Belder le guerrier-barde
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Belder le guerrier-barde
Nom: Belder
Surnom: Baldr ou Barde, ou encore "Dix-Pouces" pour certaines dames
Sexe: Masculin
Age: 36 ans
Race: Humain
Classe: Guerrier
Alignement: Chaotique neutre
Pouvoirs/capacités: Il sait très bien jouer de son luth, et est également très doué dans le maniement de son épée double. Sinon, il ne touche pas à la magie.
Description physique: Belder est un homme puissamment bâti. Il est plus grand que la plupart des hommes, et sa largesse lui donne l'air d'être un géant tout en muscle. Malgré ce physique intimidant, son visage est la joie incarnée. Un visage jovial, franc et ouvert, orné d'une généreuse barbe blonde pas très longue et remontant jusqu'aux tempes. Il est chauve et ne porte aucun couvre-chef. Ses yeux sont marrons avec des reflets verts à la lumière du jour. Son bras gauche est également parcouru d'une ancienne cicatrice de tesson de bouteille (ancienne bagarre de taverne). Il est la plupart du temps revêtu de son équipement décrit plus bas...
Liste de l'équipement: Il porte des vêtements en cuir bouillis et clouté, qui lui donnent une certaine prestance. Il cache sous ces vêtements de voyage une cotte de mailles qu'il entretient le mieux possible, étant donné que c'est le seul souvenir que l'homme a pu garder de son père. Il porte également des bottes de cuir très confortables, volées à un marchand très puissant dont il a oublié le nom. Ses mains et ses avant-bras sont protégés par des brassards de cuir et des mitaines de la même matière.
Au niveau des armes, il peut se targuer d'avoir une magnifique épée longue en acier, trouvée sur un champs de bataille abandonné. Il possède également une dague de médiocre qualité, mais qui l'a sauvé plus d'une fois dans les situations périlleuses.
Outre tout cet équipement guerrier, il joue de la musique et a donc un magnifique luth en bois poncé et verni. On pourrait croire qu'il a appartenu à un barde très riche (ce qui était le cas avant sa mort...), et à présent, c'est Belder qui s'en occupe. Il a également un bandonéon dont il a appris les accords tout seul.
Description mentale: Belder est un homme simple et facile à comprendre. Il est l'envie de liberté incarnée et n'a que faire de ce que les autres pensent de lui. Il n'a que très peu connu ses parents, et a donc grandi à "l'école de la vie" comme il le dit si bien. Très débrouillard et peu éduqué, il a assuré sa survie en ne se fiant qu'au seul conseil que son père lui ait jamais donné; "Ne te fie jamais à personne, seulement à ton arme." Il n'a donc jamais fait confiance à personne, ce qui lui a souvent sauvé la vie.
Malgré son tempérament bouillonnant, il est également poète (et à certains moments "fleur bleue" contre toute attente) et musicien. Il joue du luth à la perfection, et son gosier braille non sans harmonie des chansons populaires et des airs de son propre cru, étant donné qu'il a tout le temps du monde à s'y consacrer.
Il a des idées philosophiques très différentes de la plupart des gens. Outre son envie de liberté et son problème avec l'autorité, il pense également que les dieux sont un groupe de vieux séniles immortels, déjà vieux à l'aube des temps, qui s'amusent à faire les sempiternelles mêmes blagues à l'Humanité, avec en plus un mauvais goût cosmique.
Qualités: Bon guerrier, excellent musicien, simple et franc, très débrouillard
Défauts: Rustre, grivois, problèmes avec l'autorité
Histoire: Belder naquit dans de vertes plaines au nord de la région de Clantor. Son village était, comme tant d'autres dans le coin, sujet à de régulières visites de la part des pillards et des brigands. Le pire de tous ces gredins était sans nul doute Vareg le Borgne, le chef du groupe de pillards le plus fourbe et sanguinaire qui ait jamais écumé les plaines de la région.
Fils d'un forgeron, le jeune Belder n'avait que 6 ans lorsque Vareg, avec ses gens, dévasta son village, réduisant les maisons en cendre, les enfants en esclavage, et tuant le reste. Il parvint à fuir avec son père en prenant un cheval, mais sa pauvre mère fut malheureusement violée et tuée par les pillards. Fuyant le plus vite possible le raid, ils ne se retournèrent qu'après avoir bien galopé à l'est. C'est ce brutal et soudain évènement qui marquera à vie Belder.
