la vengeance maudite d'Ifrit
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la vengeance maudite d'Ifrit
Marino. Cette ville est magnifique, grandiose et impressionante. Il existait peu de ville portuaire aussi grande que Marino en Zaerod. Il existait plus de 20 de ports dans cette ville. cette ribambelle de port était tous plus beaux les uns que les autres.
Malheuresement, Marino était gangrainé. Une ombre qui grandissait de jour en jour. Cette ombre était celle d'une criminalité. En effet dans cette ville il n'y avait aucune loi, on pouvait se faire égorger pour une simple bousculade, un regard de travers ou autre bévue qui dans une autre ville aurait été sans importance.
La menace la plus importante était une jeune humain, portant une tenue aussi sombre que la nuit, un masque aussi démoniaque que le Diable lui même. Cette menace était Ifrit un des assassins les plus doués du moment. Cette ombre passait de toit en toit, par une nuit d'hiver.
Ifrit passait de toit en toit en suivant son contrat. Ce contrat: un poivreau d'une cinquantaine d'année, vétu de guenilles, des cheveux et barbes grisonnantes. Il le suivait de taverne en taverne en attendant qu'il passe dans une ruelle sombre et peu éclairer. depuis plus d'une heure Ifrit sur le même toit a attendre que le poivreau ne sorte d'une nouvelle gargotte.
Après quelques nouvelle minutes d'attente, il vit sa cible sortir de la taverne en titubant. Ifrit en avait assez d'attendre qu'il passe dans une ruelle sans témoins. Et c'est lorsqu'il allait attaqué aux yeux de tous qu'il le vieillard se dirigé vers une petite ruelle en suivant une jeune dame. Cette jeune fille avait des cheveux aussi blanc que la neige, il ne la voyait que de loin mais elle était fort belle. Il vit le poivreau sortir une lame et ordonner a la jeune fille de se deshabiller. Ifrit sortit ses deux sabres et fondit du haut de son perchoir les deux sabres en avant. Il atterit sur le dos du vieil homme et lui trancha la tête. Les seuls bruits qui sortirent à ce moment furent "Fils de chie..." suivit du gargouillement du sang frais sortant du cou de sa victime.
Il se releva et nettoya ses deux sabres à ce moment il put voir distinctement la jeune femme, elle était d'une beauté éblouissante, elle était véritablement magnifique. Il resta bouche bée, heuresement qu'il avait son masque, elle ne remarquera pas qu'il était à ce point troubler.
Il rangea ses sabres et s'éloigna le plus rapidement posible pour qu'elle ne remarque pas qu'il était troubler. Pourquoi les dieux l'avait-il fait de façon a ce qu'il soit troubler en voyant une jeune et belle dame.
Malheuresement, Marino était gangrainé. Une ombre qui grandissait de jour en jour. Cette ombre était celle d'une criminalité. En effet dans cette ville il n'y avait aucune loi, on pouvait se faire égorger pour une simple bousculade, un regard de travers ou autre bévue qui dans une autre ville aurait été sans importance.
La menace la plus importante était une jeune humain, portant une tenue aussi sombre que la nuit, un masque aussi démoniaque que le Diable lui même. Cette menace était Ifrit un des assassins les plus doués du moment. Cette ombre passait de toit en toit, par une nuit d'hiver.
Ifrit passait de toit en toit en suivant son contrat. Ce contrat: un poivreau d'une cinquantaine d'année, vétu de guenilles, des cheveux et barbes grisonnantes. Il le suivait de taverne en taverne en attendant qu'il passe dans une ruelle sombre et peu éclairer. depuis plus d'une heure Ifrit sur le même toit a attendre que le poivreau ne sorte d'une nouvelle gargotte.
Après quelques nouvelle minutes d'attente, il vit sa cible sortir de la taverne en titubant. Ifrit en avait assez d'attendre qu'il passe dans une ruelle sans témoins. Et c'est lorsqu'il allait attaqué aux yeux de tous qu'il le vieillard se dirigé vers une petite ruelle en suivant une jeune dame. Cette jeune fille avait des cheveux aussi blanc que la neige, il ne la voyait que de loin mais elle était fort belle. Il vit le poivreau sortir une lame et ordonner a la jeune fille de se deshabiller. Ifrit sortit ses deux sabres et fondit du haut de son perchoir les deux sabres en avant. Il atterit sur le dos du vieil homme et lui trancha la tête. Les seuls bruits qui sortirent à ce moment furent "Fils de chie..." suivit du gargouillement du sang frais sortant du cou de sa victime.
Il se releva et nettoya ses deux sabres à ce moment il put voir distinctement la jeune femme, elle était d'une beauté éblouissante, elle était véritablement magnifique. Il resta bouche bée, heuresement qu'il avait son masque, elle ne remarquera pas qu'il était à ce point troubler.
Il rangea ses sabres et s'éloigna le plus rapidement posible pour qu'elle ne remarque pas qu'il était troubler. Pourquoi les dieux l'avait-il fait de façon a ce qu'il soit troubler en voyant une jeune et belle dame.
démons- En apprentissage
Re: la vengeance maudite d'Ifrit
La jeune femme aux cheveux de neige que venait de sauver Ifrit, c'était Ambrosia, celle que beaucoup surnommait l'Immortelle, ou encore la Mort. Elle n'avait pas eu le temps de faire revenir Miséricorde, sa faux transformée en pendentif, à son état normal, que déjà, il avait égorgé le vieux pervers qu'elle avait choisi pour lui servir de repas.
Qu'importe, cela lui épargnerait de salir sa chère faux. La jeune femme ne regarda même pas Ifrit s'enfuir. Elle s'agenouilla rapidement près du cadavre décapité et s'abreuva du sang encore chaud qui giclait des artères tranchées, se moquant éperdument de tacher sa peau ou ses cheveux tous aussi blancs les uns que l'autre.
Le jeune assassin devait être à plusieurs mètres d'elle, dans la ruelle, et il était fort probable qu'il entende les bruits de succion et les gargouillements qu'elle émettait en se nourrissant. Mais elle ne se souciait déjà plus de lui, toute occupée qu'elle était à son funeste festin.
Une fois fini, elle se releva, épousseta sa robe de plumes et de soie noires, les avant-bras, la bouche et les cheveux barbouillés de sang. Puis elle avança vers le jeune homme :
- Tu sais, je pouvais me débrouiller seule... d'autant plus que j'avais prévu qu'il me serve de repas... Enfin, tu m'a épargné de tacher Miséricorde, c'est déjà ça...
Elle eut un reniflement quelque peu méprisant et le regarda avec dédain, de ses yeux totalement noirs, ne reflétant pas même la clarté de la lune :
- D'ailleurs, qui es-tu ? Tu aurais tout de même pu te présenter. C'est ce qui est d'usage quand l'on sauve une jeune femme d'un malandrin.
Puis elle soupira.
- Quel malappris mes aïeux... Pour ma part, je me nomme Ambrosia de Lamor, Marquise des Terres Sanglantes.
Elle ne semblait plus même se souvenir qu'elle était barbouillée du sang du poivrot, qui d'ailleurs, était trop aigre à son goût... Elle ne se ferait décidément jamais au goût de l'alcool dans le sang...
Qu'importe, cela lui épargnerait de salir sa chère faux. La jeune femme ne regarda même pas Ifrit s'enfuir. Elle s'agenouilla rapidement près du cadavre décapité et s'abreuva du sang encore chaud qui giclait des artères tranchées, se moquant éperdument de tacher sa peau ou ses cheveux tous aussi blancs les uns que l'autre.
Le jeune assassin devait être à plusieurs mètres d'elle, dans la ruelle, et il était fort probable qu'il entende les bruits de succion et les gargouillements qu'elle émettait en se nourrissant. Mais elle ne se souciait déjà plus de lui, toute occupée qu'elle était à son funeste festin.
Une fois fini, elle se releva, épousseta sa robe de plumes et de soie noires, les avant-bras, la bouche et les cheveux barbouillés de sang. Puis elle avança vers le jeune homme :
- Tu sais, je pouvais me débrouiller seule... d'autant plus que j'avais prévu qu'il me serve de repas... Enfin, tu m'a épargné de tacher Miséricorde, c'est déjà ça...
Elle eut un reniflement quelque peu méprisant et le regarda avec dédain, de ses yeux totalement noirs, ne reflétant pas même la clarté de la lune :
- D'ailleurs, qui es-tu ? Tu aurais tout de même pu te présenter. C'est ce qui est d'usage quand l'on sauve une jeune femme d'un malandrin.
Puis elle soupira.
- Quel malappris mes aïeux... Pour ma part, je me nomme Ambrosia de Lamor, Marquise des Terres Sanglantes.
Elle ne semblait plus même se souvenir qu'elle était barbouillée du sang du poivrot, qui d'ailleurs, était trop aigre à son goût... Elle ne se ferait décidément jamais au goût de l'alcool dans le sang...
Tinùviel- Princesse du Nord
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Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Ifrit vit la jeune fille avancé vers lui. Elle était barbouillé du sang du vieux poivrot, mais cela n'entachait en rien sa beauté. Ifrit la trouvait limite plus belle attifé de cette manière.
Lorsqu'elle lui adressa la parole il n'osa repondre, de toute façon il n'était pas très bavard. Mais lorsqu'il l'entendit l'insulté de malpolis. Il dégainna son sabre en une demi-seconde, plaqua la jeune Ambrosia contre un mur et lui plaqua sa lame contre la gorge.
Je ne vous permet pas de m'insulter, jeune dame je me nomme Ifrit et je suis le pire cauchemard de toute personnes saines d'esprit. Retenez ce nom, mademoiselle Ambrosia.
