Le Nécromancien du Nord ...
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Le Nécromancien du Nord ...
Les Terres du Nord ! Me voilà dans le territoire des nordiques, il ne fallait surtout pas provoquer les habitants du nord réputé pour être des hommes et des femmes qui avaient grandi dans le sang, la guerre, le froid glacial, mais aussi dans l'alcool, les fêtes et les combats entre ami. En même temps, je ne comprenais pas les coutumes des nordiques qui consistaient à boire jusqu'à être soûl ou se battre pour être en quelque sorte le « chef ». Mais, vous vous demandez où je suis en ce moment chers lecteurs ou lectrices ? Eh bien ! Commençons par le commencement !
Il y avait trois jours dans une veille taverne puant l'alcool, la transpiration et j'en passe. Un jeune skaven sentant la mort, la peste et pire encore était assis tout près d'une table loin tout en savourant une bonne bière et un bon petit plat chaud loin des cris et du vacarme des voyageurs et des habitués de la taverne. Ce dernier possédait un pelage noir aussi sombre que les ténèbres les plus obscures avec des yeux qui brillaient d'un jaune éclatant comme la pleine lune et des dents aiguisées comme des rasoirs. Ce skaven c'était moi, Gork Norcha chaman de mon seul et unique dieu, « Le Seigneur des mouches et des rats » ! Tandis que je buvais et que je mangeais tranquillement sans être dérangé par les autres, un ork décida de s'asseoir à côté de moi. Ce dernier était vêtu d'une immense armure et d'une grande hache, on pouvait apercevoir quelques cicatrices et peintures de guerres sur son visage. Au début, je pensais que cet ork voulait me détrousser ou tout simplement me tuer pour m'en faire son nouveau trophée de guerre. Inquiet de le voir, je voulais sortir mon épée imprégné de maladies impossibles à guérir au cas si notre invité avait des intentions hostiles. Mais, « Le Seigneur des mouches et des rats » qui manipulait mon destin à sa guise en décida autrement. L'Ork commença à commander une boisson et de la nourriture au tavernier. Dès que cela fut fait, il décida de me regarder avec ses yeux glacials pour me dire :
« Hé toi-là ! Ouais, je te cause ! Bon, je vais être direct ! Tu as envie de gagner beaucoup d'argent, d'avoir une belle récompense ! Cela tombe bien j'ai un contrat à te confier ! Le but est simple ! Tout d'abord, tu dois attendre et retrouver tes futurs coéquipiers ! Oui j'ai recruté d'autres types pour cette mission ! Bon enfin bref ! Tu dois les attendre dans l'auberge du "Cheval Congelé" dans un petit village situé au nord dans une forêt là où la neige et l'hiver est éternel ! Tu me demandes quel est le but de la mission ?! Tu dois retrouver un certain "John Leurse" ! Plus connus sous le nom du "Nécromancien du Nord" ! En effet, ce dernier est recherché pour meurtre, utilisation de magies noires et autres divers crimes ! Mais, si tu l'as remarqué par son pseudonyme ! C'est bel et bien un nécromancien qui s'amuse avec les morts et qui n'arrêtent pas de provoquer le bordel là où il passe ! Voilà la mission ! Je veux que tu extermines cette vermine ! D'après les rumeurs, il a élues domicile dans une veille forteresse abandonnée dans les terres du nord plus particulièrement dans une forêt assez étrange ! En effet, il y a également pleins de rumeurs et de légendes à propos de cette forêt ! Des monstres qui rôdent à la recherche de proie, des fantômes qui hantent les régions les plus obscures de cette forêt et j'en passe ! Qu'est-ce que tu en dis ?! La récompense sera de 120000 pièces d'or ! Avec des équipements spéciaux si cela t'intéresse ! Tu peux aussi trouver des objets et des armes dans cette fameuse forteresse ! Acceptes-tu ce contrat ?! Oui ou mer** ?! »
L'Ork avait répondu très directement et j'étais assez perdu ! Tandis que je restais muet, ce dernier me montra la fiche de prime de ce fameux « John Leurse ». Apparemment c'était bel et bien un nécromancien recherché pour des crimes que l'on pourrait qualifier « d'ignobles ».
Bien que je ne voulais pas me lancer directement dans une aventure, la prime sur sa tête était très intéressante. Mais, quelque chose d'autre m'obligea à partir. Tandis que je continuais de réfléchir. Tout à coup ! Une voix dans ma tête apparut soudainement pour me dire :
« Salutation ! Mon cher chaman ! Ne t'inquiète pas ce n'est pas tes personnalités qui te parlent ! Mais, c'est bel et bien ton dieu ! J'ai une faveur à te demander ! Vois-tu l'homme sur la fiche de prime ! C'est un ancien acolyte qui m'a trahi ! Ce dernier a volé une partie de mes secrets et il s'est enfui dans une zone où je ne peux pas le localiser ! En ce moment, je suis trop occupé pour faire payer ce nécromancien pour cette trahison ! Mais, j'aimerais que tu t'occupes de lui à ma place ! En échange, tu recevras une belle récompense ! Je compte sur toi ! »
Suite à cela, j'étais un peu perdu ! Un ork me proposait de traquer un nécromancien pour une belle somme d'argent et de nouveaux équipements. Puis, comme par hasard c'était un ancien adorateur qui avait trahi mon seul et unique dieu et que je dois faire payer pour cette trahison. Décidément, les événements c'étaient trop précipités sur moi. Après avoir bu cinq chopes de bières pour me « rafraîchir la mémoire », je décidais finalement d'accepter la mission de cet ork. Le lendemain matin, je décidais de partir direction dans les Terres du Nord.
