en train de boire un verre de vin, le Cendreux demanda :
-Ainsi, tu es là pour la jeune Cendreuse, sache que tu n’es pas de poids face à elle. Et moi, il me tarde d’entrer en méditation éternelle pour rejoindre ma femme.
Le Cendreux tira un carreau qui arracha une part de la capuche et de la joue de l’inconnu, mais celui- ci resta de marbre, le Cendreux continua :
-Maintenant que tu garderas ma marque pour toujours, tue moi, il me tarde de rejoindre ma femme tué par mon vieil ami.
L’inconnu trancha en un unique mouvement la tête de son ami, et brula la chaumière après avoir placé des pièges dans les alentours de la demeure. L’inconnu alors rabattit sa capuche, et déclara au vent :
-Emilika, sache que j’attendrais que tu sois une meilleure combattante avant de poursuivre ma traque, tu disposes d’un délai, mais sache que j’ai tout mon temps.*
Emilika cheminait sur les routes depuis un temps qu’elle ne souhaitait compter, se nourrissant de fraises, framboises des bois, champignons au départ, la rendant ou non victime de maladie ou d’hallucination, mais elle pouvait monter dans un arbre, attendre l’arrivée d’un animal, avant de lui sauter dessus pour une viande tendre. Mais un jour, alors qu’elle se méditait à l’ombre contre un ancien chêne alors que le soleil frappait, elle entendit des cris, elle s’avança en silence en direction de leurs origines et découvrit une charrette entouré de cinq paysans. Sauf que ces paysans avaient des bouts d’armures, des armes plus ou moins en bonne état, montrant leur appartenance aux charognards. Un grand homme musclé avait en main un énorme marteau, tenant en respect les cinq bandits. Emilika s’approcha silencieusement du bandit le plus proche, et lui brisa d’un coup sec le cou. Ses camarades regardèrent avec appréhension la nouvelle venue, qui venait de tuer le neveu de leur chef, le marchand vit une opportunité et sauta sur un autre bandit, l’écrasant par le poids de son marteau. Le chef des bandits recula tandis que les deux autres membres attaquèrent simultanément le marchand et la Cendreuse. Emilika tourna sur elle-même avant de faire un croche-pied à son adversaire, elle posa un genou sur la poitrine du paysan, tira son poignard et le plongea dans le cœur, elle se releva et poursuivit le chef des bandits qui tentait de s’enfuir, laissant le marchand faire trébucher son agresseur, poser son pied sur sa poitrine et écraser sa tête. Et regarder sa sauveuse qui poursuivait le chef des bandits. Emilika lança son poignard dans la jambe du paysan, qui s’écrasa au sol. Emilika le rattrapa, le désarma, retira violemment son poignard de la jambe du paysans qui lui arracha un cri de douleur, le releva, posa la lame de son poignard sur le cou et l’obligea à avancer jusqu’au marchand. Le marchand sortit de sa cargaison une épaisse chaîne, l’accrocha à sa charrette et lia sans poser de question à Emilika les mains du bandit après avoir bandé la jambe du paysans. Ensuite le marchand demanda :
-Merci mon amie de m’avoir sauvé, je ne pense pas que j’aurais pu survivre face à cette bande de vautour, que puis-je vous offrir pour vous remercier ?
-Non, vous aviez besoin d’aide, ne m’offrez rien, je ne fais pas ça pour des récompenses.
-J’insiste, je suis forgeron, laisser moi au moins vous donner, il fouilla dans sa cargaison et ressortit une hache à deux mains à double tranchant. C’est l’une des meilleures qu’il soit.
Emilika croisa le bras et secoua la tête, alors le marchand la saisit et avant qu’elle puisse se débattre, glissa la hache à sa ceinture. Emilika glissa un baiser sur la joue du marchand-forgeron et se dégagea délicatement.
-Merci de votre cadeau, mais je ne pourrais l’utiliser, elle montra sa ceinture qui glissait vers le bas. Le marchand tira d’une caisse une ceinture qu’on pouvait porter en bandoulière. Emilika la prit, défit sa tunique, mit la ceinture en bandoulière, y glissa la hache, referma sa tunique et remercia le marchand. Celui-ci répondit en voyant un pli de la robe dépasser :
-Non, c’est moi qui vous remercie avec ce sac.
