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Message par Bartolz Mar 15 Déc - 17:57

bonjour la communauté et surtout vous mortelune et assiah, j'ai une requête asses spéciale à vous demander...
pourriez vous lire l'histoire qui va suivre et me donner en quelques mot les point positif et négatif

merci d'avance j'ai vraiment besoin d'un regard expert, c'est pour un amis merci^^

histoire:

***Extrait d'un ancien livre :
 
"Dans tout Equestria le mot divinité est généralement associé aux princesses de Canterlot:
Celestia, la divinité du Soleil et Luna, la divinité de la Lune.
Mais d'autres divinités ont existés, certaines ont été oublié et d'autres ont préférer êtres oublié.
Ce fut le cas d'une divinité en particulier, celle de "L'Apaisement".
Apaisement, ce mot est bien trop faible pour définir cette divinité, car son rôle n'est pas d'apaiser à proprement parler, mais plutôt d'entrainer l'âme des vivants en les emmenant vers la mort.
Il est le crépuscule de la destiné, les ténèbres qui dévore les dernières lueurs de la vie.
On dit que cette divinité vaque dans le monde des vivants depuis le début des temps à la recherche de son propre apaisement.
Certain dise encore que ceux qui l'on rencontrer son revenue comme vide, déposséder de leurs êtres..."
 