Après trois jours de voyages, j'arrivais finalement à destination. À peine, je m'étais les pieds, de la neige et le vent glacial m'accueillir dans ce pays où l'hiver était éternel. Durant mon trajet, j'avais croisé deux bandits qui avaient payé de leurs vies en voulant tout simplement me voler mon or. Je les avais rapidement massacrés en leur projetant seulement un sort pestilentiel avec un supplément de diarrhée, de fièvre, de toux et de paralysie, (je ne pense pas vous décrire des mecs en train d'agoniser de la diarrhée, de la toux, de la fièvre et pire encore soit une bonne idée). Puis, les symptômes de la maladie s'étaient chargés du reste. À part, le froid glacial et les deux bandits que j'avais croisés, le voyage s'était plutôt bien passé.
Puis, au bout d'un moment, j'arrivais dans un petit village nordique qui se situait à côté d'une étrange forêt qui planait une odeur et une ombre menaçante. Tandis que j'arrivais dans ce petit village, je décidais d'entre d'une auberge du coin pour me reposer. Comme je ne voulais pas attirer l'attention des nordiques, je m'étais mis une veille capuche sur mon visage pour éviter que les gens m'identifient. En effet, s'ils découvraient que j'étais un skaven, ils voudront me tuer, me brûler, voir pire. Mais, alors que je m'asseyais près d'une table tout en commandant une boisson fraîche au tavernier. Un nouveau personnage apparut soudainement ! C'est à partir de ce moment que notre histoire commençait véritablement ...
Gork- En apprentissage
Re: Le Nécromancien du Nord ...
Des rafales de vent barraient la route pour rejoindre les belles plaines enneigées du col des trois vallées. Le chemin était trop périlleux pour s'y aventurer. La neige était très fragile et le milieu menait à un précipice mortel.
Jill Bralkar se résigna à dame nature et prit un détour sur les flancs du lac Trent. A cheval dans son traineau, il traversa sans peine le bassin glacé et franchit un versant pour rejoindre l'autre côté de la gorge. En chemin, il rencontra des villageois qui lui expliqua que le chemin était fermé, car une bête y demeurait. Accablé de fatigue, il empoigna l'avorton et l'accula à lui donner sa gnôle. Il se rinca le corridor et épancha sa grogne.
- "Nom d'un grog âcre, c'est quoi cette piquette de vache ?"
Affligé, il jeta la gourde en fer dans la neige.
- "Et vous vous prenez pour des Nordiques ?" s'esclaffa-t-il en dévoilant ses dents jaunâtres.
Il se gratta sa barbe avec sa hache et dévoila un sourire malicieux tout en fixant la demi-portion de haut.
- "J'en ai plein la croupe, donne moi vite la direction d'une bonne auberge pour que je puisse étancher ma soif, espèce de singe barbant ! "
Le villageois répondit promptement à cette fripouille de Jill Bralkar et lui indiqua la route d'une main tremblante. Il célébra un adieu sournois et se précipita dans la direction opposée pour récupérer sa fiole. Dépité, il se retourna et aboya : "Enculé, tu as bosselé ma gourde ! Je te vengerai, salaud !"
Sa voix était tellement forte qu'il réveilla les géants des montagnes qui répliquèrent aussitôt par une avalanche. Affolé, le paysan prit ses jambes à son cou pour fuir la fatalité, mais c'était trop tard. Il était enseveli dans la neige.
Durant le trajet, Jill Bralkar souriait, fier comme un coq et réflichissait à ce qu'il allait boire. L'argent n'était pas un problème. Il était au service d'une personne très riche, le commandant George Duckan, héritié de l'Ordre du Phénix.
Rapidement, il se rapprocha du village, se faufila entre les ruelles et s'arrêta près de l'auberge. Il gratifia ses chiens d'eau fraîche.
- "Vous êtes de braves bêtes" dit-il en grattant sous l'oreille de Sherkan. "Je suis très fier de vous. J'ai fait une bonne affaire chez ce corniaud d'aristocrate et explosa de rire.
Il s'essuya ses yeux, entra dans la taverne, commanda une rasade de bourbon et se posa près du feu. D'une main ferme, il déposa sa hache à côté de la chaise, la lame au nivau du pose pied et affona son whisky d'un seul jet. D'une voix éraillée, il demanda la petite soeur en hurlant comme un étalon enflammé.
- "Maraud ! Ramène moi un autre godet de ta meilleur gnôle. J'ai envie de célébrer l'aboutissement de ma quête et m'enivrer d'allégresse" s'esclaffa-t-il.
Soudain, la hache frappa à la chaise et murmura qu'une personne étrange l'épiait sans relâche.
- "Maître, l'étranger au fond de la pièce vous fixe depuis un moment."
- "Nom d'un bête âne, arrête de m'importuner ! Tu ne vois pas que je suis occupé à me saouler" gloussa-t-il sans retenue en levant son verre.
- "A une journée inoubliable !"
Jill Bralkar se résigna à dame nature et prit un détour sur les flancs du lac Trent. A cheval dans son traineau, il traversa sans peine le bassin glacé et franchit un versant pour rejoindre l'autre côté de la gorge. En chemin, il rencontra des villageois qui lui expliqua que le chemin était fermé, car une bête y demeurait. Accablé de fatigue, il empoigna l'avorton et l'accula à lui donner sa gnôle. Il se rinca le corridor et épancha sa grogne.
- "Nom d'un grog âcre, c'est quoi cette piquette de vache ?"