Après avoir di cela il relacha la jeune femme. Il n'en revenait pas de ce qu'il venait de faire, il avait attaqué une dame quel imbécile.
Lorsqu'elle lui adressa la parole il n'osa repondre, de toute façon il n'était pas très bavard. Mais lorsqu'il l'entendit l'insulté de malpolis. Il dégainna son sabre en une demi-seconde, plaqua la jeune Ambrosia contre un mur et lui plaqua sa lame contre la gorge.
Je ne vous permet pas de m'insulter, jeune dame je me nomme Ifrit et je suis le pire cauchemard de toute personnes saines d'esprit. Retenez ce nom, mademoiselle Ambrosia.
Après avoir di cela il relacha la jeune femme. Il n'en revenait pas de ce qu'il venait de faire, il avait attaqué une dame quel imbécile.
démons- En apprentissage
Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Lorsqu'Ifrit la plaqua au mur de la ruelle derrière elle et qu'il lui posa la lame de son sabre sur la gorge, Ambrosia le regarda avec un sourire mi charmeur, mi carnassier :
- Tu veux me tuer alors que tu viens de me sauver ? Eh bien, tu peux essayer, Ifrit, mais je ne suis pas certaine que tu y parvienne...
Elle le regarda ensuite d'un air amusé :
- Le pire cauchemar de toute personne saine d'esprit ? Laisses-moi rire, mon cher ! Je ne voie pas en quoi tu serais mon pire cauchemar. Ou peut-être que c'est car je ne suis pas saine d'esprit, qui sait... après tout, je me comporte en vampire, mais as-tu ne serait-ce qu’aperçu des crocs ? Je n'en ai pas. Parce que je ne suis pas une vampire. Et un être humain qui ne se nourrit que de sang alors qu'il n'en a pas réellement besoin, est-il sain d'esprit d'après toi ?
Puis Ifrit la relâcha. Elle décrocha le pendentif en forme de triskel allant dans le sens inverse des aiguilles d'une horloge mêlé d'une triquetra de son cou et après un bref éclair blanc, la jeune femme tenait Miséricorde.
Passa sa langue sur ses lèvres en un geste assez sensuel, elle retira le sang qui s'y trouvait puis sourit à Ifrit :
- Voudrais-tu te battre contre moi, jeune assassin ? Je pense faire largement le poids face à toi.
Elle se baissa sur ses jambes et pencha en avant dans une posture de combat, dévoilant le décolleté plongeant de sa robe aux yeux du jeune homme, tenant Miséricorde légèrement en avant.
- Tu veux me tuer alors que tu viens de me sauver ? Eh bien, tu peux essayer, Ifrit, mais je ne suis pas certaine que tu y parvienne...
Elle le regarda ensuite d'un air amusé :
- Le pire cauchemar de toute personne saine d'esprit ? Laisses-moi rire, mon cher ! Je ne voie pas en quoi tu serais mon pire cauchemar. Ou peut-être que c'est car je ne suis pas saine d'esprit, qui sait... après tout, je me comporte en vampire, mais as-tu ne serait-ce qu’aperçu des crocs ? Je n'en ai pas. Parce que je ne suis pas une vampire. Et un être humain qui ne se nourrit que de sang alors qu'il n'en a pas réellement besoin, est-il sain d'esprit d'après toi ?
Puis Ifrit la relâcha. Elle décrocha le pendentif en forme de triskel allant dans le sens inverse des aiguilles d'une horloge mêlé d'une triquetra de son cou et après un bref éclair blanc, la jeune femme tenait Miséricorde.
Passa sa langue sur ses lèvres en un geste assez sensuel, elle retira le sang qui s'y trouvait puis sourit à Ifrit :
- Voudrais-tu te battre contre moi, jeune assassin ? Je pense faire largement le poids face à toi.
Elle se baissa sur ses jambes et pencha en avant dans une posture de combat, dévoilant le décolleté plongeant de sa robe aux yeux du jeune homme, tenant Miséricorde légèrement en avant.
Tinùviel- Princesse du Nord
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Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Il remis son katanna dans son fourreau, cette disait ne pas être saine d'esprit, il dit en passantà coté de la jeune femme et sa faux géante.
Vous pouvez vous prendre pour ce que vous voudrez, vous pouvez boire ce qu'il vous plait,je n'en rien a faire de ce que vous êtes, maintenant écartez vous.
Il s'approcha du cadavre du poivreau et ramassa la tête, et la mitdans un sac, en laine. En passant il avait tenté de faire abstraction de la poitrine de la jeune, qu'il trouvait de plus en plus belle.
J'en ai mare de travaillé pour lui, il demande toujours une preuve du crime que j'ai fait, ça m'enerve de me faire suivre dans mon travail.
Il en avait mare de travailler pour le même homme,mais ce dernier possédait des information capitales sur l'homme au masque. Il pourrait bientôt se venger.
Désolé mademoiselle mais j'ai une prime a recevoir.
Vous pouvez vous prendre pour ce que vous voudrez, vous pouvez boire ce qu'il vous plait,je n'en rien a faire de ce que vous êtes, maintenant écartez vous.
Il s'approcha du cadavre du poivreau et ramassa la tête, et la mitdans un sac, en laine. En passant il avait tenté de faire abstraction de la poitrine de la jeune, qu'il trouvait de plus en plus belle.
J'en ai mare de travaillé pour lui, il demande toujours une preuve du crime que j'ai fait, ça m'enerve de me faire suivre dans mon travail.
Il en avait mare de travailler pour le même homme,mais ce dernier possédait des information capitales sur l'homme au masque. Il pourrait bientôt se venger.
Désolé mademoiselle mais j'ai une prime a recevoir.
démons- En apprentissage
Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Ambrosia avait remarqué le regard d'Ifrit vers sa poitrine, mais il avait continuer d'avancer vers le cadavre comme si de rien n'était.
*Très bien, cette technique ne fonctionne pas, je tenterai autre chose.*
Puis il parla de l'homme qui l'employait et le rémunérait certainement, disant qu'il en avait assez de travailler pour lui, mais s'il ne partait pas, c'était sans doute car son employeur détenait quelque chose qui l'intéressait.
Puis Ifrit parti avec la tête du vieil homme dans un sac de laine, en lui disant que son gain l'attendait :
- Eh, mais pour qui te prends-tu ? Je t'ai lancé un défi ! Et un défi, de la part d'une femme de mon rang, cela ne se refuse pas !
Elle se mis à le poursuivre, faux en main, un rictus mauvais sur les lèvres : il allait regretter cet affront qu'il venait de lui faire, ce jouvenceau malpoli !
*Très bien, cette technique ne fonctionne pas, je tenterai autre chose.*
Puis il parla de l'homme qui l'employait et le rémunérait certainement, disant qu'il en avait assez de travailler pour lui, mais s'il ne partait pas, c'était sans doute car son employeur détenait quelque chose qui l'intéressait.
Puis Ifrit parti avec la tête du vieil homme dans un sac de laine, en lui disant que son gain l'attendait :
- Eh, mais pour qui te prends-tu ? Je t'ai lancé un défi ! Et un défi, de la part d'une femme de mon rang, cela ne se refuse pas !
Elle se mis à le poursuivre, faux en main, un rictus mauvais sur les lèvres : il allait regretter cet affront qu'il venait de lui faire, ce jouvenceau malpoli !
Tinùviel- Princesse du Nord
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Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Ifrit sentait sa malediction le prendre. Il ne voulait pas entrer en frenesie. Ses yeux commençaient a prendre une une couleur rouge. Il devait en finir au plus vite avec cette mission.
Cette femme, lui avait réelement lancé un défi? Peut être, il n'en savait rien. Il n'écoutait plus depuis son monologue. Il était plutôt concentré sur le fait de ne pas entrer en frénésie. Il s'approcha d'un mur, se retourna une dernière fois vers cette jeune femme terriblement séduisante.
He bien une prochaine peut être. Bonnr soirée belle dame.
Puis il s'élança tel un félin sur le toit. il passa de maison en maison tel une ombre qui planait sur la ville. Il se dirigeait vers le douxième port, il avait rendez vous dans une taverne avec son commanditaire là-bas.
Encore un meurtre et cela sera fini. Je pourrais enfin savourer ma vengeance.
Cette femme, lui avait réelement lancé un défi? Peut être, il n'en savait rien. Il n'écoutait plus depuis son monologue. Il était plutôt concentré sur le fait de ne pas entrer en frénésie. Il s'approcha d'un mur, se retourna une dernière fois vers cette jeune femme terriblement séduisante.
He bien une prochaine peut être. Bonnr soirée belle dame.
Puis il s'élança tel un félin sur le toit. il passa de maison en maison tel une ombre qui planait sur la ville. Il se dirigeait vers le douxième port, il avait rendez vous dans une taverne avec son commanditaire là-bas.
Encore un meurtre et cela sera fini. Je pourrais enfin savourer ma vengeance.
démons- En apprentissage
Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Quand elle rattrapa Ifrit, Ambrosia sentit qu'il n'allait pas bien. Elle avait aperçu ses yeux et ils étaient devenus rouges, ce qui lui semblait mauvais signe.
Le jeune assassin se reprit vivement et lui souhaita le bonsoir, après lui avoir dit qu'il combattrait contre elle peut-être une prochaine fois.
*Mais quel toupet ! Pour qui se rustre de puceau se prend-t-il ? Un défi de ma part ne se refuse ni ne se repousse jamais ! Il va le regretter !* pensa la jeune femme, dont les yeux de ténèbres semblèrent lancer des éclairs.
Quand Ifrit bondit sur un toit d'une maison, elle remis Miséricorde à l'état de pendentif, bondit à son tour sur le toit et le suivit.
