un spectacle rien de plus [rp libre]

[Bartolz]

*Il faisait frais cette matinée, le soleil illuminait maintenant toutes les toitures des maisons et des manoirs de clantor, les fumées des cheminées commençaient à apparaitre, quoi de plus normal à l'heure de midi, on pouvait sentir les délicieuse odeur provenant des cuisines du palais et aussi des maisons.
Sur la place le marché prenait fin, les marchand commençaient à plier leurs stand pour partir dans d'autre villages alentour.
Il faisait bon vivre, les nouvelles de l'incident provoqué par Néfys n'était pas divulguer à la populace et tout le monde allé gaiement.
tous ? Pas tout à fais, une personne en particulier arpentait lentement les ruelle encore sombre de Clantor, il était vêtue d'une ample et large cape noire à capuche rabattue sous laquelle il cachait son visage au autres, cette silhouette inquiétante rendait nerveuse les passant et les marchant qui rencontraient sa route, ils s'en écartaient d'ailleurs.
Ce fut une petite fille qui arrêta la marche de l'inconnue, une petite fille souriante qui tira sa cape avec vigueur, l'inconnue se retourna et s'agenouilla pour avoir le visage à hauteur de celui de la fillette, il baissa son écharpe dévoilant un large sourire figée.

-Bonjour Hina tu vas bien aujourd'hui ? * la voix n'était pas humaines, un peu roque et lointaine.*

-Oui monsieur Bartolz beaucoup mieux je peux marcher normalement grâce à vous *on pouvais entendre la joie et le bonheur dans sa voix, c'était compréhensible après cette accident.* La petite Hina s'était casser la jambe en tombant dans un trou ma foi plus grand qu'elle dans la forêt, il faisait froid, il faisait sombre et c'est là que Arnold la récupéra et la ramena auprès de sa mère.
Mais le mal était fait, la jambe d'Hina était définitivement cassé et elle aurait dû boité pour le reste de ses jours, Arnold lui proposa alors de lui greffer une prothèse, mais pas une prothèse banal, une fais en bois de chêne imprégner de magie.
Hina et sa mère ne crurent à se miracle que quand la petite posa ses deux pied au sol et put marcher.
 
Tu veux venir avec moi pour voir mon spectacle ? j'allais me préparer.

*Hina acceptant en se jetant dans les bras de son sauveur, Arnold la serra un peu contre lui puis il se releva et partit avec la fillette vers un batiment, plutôt bizarre, il ressemblais à une grande maison tout se qu'il y avait de plus normal mais la façade côté rue comptais une petit scène et un grand rideau rouge.
Arnold enleva sa cape dévoilant ses long cheveux argenté et son visage souriant, avec ces habits noire on aurait dit un curé, deux colliers en perle de nâcre pendouillaient à son cou, mais aucun symbole religieux était sur lui ou sur ses vêtement, il ouvrit à moitié les grand rideau rouge tandis que la fillette s'assit en bordure de scène.
Arnold fit sortir deux marionnettes d'environ 1 mètre chacune, la première était vêtue d'une robe rouge et blanche, ses cheveux long et noires étaient coiffées en queue de cheval, le visage quand à lui avait été peint avec beaucoup de doigté, tout les détails d'un visage humain était la, les yeux étaient rouge écarlate et les lèvres dessinait un grand sourire sur ce beau visage, l'autre marionnette était un homme, habillé comme un noble, il était incroyablement bien préparé et détaillé, des chaussures jusqu'à ses cheveux rouges, il portait une longue cape et ses yeux d'un noir profond étaient attirant.
Arnold s'assit et prit son violon préférée, le posant sur l'épaule il commença à jouer lentement, une musique à la fois triste et émouvante, sa musique faisait souvent pleurer les gens mais c'était des larmes de joie la plupart du temps, les deux marionnette se mirent alors à danser lentement avec des mouvement d'une fluidité impressionnante, chose stupéfiante, Arnold ne tenait aucun fil pour manipuler ses pantins.
Hina était toujours émerveiller et touché par la musique et le spectacle qui s'offrait à ses yeux.*

