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Quand il faut y aller... [PV : Gabriel.]

2 participants

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Quand il faut y aller... [PV : Gabriel.] Empty Quand il faut y aller... [PV : Gabriel.]

Message par Lena A. Galina Dim 15 Sep - 22:02

La nature est un cadeau pour elle-même. La Terre s'est forgée elle-même au fils des années, et l’écosystème de cette planète fonctionne de manière égale, ou presque, essayant toujours de peser le pour et le contre. La verdure, le décor montagneux, le bleu de la mer... Les êtres vivant habitant dans tous ces lieux.

Souvent, les êtres vivants on besoin d'un départ nouveau, une arrivée. Tout comme le premier vole d'un oisillon, ou la première éclosion d'une fleur, le premier envole d'un papillon éphémère. La vie d'un humain est construite de ma même façon, bien que le départ peu se faire plus tard, ou plusieurs fois. Pour Lena, ce n'est pas son premier départ. Mais son second, en tant qu'adulte affirmée. En effet, cette jeune femme décida enfin de quitter le petit bout de ville où il n'y avait plus aucun boulot, plus aucune animation, et puis... Non loin de là, à quelque jours de marche, les villes non loin de Clantor, de grandes villes plus animées.

La marche est quelque chose de très long. Même si le décor qui s'offre à nous est a couper le souffle, la marche reste quelque chose de long et de lassant.
Lena avait attaché ses longs cheveux en une natte, et vêtue de ses vêtements habituels, tels que son pantalon de cuire muni de ses sacoches, de ses grandes bottes noires, et de son chemisier bouffant, où siégeait sur ses épaules une longue cape de coton, pour ne pas attraper froid. D'ailleurs, les yeux translucides de la jeune femme continuaient de fixer les cieux lointains, admirant l'astre du jour se coucher petit à petit. Cela faisait deux jours que Lena marchait à travers les bois et les forêts, tous aussi luxuriants que les précédents. Souvent, l'odeur et l'atmosphère dépendait du lieu et de ses habitants. Mais souvent, si l'on venait en tant que parfait Neutre, il n'y avait aucun problème, et souvent, les étrangers étaient bien accueillis.

Tantôt, à travers les grands et majestueux hêtres, s'écoulaient de petits ruisseaux où quelques Ondines vivaient, et partageait leurs savoir sur la Beauté. Tantôt, quelque Dryades et Hamadryades dialoguaient entre eux, se racontant leurs exploits passés avec leurs compagnons Elfes.
Ce qui plu le plus à la jeune femme aux cheveux flamboyant, était l'odeur de la montagne mêlée à l'eau ruisselante et fraîche qui semblaient tout droit tomber du ciel, à cause de la culmination de ces pics rocheux.

Lorsque la nuit tomba, Lena se débrouillait souvent pour trouver une vielle cabane délaissée par une sorcière ou d'un Hermite. Parfois, elle sortait de la forêt ou du bois pour trouver une auberge, juste en face. Cela était même plus sur, bien que cher, mais le repas y était compris. Puis, par une mâtiné quelque peu fraîche, où le soleil ne culminait pas encore dans le milieu des cieux, Lena était non loin de son but premier. Les villes plus vivantes approchaient.

La veille, elle avait passé la nuit dans une auberge chaleureuse et de bon prix. Les services étaient complet et les personnes y travaillent aimantes. La jeune femme se surpris même à sourire une fois, lors du repas du soir organisé par la gérante et toute sa famille. Toute l'auberge était réunie autour de grandes tables comme celles des banquets. La nourriture était bien grasse et tenait bien au cœur et au corps. Un bon repas, une bonne bouteille d'hydromel et un bon lit chaud. De plus, l'une des femme de chambre proposait son aide pour la lessive. Personne ne refuserait l'aide d'une vielle femme aux cheveux blanc comme neige et aux yeux dorés, aux mains tremblantes et aux pommettes si bombées de bonté. Le lendemain, l'Ada Galina déposa une bourse et un pourboire, satisfaite de ce passage qu'elle gardera en mémoire.