Elle possédait une grande agilité et savait se faire extrêmement discrète, d'autant plus qu'elle voyageait toujours pieds nus, ce qui lui permettait d'être encore plus silencieuse dans ses déplacements.
Ambrosia ne savait pas où se dirigeait Ifrit, bien qu'il aille très certainement retrouver son employeur et récupérer sa prime pour la tête du poivrot, mais elle voulait son combat contre lui, et elle l'aurait, coûte que coûte.
Le jeune assassin se reprit vivement et lui souhaita le bonsoir, après lui avoir dit qu'il combattrait contre elle peut-être une prochaine fois.
*Mais quel toupet ! Pour qui se rustre de puceau se prend-t-il ? Un défi de ma part ne se refuse ni ne se repousse jamais ! Il va le regretter !* pensa la jeune femme, dont les yeux de ténèbres semblèrent lancer des éclairs.
Quand Ifrit bondit sur un toit d'une maison, elle remis Miséricorde à l'état de pendentif, bondit à son tour sur le toit et le suivit.
Elle possédait une grande agilité et savait se faire extrêmement discrète, d'autant plus qu'elle voyageait toujours pieds nus, ce qui lui permettait d'être encore plus silencieuse dans ses déplacements.
Ambrosia ne savait pas où se dirigeait Ifrit, bien qu'il aille très certainement retrouver son employeur et récupérer sa prime pour la tête du poivrot, mais elle voulait son combat contre lui, et elle l'aurait, coûte que coûte.
Tinùviel- Princesse du Nord
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Re: la vengeance maudite d'Ifrit
La taverne devant laquelle L'assassin se tenait, était une taverne de première classe, des bannières verts émeraudes flottants au vent, deux garde postés a l'entrée, une porte assez bien travaillé.
Cette taverne contenait des voleurs et brigands en tout genre, tous employé par la même personne qu'Ifrit. Le travail de ce dernier était de tuer les concurents dans les affaires, publiques ou non, de son employeur en échange d'argent et de renseignement.
La jeune Ambrosia avait suivi le jeune assassin a travers les toits, sans éveiller les soupsons du jeune homme qui était concentré sur son travail. Arrivée elle aussi devant la taverne elle put voir une petite fenêtre ouverte. C'était par là qu'Ifrit rejoind son employeur, et ce soir ne dérogerait pas à la règle.
________________________________________________________
Ifrit était arrivé a destination
Il se laissa tomber, couru vers l'autre côté de la rue et entra dans la taverne par la fenêtre ouverte. il lui fallut un moment d'adaptation avant de voir correctement l'intèrieur de la chambre, une chambre décoré sobrement mais avec des matériaux de qualités qui prouvaient la richesse de son employeur.
Ifrit enleva son masque et son capuchon découvrant son visage a son employeur, ce dernier assis devant son bureau lui tournait le dos mais dit
Ha te voilà, tu en mis du temps, bon j'espère que tu as accoplis le travail?
Ifrit posa son masque sur le bureau, avec le linge contenant la tête du poivreau. Il s'assit devant son employeur qui lui servait comme à son habitude un verre d'un whisky fabuleux.
Fabuleux, encore un fois tu es le meilleur de la ville. Pas étonnant que tous mes autres employé te craigne.
Vous m'avez engagé, ce n'est pas pour. Maintenant j'aimerais recevoir ma paye pour ma contribution a votre société.
Oui, oui ta paye je vais enfin te réveller où est celui que tu cherches depuis plus de 5ans maintenant.
Vous savez ce que cela veut dire, la fin de notre collaboration.
Son nom est Mallian, c'est armagicien de talent. Il s'est accoquiner d'une bande de malfrats. Ils sont dans une crypte a deux jours de cheval d'ici, dans une forêt.
Ifrit continuait de parler avec son employeur tout en sortant une dague de sa botte.
Fait bien attention a lui. Même si il est paralysé du côté où il porte son masque ses pouvoirs son grand.
Je vous remercie monsieur mais...
Ifrit lança sa dague dans le cou de son employeur qui le regardait sans pouvoir prononcer un mot, et s'écroula sur son bureau
Comme je vous l'ai dit notre collaboration est fini. Personne ne doit connaître mon visage.
Il enleva la dague du coup de son ancien employeur la rangea et s'en alla par l'endroit où il était arriver, après avoir remis son masque et son capuchon.
Cette taverne contenait des voleurs et brigands en tout genre, tous employé par la même personne qu'Ifrit. Le travail de ce dernier était de tuer les concurents dans les affaires, publiques ou non, de son employeur en échange d'argent et de renseignement.
La jeune Ambrosia avait suivi le jeune assassin a travers les toits, sans éveiller les soupsons du jeune homme qui était concentré sur son travail. Arrivée elle aussi devant la taverne elle put voir une petite fenêtre ouverte. C'était par là qu'Ifrit rejoind son employeur, et ce soir ne dérogerait pas à la règle.
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Ifrit était arrivé a destination
Il se laissa tomber, couru vers l'autre côté de la rue et entra dans la taverne par la fenêtre ouverte. il lui fallut un moment d'adaptation avant de voir correctement l'intèrieur de la chambre, une chambre décoré sobrement mais avec des matériaux de qualités qui prouvaient la richesse de son employeur.
Ifrit enleva son masque et son capuchon découvrant son visage a son employeur, ce dernier assis devant son bureau lui tournait le dos mais dit
Ha te voilà, tu en mis du temps, bon j'espère que tu as accoplis le travail?
Ifrit posa son masque sur le bureau, avec le linge contenant la tête du poivreau. Il s'assit devant son employeur qui lui servait comme à son habitude un verre d'un whisky fabuleux.
Fabuleux, encore un fois tu es le meilleur de la ville. Pas étonnant que tous mes autres employé te craigne.
Vous m'avez engagé, ce n'est pas pour. Maintenant j'aimerais recevoir ma paye pour ma contribution a votre société.
Oui, oui ta paye je vais enfin te réveller où est celui que tu cherches depuis plus de 5ans maintenant.
Vous savez ce que cela veut dire, la fin de notre collaboration.
Son nom est Mallian, c'est armagicien de talent. Il s'est accoquiner d'une bande de malfrats. Ils sont dans une crypte a deux jours de cheval d'ici, dans une forêt.
Ifrit continuait de parler avec son employeur tout en sortant une dague de sa botte.
Fait bien attention a lui. Même si il est paralysé du côté où il porte son masque ses pouvoirs son grand.
Je vous remercie monsieur mais...
Ifrit lança sa dague dans le cou de son employeur qui le regardait sans pouvoir prononcer un mot, et s'écroula sur son bureau
Comme je vous l'ai dit notre collaboration est fini. Personne ne doit connaître mon visage.
Il enleva la dague du coup de son ancien employeur la rangea et s'en alla par l'endroit où il était arriver, après avoir remis son masque et son capuchon.
démons- En apprentissage
Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Ambrosia avait emprunté le même chemin qu'Ifrit, sans que celui-ci ne remarque sa présence, ou bien il n'en avait cure car il ne lui montra aucunement qu'il la savait derrière lui.
Quand le jeune assassin se laissa tomber du toit, traversa la rue et entra dans la taverne par une fenêtre ouverte, elle sauta de toit en toit jusqu'à atteindre un bâtiment voisin de la taverne, du côté où Ifrit était passé. Elle s'allongea sur le toit sale et regarda par la fenêtre en contrebas ce qu'il se passait.
Elle vit Ifrit retirer son masque et aperçu un moment son visage. Il avait un visage aux traits et au menton carrés, une mâchoire large, des pommettes saillantes et une peau assez pâle, ainsi que des cheveux longs et du même bleu magnifique que ses yeux.
Puis elle entendit Ifrit et son employeur discuter et parler d'un armagicien nommé Mallian qu'elle ne connaissait pas, jusqu'à ce que le jeune assassin lance une dague dans le cou de ce dernier et qu'il lui dise alors que l'homme expirait :
- Comme je vous l'ai dit notre collaboration est fini. Personne ne doit connaître mon visage.
Ce qu'Ifrit ignorait, c'était qu'Ambrosia, elle, avait pourtant vu son visage et qu'elle s'en souviendrait, à l'avenir.
Quand il ressortit de la taverne, masque et capuchon remis en place, elle décida de continuer de le suivre, toujours aussi discrètement ; après tout, elle voulait toujours son combat, mais elle ne souhaitait pas qu'il découvre qu'elle l'avait vu.
Quand le jeune assassin se laissa tomber du toit, traversa la rue et entra dans la taverne par une fenêtre ouverte, elle sauta de toit en toit jusqu'à atteindre un bâtiment voisin de la taverne, du côté où Ifrit était passé. Elle s'allongea sur le toit sale et regarda par la fenêtre en contrebas ce qu'il se passait.
Elle vit Ifrit retirer son masque et aperçu un moment son visage. Il avait un visage aux traits et au menton carrés, une mâchoire large, des pommettes saillantes et une peau assez pâle, ainsi que des cheveux longs et du même bleu magnifique que ses yeux.
Puis elle entendit Ifrit et son employeur discuter et parler d'un armagicien nommé Mallian qu'elle ne connaissait pas, jusqu'à ce que le jeune assassin lance une dague dans le cou de ce dernier et qu'il lui dise alors que l'homme expirait :
- Comme je vous l'ai dit notre collaboration est fini. Personne ne doit connaître mon visage.
Ce qu'Ifrit ignorait, c'était qu'Ambrosia, elle, avait pourtant vu son visage et qu'elle s'en souviendrait, à l'avenir.