Sa te plait? *Arnold continuait à jouer tout en parlant.*
*Hina le regarda et sourit une petite larme coula sur sa joue.* oui monsieur Bartolz
Alors passons, vient découvrir l'histoire d'un homme qui a tout perdu..., c'est une histoire triste *Arnold se leva et ouvrit le rideau en grand dévoilant des décors de forteresse de village et de champs.
*Faisant avancé d'autre marionnette et retirant le couple de danseur, Arnold fit le narrateur, il raconta l'histoire d'un jeune homme née dans une famille d'un village pauvre, il faisait avancé et jouer ses marionnette en fonction de ses paroles attirant quelques passant et quelques enfants qui passaient dans la rue.*

[Jolebo]

Stola, qui passait par là, s'approcha du lieu de l'événement. Elle resta toutefois discrète, cachée derrière un morceau de décor.

[Bartolz]

*Les pantins d'Alnold s'animèrent, et une première scène s'offrit aux yeux des passant, on pouvait y voir un homme et ses parents dans une pièce et une caravane de cirque arrivant dans le village*

Il était une fois un homme qui se rebella contre ses parents, ils voulaient faire de lui un soldat fier et couvert de gloire, ils étaient tellement assurée de leurs choix, qu'ils ne prirent pas en compte celui de leur fils.
Le fils voulait devenir marionnettiste, le plus grand qui soit, c'était son rêve le plus chère, mais ces parents trouvaient ce destin insultant.
Un jour, une caravane de cirque arriva dans son village et y fit son spectacle, dans les artistes il y avait un vieux marionnettiste.

*Avec ses paroles, divers artiste en pantins sortirent de la caravane et ce mirent à faire des tour de magie, des danses, et des spectacle.*

Le soir du départ, notre jeune aventurier plein de fougue décida de quitter son village et de rejoindre les troubadour, il s'échappa de sa maison et entra dans une des charette de la caravane.
Le lendemain, il fit une rencontre avec la seul personne qu'il avait admiré pendant le spectacle, le maître marionnettiste, en effet, ce dernier l'avait trouvé caché sous ses marionnettes.
Les deux hommes s'expliquèrent alors et le vieux marionnettiste accepta de le prendre comme apprentie.

*Hina était attentive et ne disait rien, captiver par le spectacle et de plus en plus de monde s'arrêtaient devant la scène pour voir Arnold.*

[Jolebo]

« On dirait que ce marionnettiste nous conte sa propre histoire. On peut dire qu'il sait y faire, même si c'est là un art qui ne m'intéresse nullement... Si seulement c'était du vaudou... »

La sorcière continua à profiter du spectacle, bien que l'afflux humain devenant de plus en plus nombreux la dérangeait de plus en plus. Elle finirait par partir si les gens continuaient d'arriver.

[Bartolz]

*Arnold continuait de manipuler ses marionnette*

-La caravane s'arrêta dans bon nombre de village, procurant joie et bonheur au monde jusqu'à ce que la troupe arrive dans une grande ville, Lemnos.

*A se nom beaucoup de personne de la foule écarquillèrent les yeux et certaines partirent tentant d'oublier la tragédie. 
Mais Arnold poursuivit son histoire*

-Le jeune marionnettiste tombit amoureux dans cette ville, il s'y maria et viva heureux, il avait quitté la troupe, mais il vivait à présent en famille et il avait  eu une fille.
un jour, l'homme dû aller à l'enterrement de ses parents, il partit donc de Lemnos et resta 2 jours dans sa ville natal, mais à son retour...

*Le décors changea et une citadelle lugubre apparut, une marionnette seul avança dans l'entre des ténèbres.*

-Notre aventurier s'avança dans le brouillard, il était courageux mais se qu'il allait découvrir l'aurai rendu fou, le mal qui avait tuer tout les habitant de la ville était incarnée par deux fillette, oh pouvoir terrifiant.
-Désarmé et désespéré il courut de plus en plus vite voulant échappée à la mort elle même, il entra chez lui et trouva sa femme et sa fille morte sans vie la peau grise, il hurla si fort, un crie de souffrance de colère de désespoir, mais il ne dit rien d'autre, deux mains se posèrent sur ses yeux et son âme fut arracher de son corps.