Affligé, il jeta la gourde en fer dans la neige.
- "Et vous vous prenez pour des Nordiques ?" s'esclaffa-t-il en dévoilant ses dents jaunâtres.
Il se gratta sa barbe avec sa hache et dévoila un sourire malicieux tout en fixant la demi-portion de haut.
- "J'en ai plein la croupe, donne moi vite la direction d'une bonne auberge pour que je puisse étancher ma soif, espèce de singe barbant ! "
Le villageois répondit promptement à cette fripouille de Jill Bralkar et lui indiqua la route d'une main tremblante. Il célébra un adieu sournois et se précipita dans la direction opposée pour récupérer sa fiole. Dépité, il se retourna et aboya : "Enculé, tu as bosselé ma gourde ! Je te vengerai, salaud !"
Sa voix était tellement forte qu'il réveilla les géants des montagnes qui répliquèrent aussitôt par une avalanche. Affolé, le paysan prit ses jambes à son cou pour fuir la fatalité, mais c'était trop tard. Il était enseveli dans la neige.
Durant le trajet, Jill Bralkar souriait, fier comme un coq et réflichissait à ce qu'il allait boire. L'argent n'était pas un problème. Il était au service d'une personne très riche, le commandant George Duckan, héritié de l'Ordre du Phénix.
Rapidement, il se rapprocha du village, se faufila entre les ruelles et s'arrêta près de l'auberge. Il gratifia ses chiens d'eau fraîche.
- "Vous êtes de braves bêtes" dit-il en grattant sous l'oreille de Sherkan. "Je suis très fier de vous. J'ai fait une bonne affaire chez ce corniaud d'aristocrate et explosa de rire.
Il s'essuya ses yeux, entra dans la taverne, commanda une rasade de bourbon et se posa près du feu. D'une main ferme, il déposa sa hache à côté de la chaise, la lame au nivau du pose pied et affona son whisky d'un seul jet. D'une voix éraillée, il demanda la petite soeur en hurlant comme un étalon enflammé.
- "Maraud ! Ramène moi un autre godet de ta meilleur gnôle. J'ai envie de célébrer l'aboutissement de ma quête et m'enivrer d'allégresse" s'esclaffa-t-il.
Soudain, la hache frappa à la chaise et murmura qu'une personne étrange l'épiait sans relâche.
- "Maître, l'étranger au fond de la pièce vous fixe depuis un moment."
- "Nom d'un bête âne, arrête de m'importuner ! Tu ne vois pas que je suis occupé à me saouler" gloussa-t-il sans retenue en levant son verre.
- "A une journée inoubliable !"
Melvinn- L'Architecte
Fiche de personnage
Nom: Berjorak
Race et classe: Ensorceleur-Barde
Compétences:
Re: Le Nécromancien du Nord ...
Tandis que je mangeais un bon steak avec des frites et une bonne bière, un homme qui semblait être d'après l'apparence un nordique d'une taille gigantesque possédant une grande hache entra dans la taverne et demanda à la fille du tavernier une bonne boisson bien fraîche. Mais, ce n'était pas lui qui m'intriguait le plus, c'était en réalité sa grande hache. En réalité, j'avais reconnu qu'elle avait en quelque sorte magique, mais j'avais remarqué quelque chose d'autre qui était beaucoup plus étrange et beaucoup plus intriguant. Le nordique qui semblait vouloir boire commença étrangement à parler tout seul. Curieux est-il schizophrène comme moi ? Ou est-ce autre chose ? Mais, un élément pouvait me laisser facilement un indice, la hache qui tenait ne semblait pas seulement magique, il y avait quelque chose d'emprisonné en elle, mais je n'arrivais pas à trouver ce que c'était. En même temps, j'étais trop concentré à me remplir le ventre et à penser à mission. Pour le bien de mon maître, il fallait punir ce nécromancien qui l'avait trahi !
Dès que j'avais terminé mon repas, j'avançais lentement vers le tavernier en espérant de ne pas attirer l'intention. En même, c'était assez compliqué, les gens de la taverne voyaient un étranger avec une capuchonne qui recouvrait entièrement son visage. De plus, si on me regardait bien attentivement, on pouvait apercevoir mes deux yeux jaunes qui brillent comme la pleine lune. Donc, ce n'était pas facile d'éviter de se faire remarquer. Tant pis ! Ce n'était guère grave, je m'étais déjà fait remarquer dès que j'ai pointé le bout de mon museau dans cette taverne. Vous vous demandez pourquoi j'étais allé vers le tavernier ? En réalité, c'était pour demander au tavernier, s'il n'avait pas un laboratoire alchimique ou une salle de travaux à part pour préparer mes sortilèges, mes potions et mes armes sans être dérangé dans ma future mission. Tandis que j'avançais lentement vers le tavernier, je lui avais fait signe pour lui demander finalement :
« Désoler de vous déranger monsieur le tavernier, mais vous auriez une salle à part, voir même un laboratoire alchimique »
Le tavernier commença à se retourner vers moi avec son sourire, mais aussi avec son aire intrigué. Puis, il me répondit finalement :
« On a bien une petite salle à part ! Mais, on n'a pas de laboratoire ... Comment vous appelez ça ! Enfin bref ! On n'a aucun truc où on peut faire la magie et vos trucs bizarres ! Dites-moi l'ami vous n'êtes pas un sorcier ou autre de ces gens qui font des choses étranges ! Un petit conseil l'ami évité de parler de magicien dans les Terres du Nord ! Ici on n'apprécie pas les magiciens et autres intellos ! D'ailleurs d'où venez-vous mon petit bonhomme ?! »
