[Quête RP] La vallée du temps

[Secoua]

[HRP] J'ai lu une grande partie de vos RP et j'ai remarqué qu'on pouvait plus ou moins en lancer comme cela nous chante, je vais donc prendre ce risque. Avant tout j'aimerai demander certaines choses : j'ai remarqué que de nombreux joueurs possédaient des personnages proches du niveau de dieux ou carrément invincible, j'aimerai beaucoup que ces personnages ne participent pas à ce RP car je trouve que tout perd son intérêt (même si ça n'engage que moi). Si possible ce RP devrait avoir un maximum de 4 joueurs histoire que cela reste sympathique et que l'histoire ne parte pas dans tous les sens. Merci de respecter tout ça, si je n'avais pas le droit de le demander prévenez-moi et j’enlèverai ces restrictions. En tout cas je suis heureuse de commencer enfin un RP sur ce site et j'espère qu'il va bien se passer ! [/HRP]

Un mois après son départ de Karande, son village natal, Flora arriva à l'entrée de la ville de Clantor complètement exténuée, les vêtements sales et le teint livide. Cela faisait 5 jours qu'elle n'avait rien trouvé à manger et elle avait tout juste pu boire les dernières gouttes de sa gourde un jour plus tôt : seuls ses nerfs et sa volonté de survivre la gardés consciente.

La vue de la ville soulagea la jeune fille, elle n'allait finalement pas mourir. Une larme coula le long de sa joue et elle tomba évanouie sur le sol juste à côté du panneau "Bienvenue à Clantor".

[Jolebo]

Passait par là un jeune homme bien maigre avec un lourd sac sur le dos. Ses vêtements étaient ceux que les paysans avaient l'habitude de porter et son teint livide indiquait qu'il n'était pas à sa première heure de travail.

En cette soirée d'été, devant les portes de la ville, le soleil projetait des rayons rouge sang. Certains disent que c'est mauvais signe, d'autres disent que ça donne de l'inspiration... Quoi qu'il en soit, les deux gardes à l'entrée saluèrent aimablement les personnes qui entraient en leur disant de se presser.

Omypol jeta un regard en biais à la fille qui marchait à présent à ses côtés. Les portes allaient bientôt fermer et tout le monde se vit obligé d'accélérer pour entrer. Dans la bousculade, ils se retrouvèrent collés l'un à l'autre.

Le jeune homme s'arrêta et déposa son chargement de farine par terre, attendant que la foule se disperse...

[Jolebo]

Au temps pour moi, je pensais que c'était la larme qui tombait "évanouie". Ca aurait été une jolie phrase poétique.

Omypol jeta son sac a côté de la jeune fille et appela à l'aide. Les portes n'allaient pas tarder à se refermer et il n'avait aucune envie de passer la nuit dehors. Il passa sa main sur le front brûlant de l'évanouie et sursauta à la chaleur de celui-ci. Ensuite il appela au secours une nouvelle fois et la traîna délicatement à l'ombre d'un arbre...

[Melvinn]

Jill Bralkar se réveilla et bailla comme un orgre. Il avait dormi comme un larbin, au sol dans la boue. Il ressentit aussi une grosse migraine. Il avait une belle gueule de bois à cause d'une bringue un peu trop arrosée.

Ces temps-ci il traînait excessivement dans les tavernes. Son commandant George Duckan, lui avait donné repos pour se requinquer. Il avait subi une estocade frontale sur son torse ferme et athlétique. Il était presque retapé. Mais il se barbait à la longue de ses coutumes récurrentes. Il voulait avoir de l'action, de l'aventure. Il avait la bougeotte !

Soudain, il entendit un homme appeler à l'aide. Il pensa rêver à cause de sa grande confusion intellectuelle. Puis le cri de détresse resurgit de l'autre côté de la forteresse. Alors l'intrépide Jill Bralkar prit ses jambes à son coup et sprinta vers la porte.

Il vit un homme, et une femme allongée sous un arbre. Fichtre ! Mais que font-il nom d'un âne bâté !
Les portes étaient presque fermée, il n'avait pas le temps de demander la raison de leur posture. Il fonça et les aida a ramener la fille à l'intérieur des remparts.

Puis il se tût et fixa le jeune homme comme pour l'exiger des réponses.

[Doktor Bizigu]

Nevaël suivait la cohorte des ouvriers rentrant du labeur, lorsqu'elle tomba sur un petit attroupement de trois personnes. Rassemblement fort éclectique, car il était constitué d'un genre de barbare velu, d'un homme de plus faible stature et d'air moins arrogant, ainsi que d'une femme, ou d'une jeune demoiselle en tout cas, qui semblait inanimée. Elle devait avoir son âge environ, mais ce n'était pas ce qui la préoccupait. À en juger par l'expression des deux hommes, et par le caractère étrange de la situation, elle s'approcha et demanda d'une voix faible :

"Excusez moi, que se passe-t'il ? Les portes vont bientôt fermer, il faut vous hâter.. Pardonnez moi si je vous dérange, mais ayant vu cette jeune femme, je ne pouvais quebme demander ce qu'il en était.."

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