[Race] Psylle
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[Race] Psylle
Psylle (Diaphorina Humanus) :
Le nom de Diaphorina Humanis est un nom qui date de l’explosion exponentielle de la démographie de l’espèce, durant les suites de la bataille d’Evergrim. Cette bataille fit des millions de victimes parmi toutes les espèces belligérantes. Après de grandes batailles nous les corps sont entreposés dans des charniers à ciel ouvert ; ce qui apporte des maladies. Ces maladies ont surtout touché la population humaine. Affaiblie, c’est surtout en l’espèce humaine que les psylles ont trouvés un terrain de développement adéquat et prospère. Les imagos les plus répandues et les plus notables à cette époque furent ceux issus des humains. C’est pour cela que des siècles après les érudits donnèrent le substantif humanus au genre Diaphorina ; alors que d'autres cas de contamination sur diverses espèces ont été recensés.
[Résumé]
La psylle est un parasite qui se nourrit de son hôte avant de croître de manière exponentielle. en fonction de la taille et de la nature des tissus consommés. Après intégration des tissus de l’hôte, la psylle entre en période de latence sous une forme chrysalide. Durant la gestation sous cette forme, l’ADN de la psylle se recompose et se combine à celui des tissus ingérés. Après cette période de mutation, elle acquiert sa forme mature ainsi qu’un certain nombre de caractères spécifiques à l’hôte. (généralement un avantage et un point faible). Le système de détermination génétique semblent être aléatoire.
Le nom de Diaphorina Humanis est un nom qui date de l’explosion exponentielle de la démographie de l’espèce, durant les suites de la bataille d’Evergrim. Cette bataille fit des millions de victimes parmi toutes les espèces belligérantes. Après de grandes batailles nous les corps sont entreposés dans des charniers à ciel ouvert ; ce qui apporte des maladies. Ces maladies ont surtout touché la population humaine. Affaiblie, c’est surtout en l’espèce humaine que les psylles ont trouvés un terrain de développement adéquat et prospère. Les imagos les plus répandues et les plus notables à cette époque furent ceux issus des humains. C’est pour cela que des siècles après les érudits donnèrent le substantif humanus au genre Diaphorina ; alors que d'autres cas de contamination sur diverses espèces ont été recensés.
[Résumé]
La psylle est un parasite qui se nourrit de son hôte avant de croître de manière exponentielle. en fonction de la taille et de la nature des tissus consommés. Après intégration des tissus de l’hôte, la psylle entre en période de latence sous une forme chrysalide. Durant la gestation sous cette forme, l’ADN de la psylle se recompose et se combine à celui des tissus ingérés. Après cette période de mutation, elle acquiert sa forme mature ainsi qu’un certain nombre de caractères spécifiques à l’hôte. (généralement un avantage et un point faible). Le système de détermination génétique semblent être aléatoire.
- Pour aller plus loin :
Éléments de Classification : Les psylles représentent l’ensemble des Insectes Hémiptères Sternorrhynques de la super-famille des Psylloidea issus du super-ordre des Endopterygota. Une centaine d’espèces existent appartenant pour l’essentiel aux familles des Psyllidés et Triozidés.
Hôtes : Essentiellement sur les hommes et sur les races humanoïdes et sur certains autres espèces bipèdes. Voici une liste non-exhaustive des espèces-cible et leur taux de prédisposition.
· Très sensibles : les humains (homo sapiens sapiens), les elfes (elfoides alfus albus),
· Sensibles : les nains (homo robustopodia nanus), les hobbits (homo robustopodia hirtipedus), les lutins (elfoides alfus neptunus), les fées (elfoides fata faeris),
· Moyennement sensible : l’ensemble des races globlinoïde comme le gobelin : (goblinides gobalus glauca), les orcs (Globinides gobalus Orca),
· Peu sensibles : Ogres (homo robustopodia orcus), géant (homo robustopodia gigantum),
·Très peu sensibles : les trolls (goblinides gobalus regeneratum),
Développement :
PREMIERE PHASE : de la larve à la nymphose
La psylle dispose de trois stades larvaires dont chacun d’eux correspond au cheminement dans le corps de l’individu.
Le premier stade correspond avant tout à un stade de désorientation. Les toxines sécrétée durant cette phase de camouflage auront pour but de tromper les défenses immunitaires en les désorientant. Doté de chimio-recepteur et traque les molécules sécrétées par l’organe cible.
Au second stade, la psylle -qui a réussi à déjouer les défenses- choisit l’organe-cible. Généralement il s’agit d’un organe non-vital où le flux sanguin est important pour une meilleure diffusion des toxines et une nutrition plus riche..(foie, reins, colons, estomac…). Les toxines sécrétées paralyse toutes les défenses immunitaires sur le trajet entre la larve de la psylle et l’organe-cible. A terme elles sont responsables d’un phénomène d’épaississement du sang, parfois d’une coagulation sévère.
Le troisième stade constitue le moment où la larve est entrée dans l’organe-cible et se repait du sang qui circule en lui. Il grossit au fur et à mesure qu’il absorbe de sang et à mesure qu’il grandit il sécrête des toxines qui paralysent le système immunitaire, les systèmes circulatoires lymphatiques et sanguins et enfin le système nerveux. L’individu se retrouve paralysé et la psylle peut atteindre sa forme pseudo-adulte.