Aïe ! J'aurais dû employer les bons mots à ce moment-là. Alors que le tavernier venait seulement de finir de prononcer ces paroles, un nordique qui était assis près d'une table commença de se lever de sa chaise. Ce dernier était vêtu d'une immense armure faites en peau de bête et il possédait un grand espadon qui se traînait derrière son dos. Puis, un silence total se fit et presque personne ne parlait pas ou ne bougeais pas d'un poil. Ce nordique commença à me regarder de travers et à me dire :
« Et toi ! L'étranger ! Tu n'as pas intérêt de ne pas te faire remarquer ! Comme le tavernier l'a dit on n'aime pas les magiciens et autres gars qui font des trucs bizarres ! Tu as intérêt à ne pas l'être ! Sinon je me ferais une joie de te décapiter pour en faire mon nouveau trophée ! »
Suite à cela, je commençais légèrement à paniquer ! Et comme stresse me déstabilisais, je commençais à prononcer des paroles pour essayer de calmer la situation alors qu'en réalité cela ne faisait qu'empirer :
« Mais, voyons monsieur, nous pouvons trouver un arrangement ! Vous n'allez tout même pas massacrer un pauvre innocent ... »
Puis, soudainement le nordique répondit d'une voix forte :
« La ferme vermine ! Je crois que je t'avais de ne pas faire ton malin ! Ta tête va vite tomber ! »
Très vite, il commença à sortir son arme et à commencer à s'énerver. Bien que le tavernier tentait d'essayer de le calmer, mais en vint. Il semblerait que personne ne voulait véritablement lui barrer sa route. Décidément, les nordiques étaient plutôt bizarres quand il s'agissait de régler les problèmes. Tu les regardais simplement de travers et ils veulent tous t'arracher ta tête vivante. Mais, ce dernier avait osé prononcer ce mot qui m'avait fait un choc, « vermine ». Puis, tout à coup, ce mot fit revenir des fantômes du passé. Très vite, j'entrais dans une grande colère et je commençais à sortir mes armes et à préparer mes sortilèges. Il avait prononcé le mot vermine, il allait le payer de sa vie l'enfoi** ! Tandis que le nordique était proche de moi, ce dernier me donna un coup d'espadon. Mais, j'avais pu réussir à l'esquiver. Très vite, quelque chose de verdâtre mélangé avec une forme évoquant de la magie fit son apparition au creux de ma main droite. Puis, tout à coup, j'envoyais cette chose verdâtre et je la plantais dans le dos de ce nordique.
Tout à coup ! Dès que cela fut fait, le nordique commença à lâcher son espadon. Au début, il commença à perdre ses forces et à trembler de partout. Puis, finalement, il s'allongea par terre et il commença à vomir ses organes sur le parquet de la taverne. Suite à cette action, l'homme tomba raid mort. Mais, alors que ce dernier mourut, le tavernier et quelques occupants de la taverne commencèrent à prendre panique et à quitter la taverne et ils commencèrent tous à crier :
« Sorcellerie ! Sorcellerie ! »
Les occupants de la taverne qui était encore resté ici étaient d'autres mercenaires ou voyous du coin. Puis, ils commencèrent tous à sortir leurs armes. C'est à ce moment que j'avais compris que je m'étais trop emporté et que j'avais provoqué une grosse bêtise. Toutefois, il y avait bien un autre personnage qui n'avait pas bougé dans cette pièce. C'était l'homme qui était entré soudainement dans la taverne avec sa grosse hache ! Et ce dernier allait commencer à entrer dans l'intrigue de cette histoire ...
Gork- En apprentissage
Re: Le Nécromancien du Nord ...
La vie coulait comme un long fleuve tranquille. Jill Bralkar se perdait dans ses pensées et rêvait de son bercail : son bar à cocktail, les filles de joie et son complice de commission. Soudain, des intrus jacassèrent comme des pies et interrompirent sa jubilation. Il baya, se frotta les yeux, se gratta les roupettes et examina les environs.
Une buse arriérée se frottait la manche avec un explorateur saugrenu, l'étrange personnage de tout à l'heure. Rapidement, le rustaud avala ses dents, recracha sa bile en position quadrupidique et s'écroula au sol. Aussitôt l'atmosphère s'enflamma, les poltrons prirent la fuite, les plus aguerris levèrent les armes et blasphémèrent contre la sorcellerie. Les bidasses encerclèrent l'avorton et le bloquèrent contre le bar.
Révolté contre la persécution et l'injustice, Jill Bralkar se leva, se précita promptement pour secourir l'étranger et lui signala d'une voix criarde de se coucher au sol.
- "couche toi, maraud !"
Il tournoya sa hache au ciel et tout à coup elle se tranforma en un kusarigama. D'un geste sauvage, Jill Bralkar le projeta en avant, la force centrifuge arqua la trajectoire de la chaîne et la faucille se planta comme du beurre dans le pilier en bois près de la porte. Ensuite, il s'avança vers la masse, tira la chaîne et les renversa simultanément. Sa hache se tranforma maintenant en hallebarde et d'un deuxième coup circulaire, il planta son arme dans le bar.
- "Le prochain crétin qui se lève sans ma permission, je lui découpe le crâne" dit-il sèchement !
Il pointa son doigt en directement de l'étranger et ajouta : "Lève toi et viens avec moi, Moustique. On décampe d'ici" sourit-il en lui donnant la main. "Nom d'une marquise précieuse, vous avez de la chance que je suis dans mon bon jour, sinon j'aurais pris plaisir à vous morceler" s'esclaffa-t-il.