Alors que son père, boiteux depuis l'attaque, tentait depuis deux ans de faire subsister son fils en travaillant comme bûcheron ou gardien de cochons dans un petit village de l'est, le bandit borgne passa dans les parages. Il n'était pas revenu pour incendier un nouveau village, mais pour une affaire plutôt sérieuse. En effet, il attendit que le père de Belder revienne du bois où il travaillait pour le lyncher. La seule justification de ce traitement fut hurlé par le chef de la racaille: "Ta sale chienne me les a arrachés! Tu vas payer pour ça, salaud!"
Evidemment, le lynchage ne s'était pas arrêté là. Le père avait évidemment été émasculé devant son fils, sous le regard impuissant des villageois et les cris abominables de la victime. Lorsque les bandits repartirent, le père mit quelques jours à mourir d'une infection due à cette blessure ignoble. Agé alors seulement de 8 ans, il commença une vie de vol à l'étalage, qui marcha dans son village jusqu'à ce qu'il se fasse découvrir. Là, après s'être fait bastonné pour la cause, il changea de village et se remit à son maraudage.
Il finit par être pris sous l'aile d'un forgeron qu'il avait tenté de voler. Celui-ci prit le gamin crasseux en pitié et décida de le prendre dans sa forge, où il pourrait apprendre un métier. Ce qu'il fit à merveille, développant sa force au contact du soufflet ou du marteau. Il croyait retrouver son père en la personne du vieux forgeron. Cette période bénie ne dura malheureusement que cinq ans, lorsqu'âgé de 16 printemps, il retrouva son maître égorgé dans le fond d'une ruelle. Il se souvint alors d'une phrase marquante que lui avait dit son père: "Ne te fie jamais à personne, seulement à ton arme."
Revenant donc de la ruelle dans la forge, il s'équipa, et décréta à présent qu'il en avait marre à présent de toutes ces gentilles personnes qui se faisaient tuer par des personnes peu recommandables. Etait-il un réceptacle à meurtres? Il en doutait, car il avait déjà sa version de la religion, et il pensait que tous ces malheurs étaient les blagues de mauvais goûts des dieux, êtres séniles et décatis. Ainsi armé d'une immense épée, dernière création de son mentor, et d'une dague, il partit à l'aventure, bien décidé à ne jamais oublier d'où il venait.
Il lui arriva un nombre incalculable de péripéties durant ses voyages, qui vous seront résumées autre part (ou bien vous les contera une fois bien bourré). Malgré tout, il apprit durant ceux-ci à jouer du luth, se rapprocher des puissants pour mieux les dérober, s'insérer dans un groupe de bandits et s'y faire une place, échapper facilement à une milice de ville ou bien encore partir sans payer d'un établissement de restauration moyen (en gros, se barrer d'une taverne sans verser une seule pièce). Il fit la cour à toutes sortes de dames, des serveuses aguicheuses aux nobles pudiques. Il mena une vie de liberté, affronta des gens en duel, chanta ses créations à des ivrognes tard dans la nuit... Mais il est une chose dont il fut fier; la mort de Vareg le Borgne.
Alors qu'il s'était intégré à un groupe de pillards, il fut surpris et choqué par une nouvelle semblant surgir d'une tombe; le chef du groupe était Vareg le Borgne, cette infâme crapule qui avait tué la plupart des personnes qu'il aimait. Bouillant de colère, il avait accosté cette ignoble fripouille en lui lançant: "Hey! toi! Le type sans couilles! Est-ce que c'est vrai que ton courage s'est barré avec?!"
Sous cette insulte de très (très) mauvais goût, le chef s'était retourné et avait failli s'étouffer avec sa nourriture, et pour cause; seul lui et un de ses lieutenants était au courant pour son petit "manque" au niveau de l'aine. Alors qu'il ne réagissait pas à la pique, Belder s'avança vers l'homme. Celui-ci put tout de même dire: "Qui es-tu pour savoir ça? Je ne t'ai jamais vu auparavant!"
Mais c'était trop tard. Avant de l'avoir vu venir, une immense épée double se planta dans la tête du mécréant, à moitié. L'immense guerrier lui lança alors une dernière pique: "Crève au nom de la sale chienne et du salaud, Vareg le Sans-Burnes."
Ce nom restera plus connu après sa mort que son sobriquet d'origine...
Après toutes ces péripéties et ces pérégrinations aux quatre coins de Zaerod, le guerrier-barde comme on l'appelait commença à se demander quelle atmosphère pouvait avoir la grande ville qu'il avait évitée depuis tout ce temps; Clantor.
A happy life for a happy man
But: Aucun en particulier. Peut être bien s'amuser, attirer une ou deux femmes dans son lit et brailler quelques comptines avec des piliers de comptoir...