Quand il ressortit de la taverne, masque et capuchon remis en place, elle décida de continuer de le suivre, toujours aussi discrètement ; après tout, elle voulait toujours son combat, mais elle ne souhaitait pas qu'il découvre qu'elle l'avait vu.
Tinùviel- Princesse du Nord
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Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Le jeune assassin venait de sauter par la fenêtre, mais il n'avait absolument pas remarqué la jeune Ambrosia allongé sur le toit, d'une manière des plus aguichante.
L'assassin avait passer la nuit à écumer les tavernes, en cherchant un quelconque adversaire, malheuresement tous avaient peur de lui. La fière incarnation de la mort, suivait l'assassin à travers la ville.
Ifrit avait décidé de rentrer chez lui, il traversa les quartiers portuaire, en compagnie d'une Ambrosia des olus discrète, pour enfin arriver dans le quartier des artisans. Le jeune passa dans une ruelle, enleva son masque, son capuchon et ses deux sabres, il rangea le tout dans un sac en toile. En sortant de la ruelle, et put enfin apercevoir sa demeure, et sa forge. Il rentra chez lui et y passa la nuit, sans se doutez que la jeune et belle Ambrosia l'avait suivi devant sa maison.
_________________________________________________________
Au matin Ifrit se réveilla pour passer une dernière journée dans sa forge.
Il passa la matiné à s'occupé des chevaux de l'armée qui avaient besoin de nouveaux fers, et l'après midi il s'occupa de forger des épées. À la fin de l'après midi, le seigneur vint récupérer sa commande, un magnifique Espadon dont le pommeau était fait d'or incrusté de saphir aussi bleu que ses yeux.
Bien le bonjour seigneur, vous venez pour mithra je suppose.
Mithra? C'est le nom de ma nouvelle arme?
Oui c'est le nom de votre nouvelle lame, les armes des grands ont toujours un nom.
Il lui tendit l'arme et reprit
Je vous souhaite de tuer tous les adversaires qui se presenteront à vous.
Elle est magnifique, votre travail est à nouveau à la hauteur de votre réputation monsieur Ifrit. Sur ce je vous souhaite à vous une bonne journée
Bonne journée à vous.
Il ferma sa boutique après le départ du seigneur, rentra chez lui, mangea, il prit des provisions et son sac de toile qui contenait ses effets. Il prit de l'huile, des torches, des pierres a feu et fit une dernière chose, il incendia sa maison. Cela était pour lui le signe que son ancienne vit était terminée.
Père, mère, mon frère, ma soeur, je vous dit à présent adieux.
Il partit, passa dans la ruelle, remis ses effets, et il partit en direction de sa cible. Enfin il allait avoir sa vengeance, il pourrait égorger cette enflure, ce fils de chien allait payer pour tout ce qu'il lui avait fait endurer. Ho non il n'allait pas mourir, celà sera dix fois pire.
L'assassin avait passer la nuit à écumer les tavernes, en cherchant un quelconque adversaire, malheuresement tous avaient peur de lui. La fière incarnation de la mort, suivait l'assassin à travers la ville.
Ifrit avait décidé de rentrer chez lui, il traversa les quartiers portuaire, en compagnie d'une Ambrosia des olus discrète, pour enfin arriver dans le quartier des artisans. Le jeune passa dans une ruelle, enleva son masque, son capuchon et ses deux sabres, il rangea le tout dans un sac en toile. En sortant de la ruelle, et put enfin apercevoir sa demeure, et sa forge. Il rentra chez lui et y passa la nuit, sans se doutez que la jeune et belle Ambrosia l'avait suivi devant sa maison.
_________________________________________________________
Au matin Ifrit se réveilla pour passer une dernière journée dans sa forge.
Il passa la matiné à s'occupé des chevaux de l'armée qui avaient besoin de nouveaux fers, et l'après midi il s'occupa de forger des épées. À la fin de l'après midi, le seigneur vint récupérer sa commande, un magnifique Espadon dont le pommeau était fait d'or incrusté de saphir aussi bleu que ses yeux.
Bien le bonjour seigneur, vous venez pour mithra je suppose.
Mithra? C'est le nom de ma nouvelle arme?
Oui c'est le nom de votre nouvelle lame, les armes des grands ont toujours un nom.
Il lui tendit l'arme et reprit
Je vous souhaite de tuer tous les adversaires qui se presenteront à vous.
Elle est magnifique, votre travail est à nouveau à la hauteur de votre réputation monsieur Ifrit. Sur ce je vous souhaite à vous une bonne journée
Bonne journée à vous.
Il ferma sa boutique après le départ du seigneur, rentra chez lui, mangea, il prit des provisions et son sac de toile qui contenait ses effets. Il prit de l'huile, des torches, des pierres a feu et fit une dernière chose, il incendia sa maison. Cela était pour lui le signe que son ancienne vit était terminée.
Père, mère, mon frère, ma soeur, je vous dit à présent adieux.
Il partit, passa dans la ruelle, remis ses effets, et il partit en direction de sa cible. Enfin il allait avoir sa vengeance, il pourrait égorger cette enflure, ce fils de chien allait payer pour tout ce qu'il lui avait fait endurer. Ho non il n'allait pas mourir, celà sera dix fois pire.
démons- En apprentissage
Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Arakjörn était mal à l'aise, il n'aimait pas cette ville, elle lui rappelait celle ou il avait passé son enfance... même ambiance, même brigands, même odeur de poisson pourris, même odeur d'alcools et d'Etherine... il ne faisait que passer a Marino, et comptait repartir le plus vite possible, mais pas sans équipement. Le mage cherchait un forgeron pour lui forger une lame spéciale a son style de combat. En s'adressant avec politesse a un noble qu'il croisa dans la rue, noble qui semblait aimer vanter les mérites d'un bel espadon qu'il venait d'acquérir, il obtint les coordonnées de l'artisant qui avait forgé la lame.
Cependant une fois arrivé sur place, il ne trouva que des braises ardentes et des civils hystériques jetant de l'eau de mer sur plusieurs maisons en proie aux flammes, un feu avait dus se propager et réduit la forge en cendre...
Arakjörn nota qu'une personne se tenait au milieu de ce chaos sans bouger, qui semblait surveiller les toits des habitations, c'était une jeune femme aux cheveux blancs, vêtue d'une robe sombre et semblait incroyablement séduisante...
Étant la seule présente a ne pas paniquer dans tout les sens, le mage décida de lui adresser la parole :
"Excusez moi, savez vous ce qui s'est passé ici ? je cherche le forgeron d'un de cet établissement savez ou est-il part..."
Lorsque son regard croisa celui d'Ambrosia, le mage coupa sa phrase. Les yeux de ténèbre de la jeune femme plongèrent dans les siens, lui donnant l'impression qu'ils dévoraient son âme. Arakjörn recula soudainement, presque tremblant... ce n'était pas la beauté envoutante de la jeune femme qui le brusquait ainsi, mais une incroyable source de pouvoir, puissance indescriptible et confuse... était-elle seulement humaine ?
"Qui...qui êtes vous ?" demanda-t-il pétrifié
ironie du sort, il semblait que l'épouvanteur était épouvanté
Cependant une fois arrivé sur place, il ne trouva que des braises ardentes et des civils hystériques jetant de l'eau de mer sur plusieurs maisons en proie aux flammes, un feu avait dus se propager et réduit la forge en cendre...
Arakjörn nota qu'une personne se tenait au milieu de ce chaos sans bouger, qui semblait surveiller les toits des habitations, c'était une jeune femme aux cheveux blancs, vêtue d'une robe sombre et semblait incroyablement séduisante...
Étant la seule présente a ne pas paniquer dans tout les sens, le mage décida de lui adresser la parole :
"Excusez moi, savez vous ce qui s'est passé ici ? je cherche le forgeron d'un de cet établissement savez ou est-il part..."
Lorsque son regard croisa celui d'Ambrosia, le mage coupa sa phrase. Les yeux de ténèbre de la jeune femme plongèrent dans les siens, lui donnant l'impression qu'ils dévoraient son âme. Arakjörn recula soudainement, presque tremblant... ce n'était pas la beauté envoutante de la jeune femme qui le brusquait ainsi, mais une incroyable source de pouvoir, puissance indescriptible et confuse... était-elle seulement humaine ?
"Qui...qui êtes vous ?" demanda-t-il pétrifié
ironie du sort, il semblait que l'épouvanteur était épouvanté
Odysseus- Croque-mort
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Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Ambrosia observait les toits alentour, observant Ifrit sur l'un d'eux. Elle ne savait pas s'il l'avait repérée, mais c'était fort probable, car elle était la seule personne immobile dans le chaos ambiant.
La jeune femme fut soudain interrompue dans ses pensées par une voix, celle d'un mage qui lui demandait ce qui c'était passé et où était le forgeron.
Quand il croisa son regard, le mage s'interrompit lui-même, ce qui fit sourire Ambrosia. Il semblait terrorisé par ses yeux. Cette pensée la fit encore sourire d'avantage.
- Vous n'avez aucunement besoin de savoir qui je suis, mage. Et cette affaire ne requière pas vos compétences. Cet effronté de minable puceau de forgeron me doit toujours quelque chose et je vais le lui prendre.
Sur ces mots, la jeune femme atterrie en quelques bonds souples sur le toit où se trouvait Ifrit. Il avait de nouveau passé ses vêtements d'assassin.
- Tu sais Ifrit, je t'apprécie, mais ce n'est pas là une raison pour manquer de respect à une personne de mon rang ! Je t'ai défié et un défie venant de ma personne ne se refuse ni ne se repousse jamais, tien-toi cela pour dit !