Ah ! Je ne peux plus lire une seul ligne de ce navet...
Des foutaises ! Des calomnies ! Comment les vivants peuvent t'ils lire ce genre de livre, comment peuvent t'ils racontés des choses qu'ils ne savent pas ?! Premièrement je ne vole pas l'âme les vivants, seulement celle des mourants à qui j'abrège les souffrances avant l'inévitable. Deuxièmement, je ne "dévore" l'âme des vivants, moi personnellement je préfère les pommes. Troisièmement, je ne "vaque pas dans le monde des vivants", je suis actuellement enfermer dans ma montagne depuis... Depuis ? Oh peut importe !
Si ces imbéciles connaissaient mon histoire ils ne me verraient pas comme une divinité, je ne suis pas une divinité ! Une divinité à la chance d'être ce qu'elle est ! Moi ?! Je suis le jouet de la vie, son martyr ! Elle m'a pris tout ce que j'avais et même ce que je n'avais pas ! J'aurais mille fois préféré mourir plutôt qu'êtres le monstre que je suis aujourd'hui !
Je n'ais pas toujours été comme sa... J'aurais aimé mille fois être quelqu'un d'autre... Mais le destin en a décidé autrement.
Oh ! Je vois à votre regard que vous me prenez pour un monstre vous aussi...
Vous n'avez pas tout à fais tord, mais laisser moi vous racontez mon histoire ensuite jugé moi comme bon vous sembles.
Commençons par le commencement, étant enfant j'étais orphelin, j'avais atterrie à l'orphelinat de la ville de Detrot, je n'avais pas la sympathie de mes pairs de l'orphelinat, j'étais la tête de turc de mon école, les autres m'insultais, me frappais et me lançais des cailloux.
Même mes professeurs me lançaient des regards remplis de dégout et de mépris.
Chaque jour de ma vie étais un supplice, mon enfance détruite par autrui... qu'avais-je fait pour mériter une telle haine ?
Le temps passais mais ce fut de pire en pire, ayant grandit dans la tyrannie de mes camarades à l'école cela ne s'arrangea pas adulte.
"Bon à rien", "catastrophe ambulante", qu'ils me disaient... Chaqu'un de mes boulots finissais comme sa, mais je persévérais, peut être que ma destiner était au bout du chemin, j'avais fois en mon avenir, même si ce n'étais pas gagner.
Par la suite tout ce que j'entreprenais dans la vie était un échec cuisant, mais je ne baissais pas les bras pour autant.
Et un fameux jour, "ce" fameux jours qui aura été l'élément déclencheur de ma vie.
J'avais été embauché pour un job de livreur, je devais livrer des cartons remplis de tissus de toutes sortes.
Sur le trajet une bande de loubars bloqua mon convois, je reconnue leurs visages, il s'agissait des brutes qui me caillas aient lorsque j'étais petit.
Ils m'avaient attrapé et immobilisé, pendant que ses ordures me volais les marchandises que je devais livrer les autres me tabassaient, tout sa devant les yeux des passants...
Pourquoi personne ne faisais rien ?! Ils me regardaient tous comme une bête de foire que l'on passait à tabac.
Puis elle est arrivé, "Lâcher le ! Bande d'ordure" criait t'elle, je ne savais pas qui elle était mais la bande de loubard s'enfuie à toutes allures.
J'étais écrouler de douleur mais quand j'avais relevé la tête pour voir la seul personne qui m'avais secourue et quand je l'ai vue, je n'en croyais pas mes yeux, elle était si belle, son visage était celui d'un ange tomber du ciel, sa crinière étaient d'un blanc éclatant et ses yeux pourpres était aussi magnifique que un améthyste polie.
"Es-ce que sa va ?" me disais t'elle, mais subjuguer par sa beauté je n'avais pas pus répondre et quand soudain j'avais repris mes esprits je m'étais enfui sans même lui dire merci le visage rougi d'amour.
Est t'es ce de la timidité ou de la lâcheté aujourd'hui même je ne le sais pas...
Bien évidement en revenant bredouille à mon travail, je m'étais fais virer même après avoir expliqué ce qui c'étais passé.
Je me souviens d'avoir eu honte de mon comportement envers ma bienfaitrice, m'êtres enfui sans même la remercier, je me sentais petit de cet acte.
Je m'étais mis en quête de la retrouver pour la remercier et me faire pardonner de mon comportement, mais comment la retrouver je ne connaissais pas son nom...
J'étais donc parti la chercher en ville malgré la population abondante je m'obstinais à vouloirs la retrouver.
Puis en traversant une route tout étais devenue noir.
Quand je suis revenu à moi j'étais dans une chambre d'hôpital, l'infirmière était derrière un rideau je voyais son ombre et celle de la piqure qu'elle préparait, cela me fît froid dans le dos mon imagination me faisais voir sa comme l'ombre d'un être machiavélique qui n'avais qu'une envie celle de me planté cette aiguille.
Pensant qu'elle était distraite je me faufilais en dehors de mon lit pour m'éclipsé discrètement.
"Vous n'êtes pas en état de sortir" m'a t'elle dit sans même ce retourner, quand je me suis retourné elle est sortie de derrière le rideau, c'étais "elle" celle qui m'avais sauvé des brutes de l'autre fois.
"Pourquoi vous vous êtes enfuie la dernière fois ?" m'a t'elle dit en m'enfoncent son aiguille dans le membre antérieur, "Je... enfin... Je..." lui disais-je rouge comme une pivoine, "Les gens de la ville ne sont que des égocentriques, ils vous ont regardez vous faires frapper sans broncher !" répliquât t'elle d'un ton colérique, "Ne vous inquiétez pas pour moi j'ai l'habitude..." lui rétorquais-je, "L'habitude ? Tu es un drôle de numéro toi. Oh ! Mais quel malpolie je fais, je ne me suis même pas présenté, je m'appel le Blanche.".
Suite à ce début de discussion nous avions continué de parler ensemble toute la journée, je lui avais raconté ma fastidieuse enfance, elle me confia par ailleurs qu'elle aussi n'avait pas eu de chance dans la vie, elle est née d'une famille riche mais c'était enfui de ce luxe qu'elle ne pouvait plus supporter et est partit construire sa vie par ses propre moyen, elle avait été virer de pas mal de travail, tout comme moi mais pas pour les même raisons, elle pouvais avoir un tempérament colérique voir cataclysmique quand elle s'énervait.
Nous nous comprenions tellement, mais je ne pouvais pas lui balancé "Je t'aime" comme sa.
Je passais tous les soirs à l'hôpital pour la voir, cela m'emplissais d'un bonheur immense.
Le destin avait enfin décidé de me sourire, en plus d'avoir rencontré Blanche, mon ancien employeur me réembaucha.
Plusieurs mois passer, je venais voir Blanche quotidiennement, nous allions souvent boire du cidre ensemble, elle me disait que j'étais drôle a voir après avoir bu.
Mais lors d'une de mes tournés, mais elle n'était plus à l'hôpital.
Je commençais à paniquer, elle lui était arrivée quelque chose, où était-elle ? Personne à l'hôpital ne m'avait répondu.
M'imaginant le pire je m'étais précipité à son domicile, me disant que je pouvais perdre la seul personne qui m'était chers.
"A louer", voilà la pancarte que j'avais aperçue devant chez elle.
Elle n'était plus la et pour rajouter encore plus de dramatisme il ce mis à pleuvoir.
Je rentrais chez moi sous une pluie diluvienne, me morfondant de ne pas l'avoir trouvé, quand je la vis en sanglot devant le pas de ma porte.
Je m'étais empressé de la faire entré pour qu'elle ne prenne pas froid.
Après l'avoir installé, couvert et préparer une boisson chaude je lui avais demandé ce qu'il a bien pue lui arrivé.
Elle me raconta en sanglotant qu'un des patients de l'hôpital étais l'une des brutes qui m'avais agressé auparavant, il l'aurait insulté ouvertement et l'aurait poussé à bout, suite à sa elle l'avait mit dans un état tel qu'il est repartie avec plus de blessures qu'à l'arriver.
A la suite de sa, elle fut virer de son travail et ayant quelque loyer en retard elle fut expulsé de son domicile.
Je ne pouvais pas la laisser comme sa, je lui avais proposé de vivre avec moi et c'est là qu'elle aussi m'a avoué qu'elle m'aimait, ce fut un choque je restais paralysé de joie puis les seuls mots qui sortir de ma bouche ont été : "Moi aussi je t'aime.".
Suite à cette tragédie à l'eau de rose, nous avions décidé de vivre ensemble et de commencé une nouvelle vie en quittant la ville pour nous installez dans un petit village, nous avions ouvert une boutique qui proposais tout type de service au habitant, notre couple étais inséparable, la simple idée de ne pas être en sa présence m'étais insupportable.
Nos affaires marchaient à merveille, tout les villageois étais sympathique ce qui nous changea, son agressivité intempestive ne faisait plus de ravage quant à moi j'étais apprécié de tous, nous vivions heureux et prospère.
Je me souviens encore de la tête que j'avais fais lorsqu'elle me demandât si je voulais avoir des enfants, avoir des enfants ne me dérangeais pas, mais étais t'on réellement préparer à devenir parent ?
 