Il détacha son arme qui redevena aussitôt une belle hache de guerre. Derrière son air de barbare se cachait véritablement un grand soleil chaleureux.
Une buse arriérée se frottait la manche avec un explorateur saugrenu, l'étrange personnage de tout à l'heure. Rapidement, le rustaud avala ses dents, recracha sa bile en position quadrupidique et s'écroula au sol. Aussitôt l'atmosphère s'enflamma, les poltrons prirent la fuite, les plus aguerris levèrent les armes et blasphémèrent contre la sorcellerie. Les bidasses encerclèrent l'avorton et le bloquèrent contre le bar.
Révolté contre la persécution et l'injustice, Jill Bralkar se leva, se précita promptement pour secourir l'étranger et lui signala d'une voix criarde de se coucher au sol.
- "couche toi, maraud !"
Il tournoya sa hache au ciel et tout à coup elle se tranforma en un kusarigama. D'un geste sauvage, Jill Bralkar le projeta en avant, la force centrifuge arqua la trajectoire de la chaîne et la faucille se planta comme du beurre dans le pilier en bois près de la porte. Ensuite, il s'avança vers la masse, tira la chaîne et les renversa simultanément. Sa hache se tranforma maintenant en hallebarde et d'un deuxième coup circulaire, il planta son arme dans le bar.
- "Le prochain crétin qui se lève sans ma permission, je lui découpe le crâne" dit-il sèchement !
Il pointa son doigt en directement de l'étranger et ajouta : "Lève toi et viens avec moi, Moustique. On décampe d'ici" sourit-il en lui donnant la main. "Nom d'une marquise précieuse, vous avez de la chance que je suis dans mon bon jour, sinon j'aurais pris plaisir à vous morceler" s'esclaffa-t-il.
Il détacha son arme qui redevena aussitôt une belle hache de guerre. Derrière son air de barbare se cachait véritablement un grand soleil chaleureux.
Melvinn- L'Architecte
Fiche de personnage
Nom: Berjorak
Race et classe: Ensorceleur-Barde
Compétences:
Re: Le Nécromancien du Nord ...
Tandis que l'atmosphère commençait à chauffer, je fus encerclé par des nordiques qui voulaient ma mort. En effet, comme j'avais tué l'autre gars qui m'avait traité de « vermine » tout à l'heure en lui lançant un sort pestilentiel. La plupart des personnes au bar commencèrent à être terrorisé et à prendre la fuite. Toutefois, les mercenaires, les bandits et autres personnes armés avaient commencé à sortir leurs armes avec l'intention de me tuer. C'est à ce moment-là que je m'étais dit que j'aurais dû réfléchir avant de passer à l'acte. Mais bon ! Ce qui est fait est fait. J'avais foutu la pagaille, j'allais payer les conséquences ! Toutefois, je ne voulais pas mourir et je n'avais pas l'intention de me laisser. Mais, l'histoire prit une autre tournure. Le nordique qui était entré soudainement avec sa grosse hache commença à se lever pour me dire à haute voix :
« couche toi, maraud ! »
Suivant ces ordres inconsciemment, je me baissais par terre. Puis, il commença à tournoyer sa hache tout en haut. Puis, d'un coup elle se transforma en une sorte de kusarigama. D'un geste sauvage, il le projeta en avant, ce dernier voltigea pendant un moment pour finir par retomber par terre. Puis, c'est alors que le nordique s'avança vers ceux qui voulaient me faire la peau, il tira soudainement sa chaîne et les renversa simultanément. C'est alors que sa hache (ou sa kusarigama) se transforma en une sorte hallebarde et rapidement il planta son arme dans le parquet du bar. Décidément, sa hache avait bien quelque chose de spécial. Suite à cela, je fus littéralement impressionné par la puissance de ce nordique. Ce dernier commença se retourna vers les autres nordiques pour leur déclarer à haute voix :
« Le prochain crétin qui se lève sans ma permission, je lui découpe le crâne ! »
Très rapidement, les autres commencèrent à ne plus bouger tétanisé de peur devant la puissance de cet homme. Ce dernier se retourna vers moi pour me répondre tout en donnant sa main :
« Nom d'une marquise précieuse, vous avez de la chance que je suis dans mon bon jour, sinon j'aurais pris plaisir à vous morceler ! »
Ouais ! Il avait en quelque sorte raison. Comme j'avais foutu la pagaille, j'avais eu de la chance à ne pas m'attirer les ennuis avec les nordiques. S'il n'avait été pas là, ma tête aurait fini sur une pique. Bien que je n'avais rien dit à mon « sauveur », je baissais ma tête pour le remercier et je fis de même aux autres nordiques pour en quelque sorte de m'excuser du boucan que j'avais commis. Pourquoi je n'avais pas parlé à ce moment-là ? La raison était assez simple, je ne voulais tout simplement pas dire un mot de travers pour éviter une nouvelle fois provoquer des ennuis.