Elle soupira, comme lasse :
- J'aurai pu être plus clémente avec toi pour le duel, si tu y avait consenti immédiatement, mais cela n'étant pas le cas, je ne t'épargnerai rien. Et si jamais tu t'avise de refuser encore le défi, jeune puceau malappris, je te tuerai. Suis-je claire, Ifrit ? Maintenant, en garde !
Sitôt cela dit, elle remis Miséricorde à son état d'origine, la faux d'argent miroitant sous le soleil de reflets hypnotiques.
La jeune femme fut soudain interrompue dans ses pensées par une voix, celle d'un mage qui lui demandait ce qui c'était passé et où était le forgeron.
Quand il croisa son regard, le mage s'interrompit lui-même, ce qui fit sourire Ambrosia. Il semblait terrorisé par ses yeux. Cette pensée la fit encore sourire d'avantage.
- Vous n'avez aucunement besoin de savoir qui je suis, mage. Et cette affaire ne requière pas vos compétences. Cet effronté de minable puceau de forgeron me doit toujours quelque chose et je vais le lui prendre.
Sur ces mots, la jeune femme atterrie en quelques bonds souples sur le toit où se trouvait Ifrit. Il avait de nouveau passé ses vêtements d'assassin.
- Tu sais Ifrit, je t'apprécie, mais ce n'est pas là une raison pour manquer de respect à une personne de mon rang ! Je t'ai défié et un défie venant de ma personne ne se refuse ni ne se repousse jamais, tien-toi cela pour dit !
Elle soupira, comme lasse :
- J'aurai pu être plus clémente avec toi pour le duel, si tu y avait consenti immédiatement, mais cela n'étant pas le cas, je ne t'épargnerai rien. Et si jamais tu t'avise de refuser encore le défi, jeune puceau malappris, je te tuerai. Suis-je claire, Ifrit ? Maintenant, en garde !
Sitôt cela dit, elle remis Miséricorde à son état d'origine, la faux d'argent miroitant sous le soleil de reflets hypnotiques.
Tinùviel- Princesse du Nord
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Re: la vengeance maudite d'Ifrit
La forge n'était plus que braises ardentes, et bois fumants... Ifrit observait son ancienne vie depuis ce toit. C était fini il n'avait plus rien a faire ici, pourtant il restait, il ne pouvait, il ne voulais pas partir. Il s'était attaché a cette vie, a cette forge, a ces personnes qui venaient régulierement demander ses services... Mais tout était fini.
Il se releva, pret a partir, mais il remarqua alors Ambrosia sur le sol en train de terrifier un inconnu. Que lui voulait elle encore. Il l'a vit monter jusqu'au toit ou était le jeune assassin, elle parlait mais il n'écoutait pas, il continuait a observer son acien habitat et lieu de travail, réduit a présent a un simple stégobul...
Il ne vit même pas Ambrosia sortir son arme... Il vit Ambrosia en posture de combat:
Non mais vous vous fichez de moi...
Il dégainna alors ses deux sabres et attendit...
Aux dames de commencer
Il se releva, pret a partir, mais il remarqua alors Ambrosia sur le sol en train de terrifier un inconnu. Que lui voulait elle encore. Il l'a vit monter jusqu'au toit ou était le jeune assassin, elle parlait mais il n'écoutait pas, il continuait a observer son acien habitat et lieu de travail, réduit a présent a un simple stégobul...
Il ne vit même pas Ambrosia sortir son arme... Il vit Ambrosia en posture de combat:
Non mais vous vous fichez de moi...
Il dégainna alors ses deux sabres et attendit...
Aux dames de commencer
démons- En apprentissage
Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Lorsque le contact visuel se rompit, Arakjörn reprit ses esprits et s'interrogea sur la nature de cet individu, individu qui venait de sauter quasi-instantanément sur le toit d'un bâtiment... bâtiment sur lequel se trouvait un homme d'une tenue sombre et vêtus d'un masque, et, au dire de la jeune femme, dont Arakjörn soupçonnait une origine démoniaque, cet homme semblait être son forgeron... qu'importe, ce n'était plus une lame qui l’intéressait, mais la connaissance... il pouvait assister à la mise en place d'un duel entre les deux personnages depuis en bas, mais n'avait pas l'intention de rester à sa place.
Aussi il se mit a grimper, passant par l'intérieur du bâtiment puis une fenêtre, et tentait de monter sur les toits de la ville sur lequel la battaille commençait
Aussi il se mit a grimper, passant par l'intérieur du bâtiment puis une fenêtre, et tentait de monter sur les toits de la ville sur lequel la battaille commençait
Odysseus- Croque-mort
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Re: la vengeance maudite d'Ifrit
- Ta galanterie te perdra, jeune imbécile...
Ambrosia bondit avec une rapidité inhumaine sur Ifrit, Miséricorde levée, visant les bras du jeune homme.
Il n'aurait pas le temps de parer. Mais elle ne le tuerai pas tout de suite. Non, elle le laisserait lentement se vider de son sang sur ce toit. Ou peut-être bien qu'elle se nourrirait de lui...
Au dernier moment, elle dévia l'attaque et, par une pirouette, se retrouva dans le dos d'Ifrit, hors de portée des sabres.
D'un geste vif, elle saisit son masque avec l'intention de lui ôter et de planter ses dents dans sa chair afin de boire son sang.
Elle avait soif.
Elle s'était nourrie la veille, mais le sang du poivrot ne l'avait pas sustentée. De plus, elle voulait connaitre le goût du sang de ce garçon qui lui semblait si particulier.
Elle passa un bras autour de la taille du jeune assassin afin qu'il ne puisse pas s'enfuir.
Et elle tira sur le masque pour s'abreuver du sang d'Ifrit.
Ambrosia bondit avec une rapidité inhumaine sur Ifrit, Miséricorde levée, visant les bras du jeune homme.
Il n'aurait pas le temps de parer. Mais elle ne le tuerai pas tout de suite. Non, elle le laisserait lentement se vider de son sang sur ce toit. Ou peut-être bien qu'elle se nourrirait de lui...
Au dernier moment, elle dévia l'attaque et, par une pirouette, se retrouva dans le dos d'Ifrit, hors de portée des sabres.
D'un geste vif, elle saisit son masque avec l'intention de lui ôter et de planter ses dents dans sa chair afin de boire son sang.
Elle avait soif.
Elle s'était nourrie la veille, mais le sang du poivrot ne l'avait pas sustentée. De plus, elle voulait connaitre le goût du sang de ce garçon qui lui semblait si particulier.
Elle passa un bras autour de la taille du jeune assassin afin qu'il ne puisse pas s'enfuir.
Et elle tira sur le masque pour s'abreuver du sang d'Ifrit.
Tinùviel- Princesse du Nord
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Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Le jeune Ifrit, et le belle Ambrosia était en plain combat pendant que le mage arpentais les étages des maisons pour venir sur le toit...
Le jeune mage arrivait enfin sur le toit pour voir la jeune Ambrosia tenter d'enlever le masque du forgeron.
_______________________________________________________
Ifrit ne voyait pas les mouvements de la jeune Ambrosia, il l'a senti arriver dans son dos avec la grâce d'une félinne. Il la sentit pauser une main sur son masque pour l'enlever.
Ifrit avait mal au bras, il remarqua alors qu'il saignait abondamment, une entaille profonde et très longue. Il lacha son sabre, il ne lui restait a present qu'une seule main de libre.
Il sentait son masque se retirer lentement, et il sentait sur sa nuque le souffle de dame, il savait qu'elle allait le morde, il fallait qu'il agisse et vite....
Il sortit une de ses dagues et trancha la hanche de la jeune incarnation de la mort, il dut lacher sa dague presque immediatement a cause de la douleur que lui infligeait sa blessure hémorragique. Mais son action avait eu l'effet escompté, Ambrosia l'avait laché.
Il bondit en avant et se releva deux mètres plus loin, il fit face a nouveau a son adversaire.
Le jeune mage arrivait enfin sur le toit pour voir la jeune Ambrosia tenter d'enlever le masque du forgeron.
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Ifrit ne voyait pas les mouvements de la jeune Ambrosia, il l'a senti arriver dans son dos avec la grâce d'une félinne. Il la sentit pauser une main sur son masque pour l'enlever.
Ifrit avait mal au bras, il remarqua alors qu'il saignait abondamment, une entaille profonde et très longue. Il lacha son sabre, il ne lui restait a present qu'une seule main de libre.
Il sentait son masque se retirer lentement, et il sentait sur sa nuque le souffle de dame, il savait qu'elle allait le morde, il fallait qu'il agisse et vite....
Il sortit une de ses dagues et trancha la hanche de la jeune incarnation de la mort, il dut lacher sa dague presque immediatement a cause de la douleur que lui infligeait sa blessure hémorragique. Mais son action avait eu l'effet escompté, Ambrosia l'avait laché.
Il bondit en avant et se releva deux mètres plus loin, il fit face a nouveau a son adversaire.
démons- En apprentissage
Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Arakjörn arrivait enfin sur le toit pour voir les deux adversaires se battre et trancher leurs chairs, puis reprendre leurs distances pour un nouvel assaut.
Leurs vies n'avait strictement aucune valeurs a ses yeux, les empêcher de se battre était futile, mais il mourrait d'envie de connaitre la nature de la jeune dame, blessée à la hanche, et connaitre sa résistance à Nygdmer... Cependant si le combat faisait rage, il y aurait un vainqueur et un vaincus, et ce dernier risque sérieusement de perdre la vie, et s'il voulait faire ses tests, un cadavre ne lui suffirait pas. Il décida donc a stopper le combat.
Sortant son bâton de télékinésie, il s'interposa entre les deux combattants, se concentra pour dégager une puissante charge magique de son bâton qu'il pointait vers l'homme masqué et de sa main gauche sortit le grimoire de sa sacoche.