Je vous avouerez que jusque là mon bonheur connaissait son paroxysme, mais toutes les bonnes choses ont une fin... Celle là fut tragique...
Ce jour là j'avais décidé de partir très tôt pour lui acheter un bouquet de fleur et lui annoncé que j'étais d'accord pour fondé une famille avec elle.
A mon retour je la vue, écroulé par terre, je m'étais précipité pour la remettre dans son lit, elle avait une fièvre infernal.
Tout les médecins du village ne purent la soigner, suite au diagnostique, Blanche avait une maladie incurable... Une maladie mortelle !
Je restais à son chevet jour et nuit sans m'accorder une once de sommeil, la rassurant du mieux que je pouvais, même si en réalité j'essayais de me rassurer moi même.
Jour après jour son état empirais, je la voyais souffrir de plus en plus au fil du temps, impuissant, incapable de pouvoir l'aidée je pleurais toutes les larmes de mon corps.
Puis un jour elle me dit : "Achève-moi. Par pitié achève-moi, je n'en peux plus, cette douleur, cette fièvre, je t'en supplie libère moi de cette maladie qui me ronge depuis déjà trop longtemps."
Mes larmes coulais continuellement tel un fleuve, elle me demandait de l'aidé, de la libérer, mais cela étais au dessus de mes forces.
Pourquoi la vie me prenait tout ce que j'avais, pourquoi s'acharnais t'elle sur moi ! Puis une voix résonna dans ma tête : "Si tu l'aime vraiment aide la, libère la de cette douleur, si tu n'en n'as pas la force je peux t'aidé, je peux te donné ce qui lui permettra de partir sans souffrir, de tes larmes et de ton désespoir je forgerais ta destiné..."
Après sa, une faux avec une lame rouge sang sortie de la flaque produite par mes larmes, je pris cette faux, je la brandis dans un mouvement de désespoir et au moment ou je l'abattis Blanche me dit dans un dernier soupir : "Merci, mon amour...".
Elle était partie, son visage était clair et apaisé, la faux n'avais laissé aucune cicatrice, elle ne tranchait pas le corps mais seulement le fil de la vie.
Quelque seconde après je me tordais de douleur, mon flanc me brulais, une marque sombre se dessinais dans ma chair comme si l'on me la marquer au fer rougis, la douleur était intenable, je me roulais par terre comme si mon corps prenait feu, mon dos me faisait souffrir le martyr comme si quelque chose voulait si extirpé, la douleur était tel que j'ai cru mourir et je m'évanouie en jetant un dernier regard vers Blanche.
 