Avant qu’elle proteste de nouveau, il tira rapidement avec attention la robe, la plia avant de la mettre dans le sac, l’enfila sur le dos de la Cendreuse, sauta sur le siège de sa charrette et partit rapidement, faisant tout de même un au revoir avec sa main, le brigand derrière lui peinait à courir accrocher comme il était.
Elle ne fit pas d’autre rencontre pendant les longs jours qui suivirent, mais découvrit les restes de fondation d’une cabane abandonnée. Alors elle déposa ses baguages, et entreprit la reconstruction de sa maison.
Après de nombreuses semaines, quand elle eut terminé la structure, elle entreprit la création de meuble, serrure et autre objets, cela-lui prit également une semaine.
Après de nombreux jours suivant la création de son foyer, un soir de forte pluie, alors qu’elle était en train de méditer, elle entendit une personne toquée à sa porte. Elle se dépêcha d’ouvrir pour faire face à un Cendreux, comment pu-t-elle le savoir du premier coup ? Car ce Cendreux n’avait pas d’apparence physique véritable. Elle le laissa entrer et lui déclara :
-Mon frère, je te souhaite la bienvenue.
Un silence pesant lui répondit, alors, elle s’assit et fit signe au Cendreux de faire de même. Ils entrèrent en méditation et Emilika put en apprendre plus sur son visiteur. Celui-ci était en voyage depuis un long moment, une décennie peut-être, il avait réussi à toujours éviter les contacts humains, mais avait senti une présence amicale en Emilika, il avait pris son courage à deux mains et avait toqué. Emilika alors s’imposa dans l’esprit du Cendreux pour lui parler et lui apprendre le langage humain, comme on le lui avait appris. Le Cendreux s’avéra être un bon élève et en quelques heures, il en savait autant que Emilika. Le Cendreux rompit la méditation et déclara avec une voix hésitante et grave :
-Moi aimerait une pièce où méditer seul si tu veux bien. Et pas trop confortable si tu peux.
-Ça va surement me faire bizarre de te loger dans me sous-sol…
-Sous-sol ? Assez bien pour moi, où est l’accès ?
Emilika lui montrait la porte, et le Cendreux se glissa à l’intérieur du sous-sol pour se reposer.
Les jours qui suivirent furent magique pour les deux Cendreux, mais un jour, une personne vient toquer chez Emilika, un vieil homme en robe rouge encadré par deux soldats en tenue noire déclara :
-Ma fille, écartez-vous pour que mes hommes et moi-même puissions vérifiez qu’un démon ne s’est pas introduit chez-vous.
Emilika allait protester quand l’un des deux gardes la poussa violemment, la maintint au sol en posant une épée sur son cou. Le Cendreux, ayant entendu la conversation se glissa en silence de porte en porte jusqu’à étrangler le second soldat. Le vieil homme sortit une hache et chercha à sauver son camarade, mais le Cendreux se matérialisa devant lui, et le frappa jusqu’à ce que le vieil homme sorte en courant, suivit par le second garde, qui lâcha Emilika par la même occasion. Celle-ci récupéra ses armes et partit en compagnie du Cendreux à la chasse et l’exécution des deux humains.
Depuis, Emilika fait des courses au village voisin pour montrer une bonne face en public, mais chez-elle, elle continue de placer des pièges avec l’aide du Cendreux dans les bois environnants. Lui, pour remercier Emilika de son hospitalité, garde sa maison pendant ses voyages, et à créer autre que sa chambre au sous-sol, une bibliothèque, une salle d’entraînement et de méditation.
Plus récemment, elle compte faire un long voyage dans d’autres contrées, donc elle à entrainer le Cendreux au maniement des armes. Et lui a offert une épée avant son départ pour Clantor.
Nom : Emilika
Race : Cendreuse
Date de naissance : Inconnu, puisque ce n’est pas réellement une « naissance », c’est une renaissance.