Suite à cela, je décidais de sortir dehors. En même temps, je fis signe à mon « sauveur » de me suivre. Une fois sortie de l'Auberge tout était calme à pars le vent glacial et la neige qui m'accueillait depuis que j'avais posé les pieds dans ce pays où l'hiver était éternel. Je trouvais cela bizarre, je pensais que je me ferais accueillir par un grand nombre de guerrier nordiques et de villageois en colère à cause de l'accident que j'avais produit dans la taverne. Tout était calme, il n'y avait presque aucun bruit à pars celui du vent. Lorsque le nordique sortit de l'auberge, je décidais de fouiller dans mon sac pour lui donner un cadeau de remerciement suite au sauvetage qu'il avait effectué. Après avoir cherché pendant un moment, je lui donnais une poignée de pièces d'or (soit 200 pièces) et deux potions de soins supérieurs qui pouvaient facilement régénéré n'apportes quels blessures. Ces deux derniers, je les avais fabriquées il y avait très longtemps à base d'ingrédients naturels et de magie. Après avoir offert les cadeaux, je commençais à le regarder dans ses yeux pour lui répondre tout simplement :
« Je vous remercie énormément ce que vous avez fait, je vous offre ceci pour m'avoir sauvé la vie, j'espère qu'on se reverra bientôt. »
Mais, malgré ses mots d'adieu, l'histoire ne faisait que commencer ! Tout à coup, un vieil avec une longue barbe courant le plus vite possible cria :
« Fuyer ! Les morts arrivent ! Les morts arrivent ! »
Alors que le vieil homme fuyait quelque chose, je découvris ce qu'il avait terrifié. Dans la brume épaisse du froid accompagné du vent glacial et de la neige. Des sortes de créatures ressemblantes à des squelettes et des cadavres commencèrent à faire apparition. Ces monstres étaient bel et bien des morts-vivants, ces derniers étaient bien armés et ils sembleraient qu'ils n'avaient pas des intentions amicales. Alors que les squelettes firent apparition, je vis une nouvelle fois l'aubergiste de tout à l'heure courant les jambes à son cou. En effet, ce dernier était poursuivi par les morts-vivants, mais malheureusement les zombis le rattrapèrent et ils commencèrent à le dévorer vivant. C'est à ce moment que les véritables ennuis commencèrent ...
« couche toi, maraud ! »
Suivant ces ordres inconsciemment, je me baissais par terre. Puis, il commença à tournoyer sa hache tout en haut. Puis, d'un coup elle se transforma en une sorte de kusarigama. D'un geste sauvage, il le projeta en avant, ce dernier voltigea pendant un moment pour finir par retomber par terre. Puis, c'est alors que le nordique s'avança vers ceux qui voulaient me faire la peau, il tira soudainement sa chaîne et les renversa simultanément. C'est alors que sa hache (ou sa kusarigama) se transforma en une sorte hallebarde et rapidement il planta son arme dans le parquet du bar. Décidément, sa hache avait bien quelque chose de spécial. Suite à cela, je fus littéralement impressionné par la puissance de ce nordique. Ce dernier commença se retourna vers les autres nordiques pour leur déclarer à haute voix :
« Le prochain crétin qui se lève sans ma permission, je lui découpe le crâne ! »
Très rapidement, les autres commencèrent à ne plus bouger tétanisé de peur devant la puissance de cet homme. Ce dernier se retourna vers moi pour me répondre tout en donnant sa main :
« Nom d'une marquise précieuse, vous avez de la chance que je suis dans mon bon jour, sinon j'aurais pris plaisir à vous morceler ! »
Ouais ! Il avait en quelque sorte raison. Comme j'avais foutu la pagaille, j'avais eu de la chance à ne pas m'attirer les ennuis avec les nordiques. S'il n'avait été pas là, ma tête aurait fini sur une pique. Bien que je n'avais rien dit à mon « sauveur », je baissais ma tête pour le remercier et je fis de même aux autres nordiques pour en quelque sorte de m'excuser du boucan que j'avais commis. Pourquoi je n'avais pas parlé à ce moment-là ? La raison était assez simple, je ne voulais tout simplement pas dire un mot de travers pour éviter une nouvelle fois provoquer des ennuis.
Suite à cela, je décidais de sortir dehors. En même temps, je fis signe à mon « sauveur » de me suivre. Une fois sortie de l'Auberge tout était calme à pars le vent glacial et la neige qui m'accueillait depuis que j'avais posé les pieds dans ce pays où l'hiver était éternel. Je trouvais cela bizarre, je pensais que je me ferais accueillir par un grand nombre de guerrier nordiques et de villageois en colère à cause de l'accident que j'avais produit dans la taverne. Tout était calme, il n'y avait presque aucun bruit à pars celui du vent. Lorsque le nordique sortit de l'auberge, je décidais de fouiller dans mon sac pour lui donner un cadeau de remerciement suite au sauvetage qu'il avait effectué. Après avoir cherché pendant un moment, je lui donnais une poignée de pièces d'or (soit 200 pièces) et deux potions de soins supérieurs qui pouvaient facilement régénéré n'apportes quels blessures. Ces deux derniers, je les avais fabriquées il y avait très longtemps à base d'ingrédients naturels et de magie. Après avoir offert les cadeaux, je commençais à le regarder dans ses yeux pour lui répondre tout simplement :
« Je vous remercie énormément ce que vous avez fait, je vous offre ceci pour m'avoir sauvé la vie, j'espère qu'on se reverra bientôt. »
Mais, malgré ses mots d'adieu, l'histoire ne faisait que commencer ! Tout à coup, un vieil avec une longue barbe courant le plus vite possible cria :
« Fuyer ! Les morts arrivent ! Les morts arrivent ! »
Alors que le vieil homme fuyait quelque chose, je découvris ce qu'il avait terrifié. Dans la brume épaisse du froid accompagné du vent glacial et de la neige. Des sortes de créatures ressemblantes à des squelettes et des cadavres commencèrent à faire apparition. Ces monstres étaient bel et bien des morts-vivants, ces derniers étaient bien armés et ils sembleraient qu'ils n'avaient pas des intentions amicales. Alors que les squelettes firent apparition, je vis une nouvelle fois l'aubergiste de tout à l'heure courant les jambes à son cou. En effet, ce dernier était poursuivi par les morts-vivants, mais malheureusement les zombis le rattrapèrent et ils commencèrent à le dévorer vivant. C'est à ce moment que les véritables ennuis commencèrent ...