Ah ce jour là j'aurais aimé que sa ce finisse simplement de cette manière, la vie est remplie de surprise mais la mort en est tout autant.
 
Je m'étais réveillé quelque heure plus tard, j'avais à peine repris conscience que je sentais quelque chose de changer en moi, des ailes noir et décrépit m'avais poussé dans le dos, qu'étais-je devenu que m'était t'il arriver ?
Plusieurs heures plus tard tout le village appris la nouvelle de la mort de Blanche.
Une cérémonie funéraire était prévue en son honneur, quand à moi je me morfondais en me noyant dans l'alcool en me disant que si je buvais assez j'allais me réveillé de ce cauchemar, je n'étais pas venu aux obsèques, je ne pouvais pas me résoudre à regarder la vérité en face, Blanche n'étais plus et sans elle je n'étais plus rien, les villageois tentaire me consoler mais je repoussais toutes aides de manière violentes, je ne sortais plus de chez moi, mon apparence faisais peur au autre et il finirent par me craindre.
Puis un matin pris de désespoir, je m'étais mis en tête de rejoindre mon aimé dans la mort, mais même sa je n'avais réussi, lorsque je tentais de me pendre la corde ce cassait, j'ingérais une forte dose de médicament mais cela ne me faisais rien, je n'étais qu'un bon à rien, un raté, un lâche !
Dans un élan de colère j'avais ravagé la maison, quand soudain je vis un couteau tombé au sol. "Aurais-je le courage de le faire" me murmurais-je, pour moi cela était le moyen le plus radical de la rejoindre, je ne pouvais pas me louper, je pris le couteau, le tendis vers ma poitrine et d'un coup sec et rapide je m'étais enfoncé la lame dans le cœur.
Pas de sang, pas de douleur, pas de réaction, à peine la lame extirper que je vue que je n'avais même pas de plaie.
D'effroi je fis tomber le couteau au sol, mes sabots tremblaient, qu'es ce qu'il m'était arrivé, pourquoi étais-je toujours en vie ?
D'un mouvement lent je me suis tourné vers le miroir et je vis un être sombre munie d'ailes, mais qu'étais-je devenu ?!
Puis cette voix résonna dans ma tête et me dit : "Sache que tu as été choisi pour accomplir de grande chose, comme tu as pu le constaté tu ne peux pas rejoindre le monde des défunts, sais-tu pourquoi ? Parce que ta destiné et de guidé les mourants jusqu'aux portes de la mort, tu es celui qui les libéreras de leurs souffrance et qui les apaiseras, tu as été choisi pour êtres la incarner l'apaisement des âmes."
Bouche bé de la nouvelle que je venais d'apprendre, cette phrase résonnais dans la tête : "Pourquoi moi ?! Qu'ais-je fais pour mérité sa ?! Je ne pourrais plus jamais revoir Blanche ?!"
"Maintenant accomplie ce pourquoi tu as été choisie, va et apaisent les âmes qui demande le repos."
"Vous m'avez tous pris ! Et maintenant je dois vous obéir ! Trouvez-vous un autre pantin !"
"Sache que tu n'es pas un "pantin", tu as été choisi, libre à toi de suivre ta destiné ou non mais sache que trop souffre et que tu peux leurs apportés la paix, tu ne les tues pas, tu les soulages d'une souffrance inutile que tu sois la ou pas ils mourront, puis sache que ta Blanche devais mourir car il en était ainsi, cela était écrit, ne me blâme pas je ne suis la que pour te renseigner.
Je vais tout de même te résumé tous ce que tu dois savoir:
-cette marque sur ton flanc et la marque de ta destiné, elle ne te rend plus mortel et elle te confie aussi la capacité de te caché aux yeux des vivants
- les mourants qui son condamné à mourir on besoin de toi afin de traverser dans l'autre monde sans aucune peine et comme tu l'auras remarqué la faux que je t'ai confié ne découpe que les liens de la vie mais elle réagira en fonction de ta volonté.
- lorsque tu seras appelé à cherché un mourant une lueur s'illumineras dans le dans les cieux seuls toi pourra la voir, une fois sur place tu entendras le cœur de l'être qui ne tarderas pas à mourir, reste au près de lui et attend qu'il soit près.
Sache qu'il n'est pas à toi de décidé si un être doit vivre ou mourir, mais tu t'en rendras compte en temps voulue.
-Ah, et ces ailes ton été donner pour que tu n'arrive pas trop tard lorsque ils t'appelleront
Voila je crois que je t'ai tout dit, maintenant à toi de choisir, soit tu aides ce qui en on besoin en accomplissent ce pour quoi l'on ta choisi, soit tu peux ignorer tous cela mais nous ne pouvons pas reprendre ce que l'on ta donner, tu le garderas malgré toi et ce pour l'éternité."
Ensuite cette voix s'estompa.
Le drame que je venais de vivre ne me laisser nul choix...
J'avais perdu ma seul raison de vivre et l'on m'a donné un fardeau par dessus le marché.
J'avais donc décidé de suivre cette voie que l'on m'avait imposé, n'ayant plus rien à perdre c'étais sois sa, sois la cuite éternelle pour noyer ce que je ne pourrais pas oublier...
 