Aspect :
- On la définit comme juvénile, on peut dire que c’est une jeune adulte, mais resteras à jamais, tant qu’on ne la tuera pas, une adolescente.
- A des cheveux mi long brun qui, s’ils ne sont pas entravé (donc qu’ils sont lâchés), alors ils ondulent.
- Est de taille plutôt petite comparé à la moyenne. Elle est droitière.
- Ses yeux sont de couleurs bleu foncés rappelant les abysses des océans.
Comportement et caractère :
- Réservée, donc plutôt distante, et en apparence sans humour. Accorde donc difficilement sa confiance.
- N’aime pas les gouvernements puisqu’ils sont cause de conflits, elle espère un jour pénétrer dans une ère de paix, même si pour cela il faut entrer dans de longues batailles interminables
Capacités physiques et magique … :
- Possède peu de connaissances et de pouvoirs magiques, mais elle a pu découvrir qu’elle peut maîtriser la foudre.
- Elle ne possède guère de résistance physique, donc elle mise son style de combat sur son agilité et sa capacité à faire perdre la tête à ses adversaires, dans le sens propre et figuré.
- Elle a développé certaines facultés d’adaptation à de nouvelles situations. Et l’étrangeté de ses idées peut provoquer l’incrédulité et l’incompréhension de ses compagnons.
… Et faiblesse :
- Ne possédant pas d’une résistance physique, lorsqu’elle prend une attaque physique, elle sera plus facilement étourdit et sera plus gravement atteinte … Même si elle connaît l’usage et l’utilité des boucliers elle ne voit pas l’intérêt d’en porter un puisque cela entraverait ses mouvements et la ralentirait.
- Ses connaissance sur le monde de la magie étant limité, sa maîtrise et compréhension de son pouvoir dépend surtout de sa concentration … Et d’une grande part de chance.
Croyance et conviction :
- Ne connaît pas l’idée de religion, donc elle ne comprend pas le besoin d’avoir une identité supérieure.
- Espère que le monde sera un havre de paix, même s’il doit pour ça être dévasté par la guerre (oui, je sais que je me répète).
Possessions :
- Les armes qu’elle a obtenues, ses tenues.
- Elle s’est construit une petite cabane, mais elle ne révèlera pas sa position pour maintenir la rare paix qu’elle peut avoir dans sa retraite (même remarque que si-dessus)
Relation :
- Les rares relations qu’elle construit sont celles qui durent, elle aide avec joie ses frères et sœurs, qui ont abandonné ou non leur immortalité, et qu’ils aient accompli ou non leur méditation de naissance.
- Un mystérieux soldat surveille ses moindre fait et geste, mais ne l’aide en aucun cas, il semblerait qu’il souhaite la traquée pour une raison que lui seul connaît. Mais elle ne la jamais vu.
- Un Cendreux garde et entretien sa cabane lors de l’absence de Emilika, mais ce Cendreux peut tuer sans aucune hésitation les intrus.
Équipement :
- En combat de corps à corps, elle utilise un katana, qu’elle a récupéré sur le corps un aventurier l’ayant attaqué, ainsi qu’une hache à deux mains en acier crée par un maître forgeron après des services qu’elle lui a rendu. Elle a appris la technique d’utilisation de l’arbalète mais n’en possède aucune à ce jour. Enfin, elle possède et utilise une dague, ce qui est considéré comme l’équipement de base, rapide, meurtrier et surtout simple
- Possède également une tunique à capuche noire, recouvrant son armure de cuir, noir aussi.