"STOP !" hurla-t-il
tout d'un coup l'encapuchonné s'éleva dans les airs, et perdit tout contact avec le sol.
"un guerrier sans points d'appuis est un guerrier inoffensif, mais ne t'inquiète pas, ce n'est pas toi qui m'intéresse".
Le magicien prononça ses mots et se retourna vers l'étrange femme, priant que l'assassin n'était pas équipé d'arme a distance, et de ne pas recevoir de carreaux d'arbalète à l'arrière de son crâne.
"Quant a toi... je t'ai posé une question et je suis prêt a risquer ma vie pour que tu y répondes... alors dis moi : Qui es-tu".
Se demanda s'il n'allait pas a jamais regretter ce geste, il ouvrit Nygdmer aux yeux de la femme, se préparant a le refermer au moindre signe de la malédiction pour éviter que l'effet ne soit trop puissant
Leurs vies n'avait strictement aucune valeurs a ses yeux, les empêcher de se battre était futile, mais il mourrait d'envie de connaitre la nature de la jeune dame, blessée à la hanche, et connaitre sa résistance à Nygdmer... Cependant si le combat faisait rage, il y aurait un vainqueur et un vaincus, et ce dernier risque sérieusement de perdre la vie, et s'il voulait faire ses tests, un cadavre ne lui suffirait pas. Il décida donc a stopper le combat.
Sortant son bâton de télékinésie, il s'interposa entre les deux combattants, se concentra pour dégager une puissante charge magique de son bâton qu'il pointait vers l'homme masqué et de sa main gauche sortit le grimoire de sa sacoche.
"STOP !" hurla-t-il
tout d'un coup l'encapuchonné s'éleva dans les airs, et perdit tout contact avec le sol.
"un guerrier sans points d'appuis est un guerrier inoffensif, mais ne t'inquiète pas, ce n'est pas toi qui m'intéresse".
Le magicien prononça ses mots et se retourna vers l'étrange femme, priant que l'assassin n'était pas équipé d'arme a distance, et de ne pas recevoir de carreaux d'arbalète à l'arrière de son crâne.
"Quant a toi... je t'ai posé une question et je suis prêt a risquer ma vie pour que tu y répondes... alors dis moi : Qui es-tu".
Se demanda s'il n'allait pas a jamais regretter ce geste, il ouvrit Nygdmer aux yeux de la femme, se préparant a le refermer au moindre signe de la malédiction pour éviter que l'effet ne soit trop puissant
Odysseus- Croque-mort
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Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Une douleur cuisante et fulgurante à la hanche. L'odeur du sang. Ifrit avait une longue blessure au bras, d'où se répandait quantité de sang. Puis il fit un bond de deux mètres en avant afin de s'écarter d'elle après qu'elle l'ai lâcher.
Soudain, le mage rencontré dans la rue en contrebas intervint en soulevant du toit le jeune assassin à l'aide de la magie.
Puis, après avoir expliqué à Ifrit qu'il ne pourrait pas l'attaqué, le mage porta son attention sur Ambrosia.
Il sorti d'un sacoche un vieux manuscrit qu'il ouvrit devant les yeux de ténèbres de la jeune femme :
"Quant a toi... je t'ai posé une question et je suis prêt a risquer ma vie pour que tu y répondes... alors dis moi : Qui es-tu ?"
Ne comprenant pas ce qu'il voulait, Ambrosia lut le texte qui s'offrait à sa vue. Quand elle eut fini la double page, elle releva les yeux sur le mage :
- Je suis Ambrosia de Lamor, Marquise des Terres Sanglantes. Et vous, qui êtes-vous, mage ? Et que me voulez-vous ?
En disant cela, elle posa les mains sur l'entaille à sa hanche et, récitant une antique formule, cicatrisa la plaie. Cette formule, elle la connaissait par cœur, depuis l'aube des temps.
La jeune femme à la chevelure de nacre se releva et, passant devant le mage, se posta non loin de l'endroit où ce dernier faisait léviter Ifrit.
- Faites-le redescendre, je vais le soigner.
Soudain, le mage rencontré dans la rue en contrebas intervint en soulevant du toit le jeune assassin à l'aide de la magie.
Puis, après avoir expliqué à Ifrit qu'il ne pourrait pas l'attaqué, le mage porta son attention sur Ambrosia.
Il sorti d'un sacoche un vieux manuscrit qu'il ouvrit devant les yeux de ténèbres de la jeune femme :
"Quant a toi... je t'ai posé une question et je suis prêt a risquer ma vie pour que tu y répondes... alors dis moi : Qui es-tu ?"
Ne comprenant pas ce qu'il voulait, Ambrosia lut le texte qui s'offrait à sa vue. Quand elle eut fini la double page, elle releva les yeux sur le mage :
- Je suis Ambrosia de Lamor, Marquise des Terres Sanglantes. Et vous, qui êtes-vous, mage ? Et que me voulez-vous ?
En disant cela, elle posa les mains sur l'entaille à sa hanche et, récitant une antique formule, cicatrisa la plaie. Cette formule, elle la connaissait par cœur, depuis l'aube des temps.
La jeune femme à la chevelure de nacre se releva et, passant devant le mage, se posta non loin de l'endroit où ce dernier faisait léviter Ifrit.
- Faites-le redescendre, je vais le soigner.
Tinùviel- Princesse du Nord
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Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Ifrit tournoyait dans les airs sans pouvoir toucher le sol, il ne pourrait plus se controller longtemps.
Ses yeux changèrent de couleures, ils passèrent d'un bleu aussi pur que le diamant, à un rouge aussi incandescent qu'un brasier. C'était fini, sa conscience était réduite à un pauvre stégobul, un rien insignifiant.
Il voletait toujours, son sabre a la main. Il vit une forme s'approcher, Ambrosia peut être, qui sommait l'inconnue de le libérer.
Ses yeux changèrent de couleures, ils passèrent d'un bleu aussi pur que le diamant, à un rouge aussi incandescent qu'un brasier. C'était fini, sa conscience était réduite à un pauvre stégobul, un rien insignifiant.
Il voletait toujours, son sabre a la main. Il vit une forme s'approcher, Ambrosia peut être, qui sommait l'inconnue de le libérer.
démons- En apprentissage
Re: la vengeance maudite d'Ifrit
"C'est impossible !"
Là, en face de lui, la démone se tenait debout, que pouvait-elle être d'autre ? Elle lisait Nygdmer ! Mais sans aucun spasme de dégout, signe de folie ou hurlement déchirant, elle lisait tout simplement, elle lisait le livre noir...
"Comment peux-tu faire ça ? Personne ne peut lire se livre sans subir son maléfice et.. "
les mots manquaient au mage, toute sa vie il testait le maléfice sur tout être vivant doté d'organe de vue, rien n'y résistait sauf cette.. Ambrosia. La surprise annihila complètement sa concentration sur son bâton, qui donc cessa de faire léviter le guerrier, qui semblait être entré dans un état de rage intense... la démone après s'être miraculeusement guérie, s'approcha de ce dernier dans l'attention de faire de même avec lui...
Le mage était en pleine réflexion et ne répondit pas à la jeune femme, qui accordait maintenant son attention sur le guerrier en transe. Pour lui une chose était claire, si elle semblait avoir répondus à sa question correctement, elle avait sans doute esquivé le sujet de sa véritable identitée, une simple marquise ne pouvait résister a un tel pouvoir, et des yeux aussi ténébreux... pour Arakjörn c'était clair, elle n'était pas ce qu'elle prétendait être, aussi il se promit a étudier les fameuses terres sanglantes... avant de réaliser quelque chose de bien plus important : si elle avait pus voir le papier sans subir le maléfice... qu'avait-elle lus ? Le cœur du mage fit un bond dans sa poitrine. Et en se concentrant pour garder l'air le plus impassible possible, il demanda :
"Qu'as-tu lus ?"
En réalitée, de toute sa vie il n'avait jamais été aussi bouleversé ,car justement, lire le livre noir a toujours été son objectif, et il semblait a deux doigt de pouvoir le faire... mais vus le caractère de la démone il allait devoir la jouer fine pour arriver a ses fins.
Là, en face de lui, la démone se tenait debout, que pouvait-elle être d'autre ? Elle lisait Nygdmer ! Mais sans aucun spasme de dégout, signe de folie ou hurlement déchirant, elle lisait tout simplement, elle lisait le livre noir...
"Comment peux-tu faire ça ? Personne ne peut lire se livre sans subir son maléfice et.. "
les mots manquaient au mage, toute sa vie il testait le maléfice sur tout être vivant doté d'organe de vue, rien n'y résistait sauf cette.. Ambrosia. La surprise annihila complètement sa concentration sur son bâton, qui donc cessa de faire léviter le guerrier, qui semblait être entré dans un état de rage intense... la démone après s'être miraculeusement guérie, s'approcha de ce dernier dans l'attention de faire de même avec lui...
Le mage était en pleine réflexion et ne répondit pas à la jeune femme, qui accordait maintenant son attention sur le guerrier en transe. Pour lui une chose était claire, si elle semblait avoir répondus à sa question correctement, elle avait sans doute esquivé le sujet de sa véritable identitée, une simple marquise ne pouvait résister a un tel pouvoir, et des yeux aussi ténébreux... pour Arakjörn c'était clair, elle n'était pas ce qu'elle prétendait être, aussi il se promit a étudier les fameuses terres sanglantes... avant de réaliser quelque chose de bien plus important : si elle avait pus voir le papier sans subir le maléfice... qu'avait-elle lus ? Le cœur du mage fit un bond dans sa poitrine. Et en se concentrant pour garder l'air le plus impassible possible, il demanda :
"Qu'as-tu lus ?"