Effectivement depuis ce moment j'avais un boulot de monstre avec une apparence de monstre mais mes sentiments restais présent, malgré les horreurs que j'avais vécu je ne voulais pas perdre ce pour quoi elle m'aimait.
 
Mon funeste périple venait à peine de commencé que je fus appelé à chercher ma prochaine cible.
Je me dirigeais vers la lueur quand j'aperçu un enfant jouant près d'une rivière, quand j'entendis son cœur résonner comme un gong une expression d'effroi se dessina sur mon visage, il était si jeune, pourquoi ?
Je le suivie pendant deux jours, puis en le regardant jouer près de la rivière je l'avais vue glisser et tomber dans l'eau, je vis à ses mouvement de panique il était probable qu'il ne savait pas nager, mon réflexe à été essayer de lui porté secours mais quand j'essayais de l'attraper je le traversais comme si je n'étais qu'un fantôme, j'étais en train de voir un enfant en train de ce noyer juste devant moi sans pouvoir rien faire.
Après un moment je ne le vis plus se débattre à la surface de l'eau, il était en train de ce noyer et personne ne pouvais l'aidé, afin de lui éviter les tortures de la noyade je décidais de l'apaisé.
Le corps de se petit fut retrouvé quelque heure plus tard, je n'avais pas supporté le fait de ne pas avoir pu le sauvé, remplie de culpabilité la moindre des choses était d'assisté à ses funérailles...
Je n'étais même pas remis de la mort de Blanche que j'assistais déjà aux funérailles d'une vie qui venait de s'éteindre bien trop tôt...
 
Et je vaquais comme cela pendant plus d'un millier d'année, à chaque fois, à chaque mort, j'assistais à leurs funérailles, c'était pour moi un moyen d'essayer de me faire pardonné de ne pas avoir pu leurs accordé plus de temps.
Le temps passait et cette douleur s'amplifiait, même si je l'avais enterré au fond de moi mais je savais qu'elle était encore là.
Afin de me divertir je décidais de choisir un "poulain" à sa naissance et je le suivais de sa vie jusqu'à sa mort, comme si il était l'enfant que Blanche et moi aurions pu avoir.
Je partageais ses souffrances, ses peines, sa tristesse mais aussi sa joie et sa passion.
Et le jour où son heure était venu, je le libérais avec rancœur.
Cette petite habitude aurait pu durer bien longtemps si j'avais su rester à ma place lors de cet "accident" dont j'étais l'auteur.
 