- Elle utilise la magie à distance (ce n’est pas réellement un équipement, mais je préfère le rappeler)
L'image du personnage se trouve sur:
http://mes-images-de-jeu-de-roles-libre.over-blog.com/preview/dd21059296387b600903c3153d66939337805f2e
De plus, je sais que la qualité est très différentes des autres portraits, et que l'image est trop grande pour le forum, donc... Cliqueou pas
*Un homme en armure le visage camouflé sortit d’un buisson, une épée pendant à sa ceinture, sa capuche ne put cacher un rictus sauvage, puisqu’ils avait tout assisté. Il s’élança après la jeune femme. Sa traque pouvait commencer.*
La jeune Cendreuse slalomait entre les arbres avant de tomber face à une vaste carrière, alors qu’elle admirait le paysage, elle faillit ne pas entendre un homme approché silencieusement… Faillit, elle sauta en arrière, se retourna brusquement avant de lui assener un coup de pied en plein visage. Le brigand essuya le sang qui dégoulinait de sn nez, cracha par terre, avant de se précipiter vers la jeune femme. Celle-ci l’esquiva mais ne vit pas le poing se figer dans son ventre. Elle tomba à genoux pendant que le brigand la poussa au sol avec son pied. Il se baissa sur elle, dégaina un katana et le plaqua contre son cou. La Cendreuse prit alors conscience que son existence ne serait que brève, alors elle ferma les yeux, tenta de contenir sa rage, se mordit les lèvres avant que ses mains se crispent. Elle attendit la mort mais n’entendit qu’un cri, elle rouvrit les yeux et découvrit que des éclairs sortant de ses mains avait repoussé le brigand. Elle se releva, ferma les mains, laissa le brigand faire trois pas en avant avant de les rouvrir, aucun éclair ne sortait. Le brigand étouffa un éclat de rire, la Cendreuse se concentra et un autre éclair sortit de ses mains, projetant le bandit en arrière contre un arbre et le maintenant contre-celui-ci. La jeune femme s’approcha de son agresseur, prit le katana de ses mains. Et le laissa retomber de son arbre, le brigand alors s’élança à nouveau vers elle, mais n’eut pas la sagesse d’éviter la lame de son arme qui le transperça de part en part. Le brigand tomba au sol, encore sous le choc de sa rencontre. La Cendreuse fouilla le corps et lui retira sa ou pendait l’étui du katana ainsi qu’une bourse.
La jeune femme atteignit une petite chaumière ou était pendu divers vêtements. Elle les regarda et choisit se saisit d’une robe bleue, elle tenta de faire un pas avant de tomber, car la robe lui entravait ses jambes. Elle poussa un soupir avant de retirer la robe, et de laisser son regard devant une petite tunique de cuir. Elle l’enfila, et sourit de joie. Pile à sa taille, elle regarda autour d’elle et commença à retourner vers la forêt avant d’entendre un homme dire :
-Arrête toi et retourne toi…
La Cendreuse lui obéit, laissant l’homme tenant une arbalète la détaillée, il demanda :
-Tu es une Cendreuse, et ne me ment pas.
La jeune femme hocha la tête, ne s’étant pas entraîné à parler. L’homme appela sa femme, et détaillèrent ensemble la jeune arriviste. L’homme glissa quelque mot à sa femme avant de déclarer :
-Bienvenue ma sœur, je vais t’apprendre quelque éléments importants et ma femme te prêtera quelques vêtements, la Cendreuse pencha la tête pour montrer son étonnement pour que le Cendreux développe, oui, j’ai abandonné l’immortalité pour une femme, la mienne.
La jeune femme suivit l’étrange couple dans leur chaumière.
*L’homme poussa un soupir, il s’accroupit, aiguisa un bref instant son arme, et commença la fabrication de piège.*
L’ancien Cendreux et la jeune femme étaient en état de méditation, le Cendreux transmettant le langage humain à la Cendreuse, et explorant les récents évènements dans la nouvelle vie de sa jeune compatriote. Il interrompit sa méditation et regarda la Cendreuse ouvrir après un moment les yeux. La femme du Cendreux arriva et déclara :
-Il serait peut-être temps qu’on étudie les vêtements que tu porteras.
L’humaine regarda la Cendreuse retirer la tunique de cuir avant de renfiler la robe qu’elle avait prise.
-Ah oui, c’était celle de notre fille.
-Désolé, je ne savais pas, déclara précipitamment la jeune femme sans tenir compte de sa voix.
-Ne t’inquiète pas, tu as une jolie voix tu sais, et la robe te va à merveille, mais quel est ton nom ?