*La marionnette trembla et s'effondra.*

-L'âme de l'homme survécut et rentra dans une de ses marionnettes, il enferma l'âme de sa femme et de sa fille dans un bracelet en argent magique et il s'enfuit de la ville.

[Jolebo]

Stola se demandait s'il s'agissait d'une histoire véridique ou q'un simple légende... Elle pourrait peut-être en savoir plus en questionnant le marionnettiste. La jeune sorcière resta dans les parages, jusqu'à la fin du spectacle. Ces objets devaient avoir une certaine valeur...

... mais étaient-ils dangereux ?

[Bartolz]

*Arnold sourit et une caravane passa à côté du pantin*

-L'homme fut récupérer sur les route par une caravane familière, l'ancienne troupe qui l'avaient emmenez loin de son village natal, il fut recueillie par son ancien maître.
après une longue discution, le vieille homme donna à son ancien apprentie une grande marionnette qui avait une forme humaine, elle était parfaite un chef d'oeuvre, l'âme du pauvre homme y rentra et se mit à la hanter, il s'habilla, prit son précieux bracelet en argent et il descendit à Clantor ou il y réside encore de nos jour. 

*La foule était émue par l'histoire et un peu effrayer qu'une marionnette hanté se balade dans clantor.*

-Mes chères amis, n'allez jamais à Lemnos, le mal y est encore et il ne dort jamais

*Bartolz s'inclina devant la foule avec ses marionnette donnant sa fin au spectacle.*

[Jolebo]

Sur ce, la sorcière quitta l'emplacement de la petite pièce de théâtre et se convainquit d'aller à Lemnos.
« Il y a forcément des trucs intéressants, par là... »

[Tinùviel]

Idö, princesse déchue âgée de 20 ans, avait aperçu de loin le spectacle de marionnettes. Elle s'en était approché, accompagnée par l'esprit de son jumeau, que personne n'entendait ni ne voyait mis à part elle-même.

Avec ses grandes bottes de cuir brun, sa chemise d'homme blanche à jabot et aux manches bouffantes, son veston, son pantalon de corsaire et ses gants de cuir également bruns, sa longue cape de laine noire et la rapière accrochée au côté gauche de sa ceinture, la jeune femme aux longs cheveux blonds clair et aux yeux bleu glacier perturbait souvent les passants.

Son visage était dissimulé par un tricorne de cuir brun orné d'un grande plume blanche.

L'histoire raconté par l'homme par le biais de ses marionnettes lui avait étrangement réelle. Son frère lui souffla alors, après être aller observer l'homme :

*Il n'est pas humain... j'ai l'impression que c'est son histoire qu'il raconte...*

*Mais si c'est son histoire, il désire sûrement ressusciter sa femme et sa fille, comme je le désire pour toi, Várható* songea la jeune femme à l'attention de l'esprit.

Elle s'avança donc vers l'homme :

- Bonjour, Monsieur. Je tenais à vous dire que j'ai beaucoup été touchée par l'histoire que vous avez contée. Est-ce une simple légende ou est-elle tirée de la vie d'une personne que vous connaissez ?

[Bartolz]

*Bartolz regarda la jeune femme qui venait de s'avancer vers lui et repoussa une de ses mèvhe de cheveux argenté dévoilant son visage de marionnette peinte avec un talent rare, chaque trait du visage était tellement réussie qu'on aurait presque crue qu'il était encore humain.
Sa bouche, où un sourire permanent s'y trouvait, s'ouvrit et une voix douce s'en échappa.*

-Enchantée, je suis Bartolz, c'était mon histoire que j'ai raconté.

*Bartolz lui tendit sa main pour lui dire bonjour et sa large manche descendit un peut sur son bras dévoilant le fameux bracelet en argent pure.
Hina s'approcha de Bartolz les larmes au yeux et étreignit sa jambe.*

-Il ne faut pas pleurer Hina, ceux qui sont comme moi ne sont pas des monstres, tu porte une de mes prothèse magique tu n'en reste pas moins humaine.