Comme à mon habitude je choisissais une âme pure et innocente venant de naitre pour la suivre du début jusqu'à la fin.
C'était un garçon, son visage exprimait la joie, il souriait tout le temps, sa joie de vivre m'emplissait de bonheur
Je le vis grandir, je l'accompagnais à l'école, je le regardais s'amusé, rire et profité de la vie.
Parfois lors de ses contrôles je lui soufflais les réponses au coin de l'oreille et lui les écrivaient sans même se rendre compte que je l'aidais.
Plus il grandissait, plus il souriait à la vie, je l'enviais, lui n'a pas encore connue le malheur et il ne le connaitra probablement jamais, tant mieux pour lui car c'est la chose que je lui souhaitais, vivre heureux et prospère.
Un beau jour, quand il se promenait en ville, nous avions vues des loubars qui harcelaient une jeune fille dans une rue étroite, d'un élan de courage il s'élançât pour la secourir, il chassa la racailles et secourut la demoiselle en détresse, je souriais de fierté de voir mon poulain accomplir cet acte plus qu'héroïque il se fit plus qu'une amie se jour la , mais aussi car paradoxalement à l'époque il m'était arrivé la même chose sauf que j'étais la "demoiselle en détresse".
Le lendemain je l'accompagnais à son premiers rendez-vous amoureux, il devait rejoindre sa promise à un parc non loin, sur le trajet je remarquais que l'on était suivie.
Dans une ruelle un des loubars de la dernière fois nous bloquais le passage, tandis que deux autres nous bloquais à l'arrière, ils s'attrapèrent mon poulain et le passait à tabac, je regardais cet épouvantable spectacle et cela sans pouvoir intervenir, suite à toute cette violence, les loubars partir en ricanant.
Je vis mon poulain écroulé sur le sol, il gisait dans une mare de sang, à ce moment là j'entendis son cœur battre...
Malgré toutes ses années à venir chercher les mourants je ne pouvais pas pardonner à ses ordures d'avoir réduis une âme aussi pure à l'état de défunt, il n'était pas sensé mourir de la sorte, une colère monstrueuse m'avais envahi ce jour là, après avoir apaisé celui que je considérais comme un fils j'avais décidé d'intervenir.
Me matérialisant dans le monde des vivants, j'interpellais les ordures et je leurs dit : "Ce qui ne savent pas respecter la vie ne mérite pas de la garder !"
Ils s'enfuirent d'effroi, comme si un monstre leurs couraient après, je les traquais à travers la ville jusqu'à une impasse.
 
Ils furent piégés, la peur que reflétais leur visage me faisais sourire sadiquement, j'attrapais le premier par la crinière et je lui mis ma faux sous la gorge avant de la faire glissé violement autour de son coup, le pauvre il se vidait de son sang en pleurant mais cela me satisfaisais au plus haut point.
Les deux autres étaient paralysés par la peur, j'en attrapais un deuxième et je lui découpais un membre antérieur, ses cris de douleur sonnait comme une magnifique mélodie à mes oreilles, pour qu'il continue j'avais décidé de le démembré jusqu'à qu'il soit inerte.
Le dernier pleurait toutes les larmes de son corps, le pauvre petit m'ayant vue torturer ses partenaires il devait s'attendre au pire, je me languissais de sa terreur, je m'approchais doucement de lui le sourire aux lèvres et il m'implora de l'épargné, mais le malheureux ne se rendit même pas compte que lorsqu'il me suppliait sa tête avait déjà été séparé de son corps.
J'étais satisfait, ils n'avaient eu que ce qu'ils méritaient, mais quelque seconde après, l'effroi se dessina sur mon visage, l'impasse était devenu pourpre, les cadavres étaient éparpiller sur cinq long mètre.
Qu'avais-je fais ! Quel monstre étais t'ai-je devenu, comment avais pu faire de tel atrocité...
J'avais littéralement perdu le contrôle, plus je revoyais la scène plus je ressentais le plaisir que j'avais pris à les mutilés.
Je compris que j'avais dépassé les bornes, au lieu de rester à ma place je me suis mis en position de juge sur qui dois vivre ou mourir.
Il fallait que je parte loin, loin de tout sa, loin des vivants car qui sais si je ne recommencerais pas à perdre le contrôle.
Je décidais de m'exilé la où les vivants ne pourraient m'atteindre mais d'où je pourrais les observés sans faire de mal à personne.
J'avais trouvé une montagne munie d'une grotte profonde au sommet, je décidais de mis installer.
Pendant un millier d'année je regardais les vivants ici bas, depuis un village avait été construit un peu plus loin dans la vallée, je n'avais plus qu'à espérer qu'il ne s'aventure pas trop loin dans la montagne, j'avais pris l'habitude de rester au calme au fond de ma grotte et pour le peut qui s'y son aventurer avais pris leurs jambes à leurs coup.
 
Voila maintenant vous savez tout, je suis condamné à la solitude pour l'éternité, rien que cela, mais je tiens à insisté sur le village dans la vallée et il y a une raison.

Dans ce village une jeune fille d'une gentillesse y vit, elle peut ce montrer parfois colérique mais en réalité elle a le cœur sur la main, je l'admire jour et nuit, plus je la regarde plus et je me dis qu'elle est la réincarnation de ma regretter Blanche.***
Bartolz
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Maître


Fiche de personnage
Nom: Arnold Bartolz
Race et classe: mort réincarné dans une marionnette
Compétences:

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