-Emilika, déclara la Cendreuse après un moment de réflexion avant de répéter pour se familiariser, Emilika, mais qu’est ce qui est arrivé à votre fille si je peux me permettre.
-Elle à décider d’épouser un riche marchand nomade, mais elle ne savait pas que c’était un prince déchu, et lorsqu’ils ont été rattrapé par les anciens sujets de son mari, ils ont été tous les deux tués.
Emilika garda le silence, et le Cendreux entra dans la pièce, un vêtement se trouvant dans sa main et une dague surplombant le vêtement. Il déclara :
-Essai cette tunique, tu pourras cacher tes armes, ton armure ainsi que les autres du reste du monde.
Il sortit, laissant sa femme aider Emilika à enfiler la tunique par-dessus son armure de cuir, puis ajuster la ceinture et y glisser le katana et la petite dague en acier. Elles retournèrent dans la pièce à vivre, et s’assirent à table, l’humaine et sa femme mangeaient tranquillement tandis que Emilika n’avait encore touché à son assiette. Le Cendreux déclara :
-J’ai dû oublier de te prévenir, au départ, on n’aime pas trop le goût de la nourriture, excepté bien entendu quand c’est fabriqué par la meilleure des cuisinières, mais pour s’intégrer à la société, il te faudra de temps à autre manger pour leur donner le sentiment d’être comme eux. Par ailleurs, sache que tu ne trouveras jamais le sommeil lorsque tu devras te coucher sauf si par amour tu renonce à l’immortalité, le seul sommeil que tu pourras t’offrir est le repos éternel. En tout cas, même si la nourriture et le sommeil ne te sont pas nécessaires, rappelle-toi que la nuit, le meilleur à faire pour te redonner de la force est de la méditation.
Le repas terminé, et après l’essai de Emilika, les humains allèrent se coucher, et Emilika se mit à genoux dans le salon, avant de contempler le feu.
*L’inconnu regarda par la fenêtre et vit Emilika devant le feu, il secoua la tête avant de s’effacer.*
Emilika émergea de sa méditation par la sensation que quelqu’un la secouait par l’épaule, le Cendreux était au-dessus d’elle, avec un petit peu de nourriture en main, la Cendreuse mangea du mieux qu’elle put, après, elle se leva et déclara :
-Je vous remercie de m’avoir accueillie parmi vous le temps de m’apprendre, maintenant, j’aimerai me retirer...
-Il ne te reste qu’une petite chose à voir, le Cendreux montra son arbalète, j’aimerai que tu apprennes son utilisation. Vu que ta magie se manifeste de manière aléatoire.
Le Cendreux lui montra les bases du maniement de l’arbalète, puis la laissa continuer à explorer les différentes utilisations de l’arme. Après cela, Emilika rendit l’arbalète à son propriétaire, remercia la femme du Cendreux, puis le Cendreux lui-même avant de partir sur un chemin pas très bien entretenu, elle continuait de tracer sa Voie.
*L’inconnu attendit regarda le Cendreux retourner chez lui, avant de s’approcher en toute discrétion de la femme qui triait son linge. Il plaqua sa main sur la bouche de la femme avant de lui transpercer le cœur d’un coup bref. Il enfonça la porte de la chaumière et trouva le Cendreux, l’arbalète à la main, en train de boire un verre de vin, le Cendreux demanda :
-Ainsi, tu es là pour la jeune Cendreuse, sache que tu n’es pas de poids face à elle. Et moi, il me tarde d’entrer en méditation éternelle pour rejoindre ma femme.
Le Cendreux tira un carreau qui arracha une part de la capuche et de la joue de l’inconnu, mais celui- ci resta de marbre, le Cendreux continua :
-Maintenant que tu garderas ma marque pour toujours, tue moi, il me tarde de rejoindre ma femme tué par mon vieil ami.