En réalitée, de toute sa vie il n'avait jamais été aussi bouleversé ,car justement, lire le livre noir a toujours été son objectif, et il semblait a deux doigt de pouvoir le faire... mais vus le caractère de la démone il allait devoir la jouer fine pour arriver a ses fins.
Odysseus- Croque-mort
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Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Une fois Ifrit retombé sur le toit plat, Ambrosia s'avança vers lui. Il était tremblant de rage, quoiqu'un peu sonné par sa brusque chute, le sang continuant de se répandre de sa plaie au bras.
Elle ne pourrait pas le soigner avec la formule, mais elle connaissait un autre moyen. Et cet autre moyen pourrait peut-être également calmer sa colère, du moins l'espérait-elle.
La jeune femme aux yeux de ténèbres s'agenouilla donc auprès d'Ifrit, passa une main dans son dos afin de le soutenir, souleva légèrement son masque de l'autre, juste assez pour laisser apparaître le menton, la bouche et le bas du nez du jeune assassin et, après s'être mordu la langue pour faire couler son propre sang, embrassa Ifrit afin de le lui faire boire.
Le baiser dura trois longues minutes, pendant lesquelles le sang de la jeune femme se répandit dans le corps d'Ifrit, le faisant cicatriser rapidement et multipliant ses cellules sanguines afin que le niveau de ces dernières revienne à la normale et qu'il ne se retrouve pas anémié.
Après cela, Ambrosia rabaissa le masque du jeune assassin, le soutenant toujours d'un bras, et releva la tête pour répondre au mage, ses lèvres pâles tâchées de son sang noir :
- Si tu penses, mage, que je peux lire ce livre maudit car je suis une démone, tu te trompes. Je ne suis pas de cette race le moins du monde. Même si je te révèle ma vraie nature, tu ne me croira certainement pas.
Elle le laissa à ses pensées, jusqu'au moment ou il lui demanda ce qu'elle avait lu. Elle avait compris le texte, mais elle ne souhaitait pas partager ces information avec lui. Elle décida donc de faire croire au mage qu'elle n'avait pas compris la langue dans laquelle était écrite le livre et lui répondit d'un air totalement désintéressé :
- Ce n'est pas écrit en langue commune. J'ai essayé de le lire, mais je n'y suis pas parvenu. Cette langue ne ressemble à aucune de celles que j'ai pu entendre, elle doit être extrêmement ancienne et les personnes pouvant la déchiffrer doivent être fort rares. Je ne peux pas t'aider à savoir ce que ce livre renferme.
Puis elle marqua une pause :
- Tu ne m'as d'ailleurs toujours pas dis qui tu étais et ce que tu me voulais, mage.
Elle ne pourrait pas le soigner avec la formule, mais elle connaissait un autre moyen. Et cet autre moyen pourrait peut-être également calmer sa colère, du moins l'espérait-elle.
La jeune femme aux yeux de ténèbres s'agenouilla donc auprès d'Ifrit, passa une main dans son dos afin de le soutenir, souleva légèrement son masque de l'autre, juste assez pour laisser apparaître le menton, la bouche et le bas du nez du jeune assassin et, après s'être mordu la langue pour faire couler son propre sang, embrassa Ifrit afin de le lui faire boire.
Le baiser dura trois longues minutes, pendant lesquelles le sang de la jeune femme se répandit dans le corps d'Ifrit, le faisant cicatriser rapidement et multipliant ses cellules sanguines afin que le niveau de ces dernières revienne à la normale et qu'il ne se retrouve pas anémié.
Après cela, Ambrosia rabaissa le masque du jeune assassin, le soutenant toujours d'un bras, et releva la tête pour répondre au mage, ses lèvres pâles tâchées de son sang noir :
- Si tu penses, mage, que je peux lire ce livre maudit car je suis une démone, tu te trompes. Je ne suis pas de cette race le moins du monde. Même si je te révèle ma vraie nature, tu ne me croira certainement pas.
Elle le laissa à ses pensées, jusqu'au moment ou il lui demanda ce qu'elle avait lu. Elle avait compris le texte, mais elle ne souhaitait pas partager ces information avec lui. Elle décida donc de faire croire au mage qu'elle n'avait pas compris la langue dans laquelle était écrite le livre et lui répondit d'un air totalement désintéressé :
- Ce n'est pas écrit en langue commune. J'ai essayé de le lire, mais je n'y suis pas parvenu. Cette langue ne ressemble à aucune de celles que j'ai pu entendre, elle doit être extrêmement ancienne et les personnes pouvant la déchiffrer doivent être fort rares. Je ne peux pas t'aider à savoir ce que ce livre renferme.
Puis elle marqua une pause :
- Tu ne m'as d'ailleurs toujours pas dis qui tu étais et ce que tu me voulais, mage.
Tinùviel- Princesse du Nord
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Race et classe:
Compétences:
Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Le jeune forgeron s'était lourdement écrasé sur le sol, et Ambrosia l'avait soigné. Pendant ce temps le mage posait des question a la jeune femme.
L'assassin ne bougeait pas, comme concentré sur quelque chose qui n'existait pas. Enfin si mais pas pour les deux autres personnes présentes.
Ambrosia toisait tour a tour le mage et Ifrit de son regard de néant, elle ne comprenait pas pourquoi le jeune homme était dans un état proche du légumineu.
Le mage approchait lui aussi, intrigué par l'état du forgeron. Il se demandait comment un baiser pouvais rendre aussi amorphe.
________________________________________________________
Ifrit était dans un endroit noir, sans vie ni lumière. Il n'avait plus mal, et il avait, chose étonnante, tout son équipement à part sont masque. Son regard bleu se darda sur le monde qui l'entourait. Où était-il? Quelle heure était en train de passer? Que faisai-t-il ici?
Il se leva, les cheveux flottant par un vent qui n'existait pas. Était-il mort? Certainnement. Il vit au sol des centaine d'arme plantée dans ce dernier. Des dizaines de cadavres gisant à terre, décapités, éventrés, et autres mort douloureuse était visible.
Il commença marcher et vit de plus en plus de choses, des têtes roulant au sol, des bras, des jambes, et d'autres membres humains. Une tête roula a ses pieds, et il vit l'atroce vérité. Il comprenait où il était, il était vivant, mais en plein cauchemard, touts ces cadavres était ceux de ses victimes, des gens mort par sa faute, de ses employeurs, de brigands lui ayant barré le passage.
Une musique s'éleva alors. Une musique atroce et violente. Une méloppée faite de cris et de hurlements de rage et de terreur. Un point lumineux était visible a l'horizon de cet univers de néant, petit espoir dans la nuit ténebreuse. Il marcha vers cette espoir, cette boite de pandor qui lui était offerte.
Après plusieurs minutes de marche il arriva a l'endroit illuminé. Il endroit dans cet endroit fait de lumière pure, il fut éblouïe par cette puretée après avoir été si longtemps dans les ténèbres. Au bout d'un moment il vit une personne, un homme, qui lui ressemblais... Mais c'était lui, lui avec un regard et des cheveux de braises. Il comprit alors, il était dans la partie de son esprit ou se prenait les décisions, cet homme le représentait dans un état frénétique. Et il prenait peu à peu possession des lieux.
Je t'attendais.
Il fit apparaitre un énorme sabre de 1,60m de long, et de 30cm de large. Un sabre noir, avec une ligne de lave pure en son centre. Ifrit dégainna ses sabres, il allait se battre pour le contrôle de son propre corp
Il va falloir te battre si tu veux récupérer le contrôle. Tu n'as jamais été réelement en frénésie, tu ne sais pas le pouvoir que je possède. Tu m'as enchainé pendant trop longtemps, si tu ne peux me vaincre se sera a ton tour d'être enchainé dans les méandres de ton propre esprit. Vainc moi et tu récupereras le contrôle
_________________________________________________________
Les deux compères toujours dans le monde réel, commençaient a s'impatienter, la jeune femme voulait agir.
Son voeux fut exaucer, des doubles d'iftit apparurent. Tous avaient les cheveux et le regard ardent, celui du milieu était celui avec l'énorme Claymort. Celui qui faisait face au mage était armé d'une masse et d'un bouclier, tandis que le dernier était armer d'un double sabre.
Ifrit se réveilla a ce moment précis, les yeux et les cheveux bleux. Il se releva, son double qui lui faisait face lui rendit son deuxième sabre et sa dague, et lui somma de retirer son masque. Ce qu'Ifrit fit.
A présent vivez ou mourrez.
L'assassin ne bougeait pas, comme concentré sur quelque chose qui n'existait pas. Enfin si mais pas pour les deux autres personnes présentes.
Ambrosia toisait tour a tour le mage et Ifrit de son regard de néant, elle ne comprenait pas pourquoi le jeune homme était dans un état proche du légumineu.
Le mage approchait lui aussi, intrigué par l'état du forgeron. Il se demandait comment un baiser pouvais rendre aussi amorphe.
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Ifrit était dans un endroit noir, sans vie ni lumière. Il n'avait plus mal, et il avait, chose étonnante, tout son équipement à part sont masque. Son regard bleu se darda sur le monde qui l'entourait. Où était-il? Quelle heure était en train de passer? Que faisai-t-il ici?
Il se leva, les cheveux flottant par un vent qui n'existait pas. Était-il mort? Certainnement. Il vit au sol des centaine d'arme plantée dans ce dernier. Des dizaines de cadavres gisant à terre, décapités, éventrés, et autres mort douloureuse était visible.