*Hina sécha ses larmes et partit rentrant chez elle.*

-Ah les enfants...

[Tinùviel]

Idö, après que la petite fille s'en fut allée, serra la main de la marionnette humaine, comme un homme le ferait.

- Enchantée de vous rencontrer, Bartolz. Je me nomme Idö. Je vais être franche avec vous : j'aurais aimé savoir s'il aurait été possible de nous associer tous deux pour ressusciter les êtres chers que nous avons perdu.

Pendant sa dernière phrase, le regard bleu glacier de la jeune femme s'était posé d'un air entendu sur le bracelet au poignet de la marionnette.

Várható observait attentivement la marionnette humaine, cherchant à savoir s'il l'esprit s'y trouvant pouvait le voir, l'entendre ou même ne serait-ce que déceler sa présence, mais rien dans l'attitude de Bartolz ne laissait deviner qu'il avait connaissance de "l'existence" de l'esprit du jumeau de la jeune femme.

*Je pense qu'il ne peux pas me voir ni m'entendre, Idö. Ne lui dévoile ma présence que si tu le juge vraiment nécessaire. Je me méfie de lui, j'ai peur qu'il s'en prenne à toi... Reste sur tes gardes, ma sœur, comme je te l'ai toujours appris depuis que tu es arrivée sur ce continent.*

*Ne t'en fais pas Várható, je ferai attention.* lui répondit Idö, par la penser.

La jeune femme souriait, mais dans ses yeux, pour quelqu'un d'assez attentif, on pouvait voir une légère lueur de méfiance.

[Bartolz]

*Bartolz regarda longuement Idö sans dire le moindre mot.*

-Je veux bien m’associer avec vous deux... mais les seuls livres parlant d'objet ou de magie de résurrection se trouve à Lemnos, dans le cœur de cette capital maudite à la grande bibliothèque des archives interdites.

*La main de Bartolz tomba brusquement sur le sol*

-Encore cette fichue main qui ne tient pas...

*Il attrapa un bol de résine et un couteau et taila en collant sa main solidement, un travail presque parfait et précis relevant d'une grande maîtrise dans la fabrication et la modélisation du bois*

-Veuillez m'excuser pour cette incident, je hante cette marionnette depuis bien longtemps
Je pourrais fabriquer une marionette pour le fantôme qui vous accompagne si vous le voulez.

*Bartolz ne voyait pas le frère jumeaux mais il le sentait et entendait faiblement sa voix, il était lui même une âme brisé.*

[Tinùviel]

Lorsque Bartolz lui dit qu'il voulait bien s’associer avec eux deux, Idö tressailli légèrement. Bartolz voyait donc Várható. La marionnette lui dit que malheureusement, les seuls ouvrages traitant de résurrection étaient enfermés dans les archives interdites de la bibliothèque de Lemnos.

Puis soudain, une des mains de Bartloz se décrocha et tomba au sol. La jeune femme se pencha pour la ramasser, mais il fut plus rapide. Puis la marionnette recolla sa main avec une grande dextérité, qui impressionna Idö.

Les peurs de la princesse déchue furent atténuées quand Bartloz appela son frère par le terme "esprit". Il ne pouvait pas le voir, sinon il aurait eu tôt fait de remarquer leur très grande ressemblance physique. Mais cela ne voulait pas dire qu'il ne pouvait pas l'entendre.

*Várható, ne me parle plus que par la penser, il ne te voie pas , mais il peut-être t'entendre.* lui dit la jeune femme.

*Vos désirs sont des ordres, votre Altesse* lui répondit télépathiquement son frère avec un sourire un peu triste, lui rappelant leur passé traumatique.

Puis Idö se souvint de ce que venait de lui proposer Bartolz :

- Vous pourriez lui fabriquer une marionnette comme réceptacle ? Vraiment ? J'en serai enchantée, Bartolz, mais je ne tiens pas à vous ennuyer avec cela...