L’inconnu trancha en un unique mouvement la tête de son ami, et brula la chaumière après avoir placé des pièges dans les alentours de la demeure. L’inconnu alors rabattit sa capuche, et déclara au vent :
-Emilika, sache que j’attendrais que tu sois une meilleure combattante avant de poursuivre ma traque, tu disposes d’un délai, mais sache que j’ai tout mon temps.*
Emilika cheminait sur les routes depuis un temps qu’elle ne souhaitait compter, se nourrissant de fraises, framboises des bois, champignons au départ, la rendant ou non victime de maladie ou d’hallucination, mais elle pouvait monter dans un arbre, attendre l’arrivée d’un animal, avant de lui sauter dessus pour une viande tendre. Mais un jour, alors qu’elle se méditait à l’ombre contre un ancien chêne alors que le soleil frappait, elle entendit des cris, elle s’avança en silence en direction de leurs origines et découvrit une charrette entouré de cinq paysans. Sauf que ces paysans avaient des bouts d’armures, des armes plus ou moins en bonne état, montrant leur appartenance aux charognards. Un grand homme musclé avait en main un énorme marteau, tenant en respect les cinq bandits. Emilika s’approcha silencieusement du bandit le plus proche, et lui brisa d’un coup sec le cou. Ses camarades regardèrent avec appréhension la nouvelle venue, qui venait de tuer le neveu de leur chef, le marchand vit une opportunité et sauta sur un autre bandit, l’écrasant par le poids de son marteau. Le chef des bandits recula tandis que les deux autres membres attaquèrent simultanément le marchand et la Cendreuse. Emilika tourna sur elle-même avant de faire un croche-pied à son adversaire, elle posa un genou sur la poitrine du paysan, tira son poignard et le plongea dans le cœur, elle se releva et poursuivit le chef des bandits qui tentait de s’enfuir, laissant le marchand faire trébucher son agresseur, poser son pied sur sa poitrine et écraser sa tête. Et regarder sa sauveuse qui poursuivait le chef des bandits. Emilika lança son poignard dans la jambe du paysan, qui s’écrasa au sol. Emilika le rattrapa, le désarma, retira violemment son poignard de la jambe du paysans qui lui arracha un cri de douleur, le releva, posa la lame de son poignard sur le cou et l’obligea à avancer jusqu’au marchand. Le marchand sortit de sa cargaison une épaisse chaîne, l’accrocha à sa charrette et lia sans poser de question à Emilika les mains du bandit après avoir bandé la jambe du paysans. Ensuite le marchand demanda :
-Merci mon amie de m’avoir sauvé, je ne pense pas que j’aurais pu survivre face à cette bande de vautour, que puis-je vous offrir pour vous remercier ?
-Non, vous aviez besoin d’aide, ne m’offrez rien, je ne fais pas ça pour des récompenses.
-J’insiste, je suis forgeron, laisser moi au moins vous donner, il fouilla dans sa cargaison et ressortit une hache à deux mains à double tranchant. C’est l’une des meilleures qu’il soit.
Emilika croisa le bras et secoua la tête, alors le marchand la saisit et avant qu’elle puisse se débattre, glissa la hache à sa ceinture. Emilika glissa un baiser sur la joue du marchand-forgeron et se dégagea délicatement.
-Merci de votre cadeau, mais je ne pourrais l’utiliser, elle montra sa ceinture qui glissait vers le bas. Le marchand tira d’une caisse une ceinture qu’on pouvait porter en bandoulière. Emilika la prit, défit sa tunique, mit la ceinture en bandoulière, y glissa la hache, referma sa tunique et remercia le marchand. Celui-ci répondit en voyant un pli de la robe dépasser :
-Non, c’est moi qui vous remercie avec ce sac.
Avant qu’elle proteste de nouveau, il tira rapidement avec attention la robe, la plia avant de la mettre dans le sac, l’enfila sur le dos de la Cendreuse, sauta sur le siège de sa charrette et partit rapidement, faisant tout de même un au revoir avec sa main, le brigand derrière lui peinait à courir accrocher comme il était.
Elle ne fit pas d’autre rencontre pendant les longs jours qui suivirent, mais découvrit les restes de fondation d’une cabane abandonnée. Alors elle déposa ses baguages, et entreprit la reconstruction de sa maison.