Gork- En apprentissage
Re: Le Nécromancien du Nord ...
Jill Bralkar sort de la taverne avec l'étranger et son sourire aux lèvres.
- "Nom d'un magot désopilant, les soudard tiraient une binette infect dans la gargote s'esclaffa-t-il. "Je suis quand même un franc cabotin, le premier qui sort sa tête je la découpe en deux" pouffa-t-il de plus belle.
L'étranger resta de marbre et discret. Caché sous sa cape, il dévoila un petit sourire timide et de gros yeux jaunes qui brillaient comme de l'or. Il sortit des objets de son sac et les lui donna pour le remercier.
Jill Bralkar lui tapota sa tête comme un tapi suranné et lui cassa presque une dent.
- "Nom d'un zèbre égrotant, tu devrais t'endurcir, petit gaillard" s'esclaffa-t-il. "Merci pour tes cadeaux, j'en prendrai soin" sourit-il.
Il lui remercia, accepta les offrandes et les plaça dans la poche de sa veste.
Soudain, des hurlements retentissaient au loin et des hommes criaient aux morts vivants. Jill Bralkar regardait au loin dans la brume et voyait une horde de monstres.
Il serra la manche de sa hache et cria d'enjouement : "Melo, je t'avais prévenu qu'on allait avoir une journée inoubliable" se torda-t-il de rire. "Je pense qu'on aura besoin de bras supplémentaires. Avorton, je vais rapidement ramener les larrons de la taverne. Attends mon retour et ne fonce pas dans la mort inconsciemment, c'est compris, maraud !" dit-il sèchement.
Il lui frappa dans le dos pour être sûr que le message était bien ancré, puis il coura à l'intérieur de la brasserie.
- "Bande de lourdauds dégénérés, on sonne le branle-bas maintenant ! Le village est assiégé de monstres abominables" cria-t-il.
Il leur donna la main pour se relever et une bonne tape dans le dos pour les réanimer. Jill Bralkar avait formé promptement une petite armée de sauvages et sortit à l'extérieur pour livrer une guerre sanguinaire.
- "Amusons-nous, les marauds !" s'esclaffa-t-il. "A la baston" tonitrua-t-il.
- "Nom d'un magot désopilant, les soudard tiraient une binette infect dans la gargote s'esclaffa-t-il. "Je suis quand même un franc cabotin, le premier qui sort sa tête je la découpe en deux" pouffa-t-il de plus belle.
L'étranger resta de marbre et discret. Caché sous sa cape, il dévoila un petit sourire timide et de gros yeux jaunes qui brillaient comme de l'or. Il sortit des objets de son sac et les lui donna pour le remercier.
Jill Bralkar lui tapota sa tête comme un tapi suranné et lui cassa presque une dent.
- "Nom d'un zèbre égrotant, tu devrais t'endurcir, petit gaillard" s'esclaffa-t-il. "Merci pour tes cadeaux, j'en prendrai soin" sourit-il.
Il lui remercia, accepta les offrandes et les plaça dans la poche de sa veste.
Soudain, des hurlements retentissaient au loin et des hommes criaient aux morts vivants. Jill Bralkar regardait au loin dans la brume et voyait une horde de monstres.
Il serra la manche de sa hache et cria d'enjouement : "Melo, je t'avais prévenu qu'on allait avoir une journée inoubliable" se torda-t-il de rire. "Je pense qu'on aura besoin de bras supplémentaires. Avorton, je vais rapidement ramener les larrons de la taverne. Attends mon retour et ne fonce pas dans la mort inconsciemment, c'est compris, maraud !" dit-il sèchement.
Il lui frappa dans le dos pour être sûr que le message était bien ancré, puis il coura à l'intérieur de la brasserie.
- "Bande de lourdauds dégénérés, on sonne le branle-bas maintenant ! Le village est assiégé de monstres abominables" cria-t-il.
Il leur donna la main pour se relever et une bonne tape dans le dos pour les réanimer. Jill Bralkar avait formé promptement une petite armée de sauvages et sortit à l'extérieur pour livrer une guerre sanguinaire.
- "Amusons-nous, les marauds !" s'esclaffa-t-il. "A la baston" tonitrua-t-il.
Melvinn- L'Architecte
Fiche de personnage
Nom: Berjorak
Race et classe: Ensorceleur-Barde
Compétences:
Re: Le Nécromancien du Nord ...