De sa démarche féline et élancée, Lena s'était engagée à arriver la journée même dans une ville, à savoir laquelle. Il ne restait que quelques heures de marche. Mais, elle savait qu'après avoir passé cette limite, le chemin ne sera pas aussi paisible qu'il a pu l'être précédemment. D'ailleurs, rien qu'en y pensant, un léger sourire vint fendre le visage blafarde de la jeune femme au visage laiteux.
Aujourd'hui, ses cheveux était détachés, propre et soyeux, dégageant une douce odeur de fruit des bois, et confiance était toute aussi resplendissante et forte.



«  Et bien, quand il faut y aller... Il faut y aller... ~ »


Elle continua alors sa marche, dans une forêt, bien plus sombre que les précédentes. Lena était alors bien plus prudente et observatrice, évaluant le moindre danger, se faisant silencieuse, presque interdite et invisible, sa main toujours posée sur sa lame, pour être aux aguets si le danger se fait.

Lena A. Galina
Lena A. Galina
En apprentissage


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Quand il faut y aller... [PV : Gabriel.] Empty Re: Quand il faut y aller... [PV : Gabriel.]

Message par Gabriel Ven 4 Oct - 14:00

Une âme vagabonde par ci, une autre perdue par là, elles se perdaient petit-à-petit, disparaissant du corps physique comme par magie, et ce corps, lui, tombait au sol, totalement inerte, le sang ne coulait plus, le temps y était comme figé à l'intérieur, ce qui ramène à dire que sans l'âme, la vie n'existe plus.

L'âme est la magie insufflant la vie et le corps en est le réceptacle, ce réceptacle, Gabriel n'en voulait pas, ce mage runique aux intentions malsaines se servait des âmes des pauvres créatures qui croisaient sa route pour alimenter ses pierres précieuses, réceptacles artificiels qui contenaient plus de magie qu'un corps "lambda" pouvait en contenir. Mais ce dangereux mage ne voulait pas l'intégralité des âmes de ses victimes, mais qu'une infime partie...


« Le flux des ronces n'est pas très important dans son corps, il m'en faut d'autres... »

C'était cela la phrase qu'il ressortait à chaque créature de la forêt qu'il massacrait, "trop peu" de magie dite "des ronces" coulait dans les veines des animaux. Ce flux est de la magie présente en infime quantité dans chaque corps vivants, c'est une magie ancienne qui permettait à l'équilibre de la magie de se faire, le flux stabilisait la magie, et les ronces permettaient de "piquer" la magie en y poussant autour afin de la bloquer pour ne pas qu'elle se dissipe.

Les créatures de la forêt où il s'y trouvait était trop faible pour lui, "des créatures bonnes qu'à être chassé" répétait-il sans cesse. Et c'est pour cela qu'il dirigea ses pas vers un nouvelle endroit, un endroit plus dangereux mais où la magie y était plus importante, chose que Gabriel s'empressa de s'y rendre...

La première créature qui l'intrigua était une petite Hamadryade en bas-âge qui commençait tout juste à pousser, le mage, comme tout mage qui se respecte, en connaissait un peu sur la faune et la flore et toutes créatures magiques, il savait que, si l'arbre auquel y était associé l'hamadryade venait à mourir, elle y succomberait à son tour.

Sentant une plus forte magie émaner de cette créature, le mage runique s'approcha à pas de loup vers elle, sachant qu'elle s'était endormie, Gabriel n'eût point de mal à lui transpercer le cœur d'une flèche runée correctement tirée de son puissant arc elfique. L'hamadryade ainsi décédée, il s'y approcha furtivement afin de récolter la magie des ronces que contenait son âme, et par chance, sa dernière pierre avait finie par être remplie, par bonheur pour lui car après le meurtre d'une des leurs, les hamadryades ne tarderaient pas à venir sur le lieu du meurtre.


« C'était quand même un bon désherbage. »

C'est avec fracas qu'il se dépêcha de fuir cette forêt afin de regagner les plaines où il se sentirait plus à l'aise.
Gabriel
Gabriel
En formation de Maître


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