Après de nombreuses semaines, quand elle eut terminé la structure, elle entreprit la création de meuble, serrure et autre objets, cela-lui prit également une semaine.
Après de nombreux jours suivant la création de son foyer, un soir de forte pluie, alors qu’elle était en train de méditer, elle entendit une personne toquée à sa porte. Elle se dépêcha d’ouvrir pour faire face à un Cendreux, comment pu-t-elle le savoir du premier coup ? Car ce Cendreux n’avait pas d’apparence physique véritable. Elle le laissa entrer et lui déclara :
-Mon frère, je te souhaite la bienvenue.
Un silence pesant lui répondit, alors, elle s’assit et fit signe au Cendreux de faire de même. Ils entrèrent en méditation et Emilika put en apprendre plus sur son visiteur. Celui-ci était en voyage depuis un long moment, une décennie peut-être, il avait réussi à toujours éviter les contacts humains, mais avait senti une présence amicale en Emilika, il avait pris son courage à deux mains et avait toqué. Emilika alors s’imposa dans l’esprit du Cendreux pour lui parler et lui apprendre le langage humain, comme on le lui avait appris. Le Cendreux s’avéra être un bon élève et en quelques heures, il en savait autant que Emilika. Le Cendreux rompit la méditation et déclara avec une voix hésitante et grave :
-Moi aimerait une pièce où méditer seul si tu veux bien. Et pas trop confortable si tu peux.
-Ça va surement me faire bizarre de te loger dans me sous-sol…
-Sous-sol ? Assez bien pour moi, où est l’accès ?
Emilika lui montrait la porte, et le Cendreux se glissa à l’intérieur du sous-sol pour se reposer.
Les jours qui suivirent furent magique pour les deux Cendreux, mais un jour, une personne vient toquer chez Emilika, un vieil homme en robe rouge encadré par deux soldats en tenue noire déclara :
-Ma fille, écartez-vous pour que mes hommes et moi-même puissions vérifiez qu’un démon ne s’est pas introduit chez-vous.
Emilika allait protester quand l’un des deux gardes la poussa violemment, la maintint au sol en posant une épée sur son cou. Le Cendreux, ayant entendu la conversation se glissa en silence de porte en porte jusqu’à étrangler le second soldat. Le vieil homme sortit une hache et chercha à sauver son camarade, mais le Cendreux se matérialisa devant lui, et le frappa jusqu’à ce que le vieil homme sorte en courant, suivit par le second garde, qui lâcha Emilika par la même occasion. Celle-ci récupéra ses armes et partit en compagnie du Cendreux à la chasse et l’exécution des deux humains.
Depuis, Emilika fait des courses au village voisin pour montrer une bonne face en public, mais chez-elle, elle continue de placer des pièges avec l’aide du Cendreux dans les bois environnants. Lui, pour remercier Emilika de son hospitalité, garde sa maison pendant ses voyages, et à créer autre que sa chambre au sous-sol, une bibliothèque, une salle d’entraînement et de méditation.
Plus récemment, elle compte faire un long voyage dans d’autres contrées, donc elle à entrainer le Cendreux au maniement des armes. Et lui a offert une épée avant son départ pour Clantor.
Nom : Emilika
Race : Cendreuse
Date de naissance : Inconnu, puisque ce n’est pas réellement une « naissance », c’est une renaissance.
Aspect :
- On la définit comme juvénile, on peut dire que c’est une jeune adulte, mais resteras à jamais, tant qu’on ne la tuera pas, une adolescente.
- A des cheveux mi long brun qui, s’ils ne sont pas entravé (donc qu’ils sont lâchés), alors ils ondulent.
- Est de taille plutôt petite comparé à la moyenne. Elle est droitière.
- Ses yeux sont de couleurs bleu foncés rappelant les abysses des océans.
Comportement et caractère :
- Réservée, donc plutôt distante, et en apparence sans humour. Accorde donc difficilement sa confiance.
- N’aime pas les gouvernements puisqu’ils sont cause de conflits, elle espère un jour pénétrer dans une ère de paix, même si pour cela il faut entrer dans de longues batailles interminables
Capacités physiques et magique … :
- Possède peu de connaissances et de pouvoirs magiques, mais elle a pu découvrir qu’elle peut maîtriser la foudre.