[HRP] Désolé du retard à cause de ma vie irl (devoirs) [HRP]
Alors que je venais de donner les cadeaux au nordique, ce dernier me tapota dans le dos. Toutefois, dès que la horde de morts-vivants débarqua en tuant au passage le tavernier. Je commençais à sortir mes armes et à préparer mon sortilège. Ces morts-vivants n'étaient pas là par hasard, ces derniers étaient probablement les larbins envoyés par le Nécromancien du Nord. Décidément, ce dernier portait bien son nom. En effet, avant que j'arrive dans les Terres du Nord, l'orque qui m'avait embauché pour cette mission m'avait dit que ce nécromancien terrorisait souvent les villages et mêmes les villes des alentours dans la forêt où il avait élu domicile. Alors que je sortis mes armes et commençais à préparer mes sortilèges, le nordique qui m'accompagnait se retourna vers moi pour me dire :
« Melo, je t'avais prévenu qu'on allait avoir une journée inoubliable *rire*. Je pense qu'on aura besoin de bras supplémentaires. Avorton, je vais rapidement ramener les larrons de la taverne. Attends mon retour et ne fonce pas dans la mort inconsciemment, c'est compris, maraud ! »
Alors que la horde de zombis commença à s'approcher de plus en plus vers le village, je suivis le conseil de mon "sauveur". Toutefois, je préparais diverses potions et sortilèges lorsque les ennemis s'approcheront de plus en plus. Soudain, le nordique sortit de la taverne accompagné des hommes armés de tout à l'heure qui voulaient me tuer il n'y a pas si longtemps à cause de l'incident qui a eu lieu dans la taverne. En même temps, l'homme que j'avais tué l'avait bien mérité pour m'avoir traité d'une telle façon, mais surtout pour se montrer hostile à mon égard. Cependant, lorsque tout le monde fut réuni pour contrer cette menace de morts-vivants, les nordiques avaient presque oublié cette ancienne histoire pour se concentrer face à ce danger beaucoup plus grande. Puis, soudainement le nordique qui m'avait sauvé la vie accompagnée de sa mystérieuse hache magique commença à hurler :
« Amusons-nous, les marauds ! »
Tout d'un coup, tout le monde poussa un hurlement et commença à charger contre la horde de zombis y moi compris. Alors que nous étions entrains charger, j'en profitais pour lancer plusieurs sortilèges contre nos ennemis. C'est alors qu'une nuée de mouche, de moustique et autres parasites sortirent de mes manches pour aller charger contre les morts-vivants. Dès que la nuée d'insectes étaient sur les morts-vivants, ces petites bestioles commencèrent à dévorer la chaire morte des zombis. Alors que nous arrivons dans la mêler et que les armes commencèrent à s'entrechoquer. De nombreux zombis avaient péris avant même que nous arrivions vers eux, grâce à mes braves petits insectes. D'ailleurs, ces derniers continuèrent encore de dévorer la chaire morte des zombis alors que la bataille ne faisait que commencer. En plus des nordiques armés, les insectes devinrent nos nouveaux alliés. Malgré, le froid polaire, ces petits animaux arrivaient quand même à résister à cette température extrême.
Tandis que la bataille venait de commencer, je sortis ma dague et mon épée acier. Puis, je commençais à livrer bataille contre les morts. J'arrivais à esquiver les coups des ennemis et à leur infliger des coups de lames accompagnés de sorts pestilentiels. C'est ainsi que j'arrivais à tuer cinq zombis durant la mêlée. Toutefois, ce fut les nordiques les plus impressionnants. Ces derniers étaient nés dans une terre gelée où il y avait que la guerre et ce n'était pas de simples zombis qui allaient les faire tomber au combat. D'ailleurs, ils arrivaient à en massacrer un grand nombre sans problème. Mais, c'était le nordique avec la grande hache magique qui excellait le plus dans la bataille ...
Gork- En apprentissage
Re: Le Nécromancien du Nord ...
Jill bralkar se ruait tel un rhinocéros percutant tout sur son passage. Sa hache était devenue une arme de mort, une belle hallebarde, qui dansait comme une ballerine. Sa lame chevauchait les courants d'air et frappait à toute volée les misérables monstres.
Les autres sauvages s'élançaient avec euphorie sur la masse et versaient le sang partout où ils passaient.
Le nombre de monstres diminua très rapidement ne laissant que des tas de cadavres morcelés. Le sol était devenu rouge, la neige avait fondu avec la chaleur de la guerre.
Jill bralkar accablé de fatigue, s'avança près de l'étranger tout en sueur. Il cracha une tonne de bave dans sa main titanesque et se rinça légèrement la tête engluée de sang.
- "Aucune perte à signalé, Avorton ? Bigre, c'était une sacré bataille !" souria-t-il.
Il leva son arme qui était redevenue sa hache originale et tonitrua un cri de guerre pour glorifier la victoire.
-"Mhhhhhhhhhhhhooooooooaaaaaaaaaaaaaaaa"
Aussitôt, toute la masse de barbares donna la voix et créa dans les alentours des avalanches de neige.
-" Nom d'une bête de somme, Thor prend son pied avec nous, les maraud" s'esclaffa-t-il.
Toute la bande remit alors une deuxième couche.
Jill Bralkar avait complètement oublié l'étranger et commençait à partir en direction de la taverne pour fêter la victoire avec ses camarades de guerre.
Les autres sauvages s'élançaient avec euphorie sur la masse et versaient le sang partout où ils passaient.
Le nombre de monstres diminua très rapidement ne laissant que des tas de cadavres morcelés. Le sol était devenu rouge, la neige avait fondu avec la chaleur de la guerre.
Jill bralkar accablé de fatigue, s'avança près de l'étranger tout en sueur. Il cracha une tonne de bave dans sa main titanesque et se rinça légèrement la tête engluée de sang.
- "Aucune perte à signalé, Avorton ? Bigre, c'était une sacré bataille !" souria-t-il.
Il leva son arme qui était redevenue sa hache originale et tonitrua un cri de guerre pour glorifier la victoire.
-"Mhhhhhhhhhhhhooooooooaaaaaaaaaaaaaaaa"
Aussitôt, toute la masse de barbares donna la voix et créa dans les alentours des avalanches de neige.
-" Nom d'une bête de somme, Thor prend son pied avec nous, les maraud" s'esclaffa-t-il.
Toute la bande remit alors une deuxième couche.
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Melvinn- L'Architecte
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