Surnom: Baldr ou Barde, ou encore "Dix-Pouces" pour certaines dames
Sexe: Masculin
Age: 36 ans
Race: Humain
Classe: Guerrier
Alignement: Chaotique neutre
Pouvoirs/capacités: Il sait très bien jouer de son luth, et est également très doué dans le maniement de son épée double. Sinon, il ne touche pas à la magie.
Description physique: Belder est un homme puissamment bâti. Il est plus grand que la plupart des hommes, et sa largesse lui donne l'air d'être un géant tout en muscle. Malgré ce physique intimidant, son visage est la joie incarnée. Un visage jovial, franc et ouvert, orné d'une généreuse barbe blonde pas très longue et remontant jusqu'aux tempes. Il est chauve et ne porte aucun couvre-chef. Ses yeux sont marrons avec des reflets verts à la lumière du jour. Son bras gauche est également parcouru d'une ancienne cicatrice de tesson de bouteille (ancienne bagarre de taverne). Il est la plupart du temps revêtu de son équipement décrit plus bas...
Liste de l'équipement: Il porte des vêtements en cuir bouillis et clouté, qui lui donnent une certaine prestance. Il cache sous ces vêtements de voyage une cotte de mailles qu'il entretient le mieux possible, étant donné que c'est le seul souvenir que l'homme a pu garder de son père. Il porte également des bottes de cuir très confortables, volées à un marchand très puissant dont il a oublié le nom. Ses mains et ses avant-bras sont protégés par des brassards de cuir et des mitaines de la même matière.
Au niveau des armes, il peut se targuer d'avoir une magnifique épée longue en acier, trouvée sur un champs de bataille abandonné. Il possède également une dague de médiocre qualité, mais qui l'a sauvé plus d'une fois dans les situations périlleuses.
Outre tout cet équipement guerrier, il joue de la musique et a donc un magnifique luth en bois poncé et verni. On pourrait croire qu'il a appartenu à un barde très riche (ce qui était le cas avant sa mort...), et à présent, c'est Belder qui s'en occupe. Il a également un bandonéon dont il a appris les accords tout seul.
Description mentale: Belder est un homme simple et facile à comprendre. Il est l'envie de liberté incarnée et n'a que faire de ce que les autres pensent de lui. Il n'a que très peu connu ses parents, et a donc grandi à "l'école de la vie" comme il le dit si bien. Très débrouillard et peu éduqué, il a assuré sa survie en ne se fiant qu'au seul conseil que son père lui ait jamais donné; "Ne te fie jamais à personne, seulement à ton arme." Il n'a donc jamais fait confiance à personne, ce qui lui a souvent sauvé la vie.
Malgré son tempérament bouillonnant, il est également poète (et à certains moments "fleur bleue" contre toute attente) et musicien. Il joue du luth à la perfection, et son gosier braille non sans harmonie des chansons populaires et des airs de son propre cru, étant donné qu'il a tout le temps du monde à s'y consacrer.
Il a des idées philosophiques très différentes de la plupart des gens. Outre son envie de liberté et son problème avec l'autorité, il pense également que les dieux sont un groupe de vieux séniles immortels, déjà vieux à l'aube des temps, qui s'amusent à faire les sempiternelles mêmes blagues à l'Humanité, avec en plus un mauvais goût cosmique.
Qualités: Bon guerrier, excellent musicien, simple et franc, très débrouillard
Défauts: Rustre, grivois, problèmes avec l'autorité
Histoire: Belder naquit dans de vertes plaines au nord de la région de Clantor. Son village était, comme tant d'autres dans le coin, sujet à de régulières visites de la part des pillards et des brigands. Le pire de tous ces gredins était sans nul doute Vareg le Borgne, le chef du groupe de pillards le plus fourbe et sanguinaire qui ait jamais écumé les plaines de la région.
Fils d'un forgeron, le jeune Belder n'avait que 6 ans lorsque Vareg, avec ses gens, dévasta son village, réduisant les maisons en cendre, les enfants en esclavage, et tuant le reste. Il parvint à fuir avec son père en prenant un cheval, mais sa pauvre mère fut malheureusement violée et tuée par les pillards. Fuyant le plus vite possible le raid, ils ne se retournèrent qu'après avoir bien galopé à l'est. C'est ce brutal et soudain évènement qui marquera à vie Belder.