- Elle ne possède guère de résistance physique, donc elle mise son style de combat sur son agilité et sa capacité à faire perdre la tête à ses adversaires, dans le sens propre et figuré.
- Elle a développé certaines facultés d’adaptation à de nouvelles situations. Et l’étrangeté de ses idées peut provoquer l’incrédulité et l’incompréhension de ses compagnons.
… Et faiblesse :
- Ne possédant pas d’une résistance physique, lorsqu’elle prend une attaque physique, elle sera plus facilement étourdit et sera plus gravement atteinte … Même si elle connaît l’usage et l’utilité des boucliers elle ne voit pas l’intérêt d’en porter un puisque cela entraverait ses mouvements et la ralentirait.
- Ses connaissance sur le monde de la magie étant limité, sa maîtrise et compréhension de son pouvoir dépend surtout de sa concentration … Et d’une grande part de chance.
Croyance et conviction :
- Ne connaît pas l’idée de religion, donc elle ne comprend pas le besoin d’avoir une identité supérieure.
- Espère que le monde sera un havre de paix, même s’il doit pour ça être dévasté par la guerre (oui, je sais que je me répète).
Possessions :
- Les armes qu’elle a obtenues, ses tenues.
- Elle s’est construit une petite cabane, mais elle ne révèlera pas sa position pour maintenir la rare paix qu’elle peut avoir dans sa retraite (même remarque que si-dessus)
Relation :
- Les rares relations qu’elle construit sont celles qui durent, elle aide avec joie ses frères et sœurs, qui ont abandonné ou non leur immortalité, et qu’ils aient accompli ou non leur méditation de naissance.
- Un mystérieux soldat surveille ses moindre fait et geste, mais ne l’aide en aucun cas, il semblerait qu’il souhaite la traquée pour une raison que lui seul connaît. Mais elle ne la jamais vu.
- Un Cendreux garde et entretien sa cabane lors de l’absence de Emilika, mais ce Cendreux peut tuer sans aucune hésitation les intrus.
Équipement :
- En combat de corps à corps, elle utilise un katana, qu’elle a récupéré sur le corps un aventurier l’ayant attaqué, ainsi qu’une hache à deux mains en acier crée par un maître forgeron après des services qu’elle lui a rendu. Elle a appris la technique d’utilisation de l’arbalète mais n’en possède aucune à ce jour. Enfin, elle possède et utilise une dague, ce qui est considéré comme l’équipement de base, rapide, meurtrier et surtout simple
- Possède également une tunique à capuche noire, recouvrant son armure de cuir, noir aussi.
- Elle utilise la magie à distance (ce n’est pas réellement un équipement, mais je préfère le rappeler)
L'image du personnage se trouve sur:
http://mes-images-de-jeu-de-roles-libre.over-blog.com/preview/dd21059296387b600903c3153d66939337805f2e
De plus, je sais que la qualité est très différentes des autres portraits, et que l'image est trop grande pour le forum, donc... Clique
Seigneur Jakub- En apprentissage
Fiche de personnage
Nom: Emilika
Race et classe: Cendreuse
Compétences:
Re: Emilika
Bah punaise j'ai rien à dire
C'est une très belle fiche ....
Le personnage est prenant et vu que tu utilises un autres sujet que t'as créé ça lui donne encore plus de profondeur
J'aime bcp ce type de caractère : complet et qui a un sens
(Le récit est vraiment bon : ton écriture est fluide )
Je valide à 200% bravo c'est excellent
C'est une très belle fiche ....
Le personnage est prenant et vu que tu utilises un autres sujet que t'as créé ça lui donne encore plus de profondeur
J'aime bcp ce type de caractère : complet et qui a un sens
(Le récit est vraiment bon : ton écriture est fluide )
Je valide à 200% bravo c'est excellent
Dernière édition par yellowhub le Sam 31 Oct - 23:59, édité 1 fois
yellowhub- Maître
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