· PATHOGÉNICITÉ ET TOXICITÉ : la maturation de la psylle, de son état larvaire (trois stades) à celui de sa forme adulte, est caractérisé par des symptômes et des infections causées par la défaillance du système immunitaire ; elle-même imputable à l’infection par sécrétion de toxines.
Chacun des stades larvaires sécrète une toxine spécifique qui affaiblira son hôte petit à petit.
Ces agents pathogènes peuvent infecter de nombreux types de cellules, principalement des lymphocytes, mais aussi des macrophages, des microglies dans le cerveau et d’autres cellules du système nerveux, et provoquer une profonde asthénie, la démence et des lésions du système nerveux périphérique. Après paralysie partielle de l’hôte, la psylle se repait de l’hôte. Généralement, ce dernier meurt à cause de la paralysie du système immunitaire avant de finir consommé par le parasite.
· DESCRIPTION DE LA FORME ADULTE : tout dépend de la taille du corps dans lequel la larve a mature. Il a été recensé des cas où la psylle avant sa phase de chrysalide atteignait 1,50m-1,80m. Il s’agit d’exceptions dont les hôtes étaient pour la plupart des géants.
Dans les tons jaunes, bruns, verts et de forme tentaculaire.
· PÉRIODE D’OBSERVATION : varie entre 1 à 3 mois après la contamination de l’hôte la variable étant fonction de l’organe parasité et de l’état général de l’hôte.
· DISSEMINATION : la psylle peut-être éradiquer avant qu’elle n ‘entre en période de recombinaison (nymphe). Le meilleur moyen reste le feu. Brûler le corps de l’hôte, car sans le corps le parasite meurt dans les heures qui suivent.Cycle de développement en Phase 1
SECONDE PHASE : La nymphe
Il s’agit de la phase durant laquelle la psylle connait une recombinaison génétique qui mène à la formation de la phase finale de la transformation de l’insecte : l’imago.
· DURÉE : cela dépend de la taille et de la nature de l’hôte. cela peut prendre quelques semaines à quelques mois, voire une année entière pour les organismes les plus complexes.
· SUIVI DE LA NYMPHOSE : la phase nymphale se découpe en plusieurs stades différents selon les attributs de l’hôte. Les stades principaux sont : intégration du système respiratoire et circulatoire de l’hôte ; l’intégration du système digestif et enfin l’intégration de son système de reproduction.
· COMPOSITION DE LA CHRYSALIDE : la psylle sécrète des tissus épidermiques comparables à celui de son hôte accompagné d’un système sanguin hybride.
TROISIEME PHASE : De la nymphose à l’imago
Il s’agit de l’étape ultime. À ce stade la psylle à atteint sa forme finale. Les transformations les plus impressionnantes ont été observés sur les créatures magiques et celles manipulant les arcanes. L’essence magique de ces créatures jouant le rôle d’un formidable catalyseur, dont voici les plus impressionnantes observées jusqu’ici :Diverses Psylles-humaines Divers Psylles-humains
Invité- Invité
Re: [Race] Psylle
Je supprimerai ce commentaire après, mais... waw, waw, waw. J'adore.
Dommage que le système de classification que tu utilises n'existe pas (encore)...
Dommage que le système de classification que tu utilises n'existe pas (encore)...
Jolebo- Fondateur
Fiche de personnage
Nom: Groshnak
Race et classe: Sage Demi-orque
Compétences:
Re: [Race] Psylle
À vrai dire, je me suis inspiré d'un arbre phylogénétique qui a déjà été ébauché : http://svtcolin.blogspot.fr/2011/05/premiere-classification-phylogenetique.html
Content que cela plaise.
Content que cela plaise.
Invité- Invité
Re: [Race] Psylle
Très intéressant, ça ouvre plein de possibilité ce type de concept !
Mortelune- En formation de Maître
Re: [Race] Psylle
j'aime bcp ce pricipe de mutation par rapport aux compétences de l'hôte, très intéréssant et ça ouvre plein de portes pour des personnages "évolués" <3
par contre pourrais tu me dire ce que c'est que la bataille d'evergrim
merci
par contre pourrais tu me dire ce que c'est que la bataille d'evergrim
merci
yellowhub- Maître
Re: [Race] Psylle
C'est simplement la bataille la plus sanglante de l'histoire de Zaerod ;-)
Les nains, elfes et humains se sont regroupés dans la forteresse d'Evergrim pour repousser l'assaut des forces d'Asmodée ; qui regroupait les Monstres et les Drows.
Voilà, je te laisse découvrir tout cela dans l'histoire du monde de Zaerod, section "Légende" de la bibliothèque.
Les nains, elfes et humains se sont regroupés dans la forteresse d'Evergrim pour repousser l'assaut des forces d'Asmodée ; qui regroupait les Monstres et les Drows.
Voilà, je te laisse découvrir tout cela dans l'histoire du monde de Zaerod, section "Légende" de la bibliothèque.
Invité- Invité
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