Alors que son père, boiteux depuis l'attaque, tentait depuis deux ans de faire subsister son fils en travaillant comme bûcheron ou gardien de cochons dans un petit village de l'est, le bandit borgne passa dans les parages. Il n'était pas revenu pour incendier un nouveau village, mais pour une affaire plutôt sérieuse. En effet, il attendit que le père de Belder revienne du bois où il travaillait pour le lyncher. La seule justification de ce traitement fut hurlé par le chef de la racaille: "Ta sale chienne me les a arrachés! Tu vas payer pour ça, salaud!"
Evidemment, le lynchage ne s'était pas arrêté là. Le père avait évidemment été émasculé devant son fils, sous le regard impuissant des villageois et les cris abominables de la victime. Lorsque les bandits repartirent, le père mit quelques jours à mourir d'une infection due à cette blessure ignoble. Agé alors seulement de 8 ans, il commença une vie de vol à l'étalage, qui marcha dans son village jusqu'à ce qu'il se fasse découvrir. Là, après s'être fait bastonné pour la cause, il changea de village et se remit à son maraudage.
Il finit par être pris sous l'aile d'un forgeron qu'il avait tenté de voler. Celui-ci prit le gamin crasseux en pitié et décida de le prendre dans sa forge, où il pourrait apprendre un métier. Ce qu'il fit à merveille, développant sa force au contact du soufflet ou du marteau. Il croyait retrouver son père en la personne du vieux forgeron. Cette période bénie ne dura malheureusement que cinq ans, lorsqu'âgé de 16 printemps, il retrouva son maître égorgé dans le fond d'une ruelle. Il se souvint alors d'une phrase marquante que lui avait dit son père: "Ne te fie jamais à personne, seulement à ton arme."
Revenant donc de la ruelle dans la forge, il s'équipa, et décréta à présent qu'il en avait marre à présent de toutes ces gentilles personnes qui se faisaient tuer par des personnes peu recommandables. Etait-il un réceptacle à meurtres? Il en doutait, car il avait déjà sa version de la religion, et il pensait que tous ces malheurs étaient les blagues de mauvais goûts des dieux, êtres séniles et décatis. Ainsi armé d'une immense épée, dernière création de son mentor, et d'une dague, il partit à l'aventure, bien décidé à ne jamais oublier d'où il venait.
Il lui arriva un nombre incalculable de péripéties durant ses voyages, qui vous seront résumées autre part (ou bien vous les contera une fois bien bourré). Malgré tout, il apprit durant ceux-ci à jouer du luth, se rapprocher des puissants pour mieux les dérober, s'insérer dans un groupe de bandits et s'y faire une place, échapper facilement à une milice de ville ou bien encore partir sans payer d'un établissement de restauration moyen (en gros, se barrer d'une taverne sans verser une seule pièce). Il fit la cour à toutes sortes de dames, des serveuses aguicheuses aux nobles pudiques. Il mena une vie de liberté, affronta des gens en duel, chanta ses créations à des ivrognes tard dans la nuit... Mais il est une chose dont il fut fier; la mort de Vareg le Borgne.
Alors qu'il s'était intégré à un groupe de pillards, il fut surpris et choqué par une nouvelle semblant surgir d'une tombe; le chef du groupe était Vareg le Borgne, cette infâme crapule qui avait tué la plupart des personnes qu'il aimait. Bouillant de colère, il avait accosté cette ignoble fripouille en lui lançant: "Hey! toi! Le type sans couilles! Est-ce que c'est vrai que ton courage s'est barré avec?!"
Sous cette insulte de très (très) mauvais goût, le chef s'était retourné et avait failli s'étouffer avec sa nourriture, et pour cause; seul lui et un de ses lieutenants était au courant pour son petit "manque" au niveau de l'aine. Alors qu'il ne réagissait pas à la pique, Belder s'avança vers l'homme. Celui-ci put tout de même dire: "Qui es-tu pour savoir ça? Je ne t'ai jamais vu auparavant!"
Mais c'était trop tard. Avant de l'avoir vu venir, une immense épée double se planta dans la tête du mécréant, à moitié. L'immense guerrier lui lança alors une dernière pique: "Crève au nom de la sale chienne et du salaud, Vareg le Sans-Burnes."
Ce nom restera plus connu après sa mort que son sobriquet d'origine...
Après toutes ces péripéties et ces pérégrinations aux quatre coins de Zaerod, le guerrier-barde comme on l'appelait commença à se demander quelle atmosphère pouvait avoir la grande ville qu'il avait évitée depuis tout ce temps; Clantor.
A happy life for a happy man
But: Aucun en particulier. Peut être bien s'amuser, attirer une ou deux femmes dans son lit et brailler quelques comptines avec des piliers de comptoir...
Asarhed- Apprentissage terminé
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