[Bartolz]

*Bartolz s'assit bien qu'il ne fut pas fatigué.*

-Mes prothèse et mes marionnettes sont magique, j'y insuffle ma magie pour qu'elles obéisse à leurs hôte.
-Pour faire court l'esprit qui vous accompagne n'aura qu'à la hanter, comme je le fais avec ma marionnette actuelle.

*Bartolz regarda Idö un moment.*

-Sa ne me dérangerais nullement! *dit-il en se levant d'un coup*
-Venez avec moi à la cave, c'est mon atelier, mon petit jardin secret dirons nous

*Bartolz se dirigea vers les escalier de la cave et il y descendit.
L'intérieur de la cave était éclairer par des centaines de bougie qui ne se consumaient pas même allumer, des dizaines de morceaux de pantins, de pantins ou de morceau de bois divers et varié voir étrange se trouvaient un peu partout.
A droite on pouvait voir des établi et un tableau remplis de croquis.
Tout au fond de l'atelier ont pouvais voir un grand piano et des pipeau collé au mur, le vent qui passait par la fenêtre rentrait dans les pipeau produisant une douce musique apaisante.
L'air était doux dans cette cave qui regorgeait de mystère.*

[Tinùviel]

Quand Bartolz proposa à Idö de le suivre dans la cave qui lui servait d'atelier pour construire ses marionnettes, la jeune femme hésita quelque peu. En vérité, elle avait peur de cet homme-marionnette rencontré seulement quelques dizaines de minutes plus tôt. Elle avait du mal à lui faire confiance. Et le fait qu'il lui propose de le suivre dans une cave n'aidait en rien la princesse déchue.

Néanmoins, elle lui emboîta le pas après quelques secondes sans bouger, sa main gauche sur le manche de sa rapière, au cas où elle aurait à la dégainer rapidement. Elle avait une attitude farouche et méfiante. Et cela pouvait aisément se comprendre au regard de leur passé, à son frère défunt et elle.

Quand la jeune femme arriva au bas de l'escalier, un spectacle étrange, mais d'une troublante beauté l'attendait : cette cave, illuminée par ces centaines de bougies magiques, tous ces pantins et ces parties de marionnettes installés çà et là, certains sur des chaises, d'autres sur des tables de bois, les fils pendants de leurs bras et jambes ; sur sa droite, Idö remarqua un grand établi couvert de morceaux de bois attendant d'être travailler pour pouvoir donner vie aux pantins, au-dessus duquel se trouvait un tableau ou étaient accrochés des dizaines de croquis de parties de marionnettes. Et tout au fond de la cave, il y avait un magnifique et immense piano de bois et de petites flûtes accrochées au mur produisant une douce musique tandis que le soleil encore haut entrant par la fenêtre ouverte venait déposer ses rayons sur le superbe instrument.

La jeune femme ne savait que dire devant ce spectacle merveilleux.

Son défunt jumeau la rappela tout de même à l'ordre par télépathie :

*Ma sœur, reste sur tes gardes, ne te laisses pas distraire.*


La jeune femme resserra alors sa poigne sur sa rapière, prête à toute éventualité.

[Bartolz]

*Bartolz se retourna vivement vers ïdo et prit ces mesures*

-Humm un murmure me dit que vous êtes jumeaux toi et ton esprit...

*Bartolz s'empara d'un maillet et d'un ciseaux à bois et ses pantins s'animèrent d'eux même lui apportant les matériaux.
Bartolz sculptait et assemblait très rapidement tout en sculptant le moindre détail, deux pantins habillé en petit scientifique faisait une scène se disputant sur les proportion de la marionnette en construction devenant asses comique, bientôt Baltolz finit la tête plus commença à assembler le tout, bluffant, une réplique exacte de ïdo version masculine et surtout version pantin se trouvait maintenant face à elle.
Baltolz inséra délicatement une pierre lumineuse à l'endroit du coeur et referma le pantin.*

-Je pense que c'est près ton jumeaux peut y enter et le diriger, normalement ne n'ais rien oublier.

*Bartolz regarda ïdo son sourire figée sur son visage, sa main tomba par terre.*

-Décidément je doit vraiment changer ces pièces.

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