Il commença marcher et vit de plus en plus de choses, des têtes roulant au sol, des bras, des jambes, et d'autres membres humains. Une tête roula a ses pieds, et il vit l'atroce vérité. Il comprenait où il était, il était vivant, mais en plein cauchemard, touts ces cadavres était ceux de ses victimes, des gens mort par sa faute, de ses employeurs, de brigands lui ayant barré le passage.
Une musique s'éleva alors. Une musique atroce et violente. Une méloppée faite de cris et de hurlements de rage et de terreur. Un point lumineux était visible a l'horizon de cet univers de néant, petit espoir dans la nuit ténebreuse. Il marcha vers cette espoir, cette boite de pandor qui lui était offerte.
Après plusieurs minutes de marche il arriva a l'endroit illuminé. Il endroit dans cet endroit fait de lumière pure, il fut éblouïe par cette puretée après avoir été si longtemps dans les ténèbres. Au bout d'un moment il vit une personne, un homme, qui lui ressemblais... Mais c'était lui, lui avec un regard et des cheveux de braises. Il comprit alors, il était dans la partie de son esprit ou se prenait les décisions, cet homme le représentait dans un état frénétique. Et il prenait peu à peu possession des lieux.
Je t'attendais.
Il fit apparaitre un énorme sabre de 1,60m de long, et de 30cm de large. Un sabre noir, avec une ligne de lave pure en son centre. Ifrit dégainna ses sabres, il allait se battre pour le contrôle de son propre corp
Il va falloir te battre si tu veux récupérer le contrôle. Tu n'as jamais été réelement en frénésie, tu ne sais pas le pouvoir que je possède. Tu m'as enchainé pendant trop longtemps, si tu ne peux me vaincre se sera a ton tour d'être enchainé dans les méandres de ton propre esprit. Vainc moi et tu récupereras le contrôle
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Les deux compères toujours dans le monde réel, commençaient a s'impatienter, la jeune femme voulait agir.
Son voeux fut exaucer, des doubles d'iftit apparurent. Tous avaient les cheveux et le regard ardent, celui du milieu était celui avec l'énorme Claymort. Celui qui faisait face au mage était armé d'une masse et d'un bouclier, tandis que le dernier était armer d'un double sabre.
Ifrit se réveilla a ce moment précis, les yeux et les cheveux bleux. Il se releva, son double qui lui faisait face lui rendit son deuxième sabre et sa dague, et lui somma de retirer son masque. Ce qu'Ifrit fit.
A présent vivez ou mourrez.
démons- En apprentissage
Re: la vengeance maudite d'Ifrit
La démone se contenta d'abord d'ignorer la question, et soigna Ifrit d'une manière qu' Arakjörn ne comprit qu'en voyant un mince filet de sang obscurcissant ses lèvres... elle lui faisait boire son sang
Puis elle avoua ne pas pouvoir lire les dialectes du livre et d'une certaine manière, qu'elle s'en fichait.
Le mage réencra son chapeau pointus sur sa tête, ajusta son écharpe, ferma et rangea le livre noir, mais ne pus cacher sa déception, une autre langue inconnue ? Il l'avait peut être déjà étudiée ? Impossible de savoir... Mais... cette femme avait verbalement confirmé ses pensées, elle n'était pas humaine, mais lui cachait toujours sa vraie nature. Mais... peut être cachait-elle autre chose, elle ne semblait pas s'intéresser le moins du monde au secret de Nygdmer, dont elle était la seule a pouvoir le déchiffrer.. pourquoi ? Ne réalisait-elle pas ou ne voulait pas réaliser ?
Tant de questions et d'incertitudes, le jeune mage avait soif de connaissances et ne répondit qu'après une minute de réflexion, qui n'a amené a aucun aboutissement certains.
"Je suis Arakjörn l'épouvanteur, possesseur de Nygdmer le livre noir, livre qui contiens un secret dont je voue ma vie a déchiffrer. Et toi, Ambrosia, marquise des terres sanglantes et peut être plus que cela, tu n'es pas comme les autres dégénérés que j'ai croisé durant toute ma vie, tu peux lire ce livre inaccessible aux mortels !"
Le jeune mage était sur le point de continuer d'achever sa tirade quand tout a coup des êtres humanoïdes apparurent de nul part, équipé de diverses armes de combat. Arakjörn réalisa alors qu'il s'agissait de doubles de l'assassin qui, lentement se réveillait apparemment délivré de sa frénésie, 3 doubles, et 3 combattants, combat il y allait avoir, car l'un d'eux parla au nom de tous, et semblait très bien résumer la situation :
"vivez ou mourrez"
Arakjörn fit face a son adversaire et pensa a utiliser le livre noir, mais il semblait que les clones étaient magiques, ce qui les immunisait contre le pouvoir du livre... Le mage décida de faire appel a son propre pouvoir pour tester la résistance aux flammes de la cible, il envoya souffle ardent de flammes, assez grand pour le toucher malgrès la protection de son bouclier. Pour l'instant son plan se résumait a tester les défenses de son ennemi, et l'empêcher de venir a son corps à corps, car il ne survivrait pas a un simple coup de masse
Puis elle avoua ne pas pouvoir lire les dialectes du livre et d'une certaine manière, qu'elle s'en fichait.
Le mage réencra son chapeau pointus sur sa tête, ajusta son écharpe, ferma et rangea le livre noir, mais ne pus cacher sa déception, une autre langue inconnue ? Il l'avait peut être déjà étudiée ? Impossible de savoir... Mais... cette femme avait verbalement confirmé ses pensées, elle n'était pas humaine, mais lui cachait toujours sa vraie nature. Mais... peut être cachait-elle autre chose, elle ne semblait pas s'intéresser le moins du monde au secret de Nygdmer, dont elle était la seule a pouvoir le déchiffrer.. pourquoi ? Ne réalisait-elle pas ou ne voulait pas réaliser ?
Tant de questions et d'incertitudes, le jeune mage avait soif de connaissances et ne répondit qu'après une minute de réflexion, qui n'a amené a aucun aboutissement certains.
"Je suis Arakjörn l'épouvanteur, possesseur de Nygdmer le livre noir, livre qui contiens un secret dont je voue ma vie a déchiffrer. Et toi, Ambrosia, marquise des terres sanglantes et peut être plus que cela, tu n'es pas comme les autres dégénérés que j'ai croisé durant toute ma vie, tu peux lire ce livre inaccessible aux mortels !"
Le jeune mage était sur le point de continuer d'achever sa tirade quand tout a coup des êtres humanoïdes apparurent de nul part, équipé de diverses armes de combat. Arakjörn réalisa alors qu'il s'agissait de doubles de l'assassin qui, lentement se réveillait apparemment délivré de sa frénésie, 3 doubles, et 3 combattants, combat il y allait avoir, car l'un d'eux parla au nom de tous, et semblait très bien résumer la situation :
"vivez ou mourrez"
Arakjörn fit face a son adversaire et pensa a utiliser le livre noir, mais il semblait que les clones étaient magiques, ce qui les immunisait contre le pouvoir du livre... Le mage décida de faire appel a son propre pouvoir pour tester la résistance aux flammes de la cible, il envoya souffle ardent de flammes, assez grand pour le toucher malgrès la protection de son bouclier. Pour l'instant son plan se résumait a tester les défenses de son ennemi, et l'empêcher de venir a son corps à corps, car il ne survivrait pas a un simple coup de masse
Odysseus- Croque-mort
Fiche de personnage
Nom: Aexon
Race et classe: Seigneur démon
Compétences:
Re: la vengeance maudite d'Ifrit
Quand le mage expliqua à Ambrosia qui il était et le fait qu'il avait des soupçons quand à sa véritable nature, la jeune femme esquissa un sourire froid et sadique, les lèvres tâchées de son sang noir et planta ses yeux de ténèbres dans ceux de cet Arakjörn.
- Alors tu tiens vraiment à savoir ce que je suis, petit mage... très bien, je vais te le dire.
Elle se tue un court instant, avant de reprendre, ménageant le suspense :
- En plus d'être la Marquise des Terres Sanglantes, qui est un endroit extrêmement hostile, je suis une Incarnation de la Mort. Quand je tue et que je me nourris du sang de mes victimes, bien que je ne sois pas le moins du monde vampire, c'est que leur dernière heure est arrivée. La tienne arrive... Elle arrive à grand pas... et tu ne pourra rien faire pour l'empêcher Arakjörn.
La femme aux cheveux d'albâtre marqua une autre pause, pendant laquelle son sourire cruel ne fit que s'agrandir :
- D'autre part, je t'ai menti. J'ai parfaitement compris ce que j'ai lu dans ce livre maudit, Nygdmer. Et je sais qu'il contient des informations qui m'intéressent grandement, sur une arme.
L'Incarnation de la Mort ne put aller plus loin : trois doubles d'Ifrit, aux cheveux et aux yeux de feu venaient d'apparaître devant eux, et le jeune homme reprenait conscience. Son sourire s'effaça.
Celui qui semblait être le chef des doubles maléfiques d'Ifrit prit la parole et ordonna au jeune assassin de retirer son masque, ce que ce dernier fit. Puis il leur dit simplement à tous trois de combattre pour leurs vies.
Le double qui faisait face à Ambrosia possédait un double sabre. Comment faire pour le vaincre, armée de Miséricorde... ?
L'Incarnation de la Mort su avec certitude que le combat serait ardu et qu'Arakjörn, Ifrit et elle allaient souffrir pour avoir la possibilité de rester en vie.
Esquissant un rictus déterminé et mauvais, elle recula jusqu'au bord du large toit. L'habitation devait faire au total, en contant la hauteur des murs et du toit, environ une vingtaine de mètres de haut.
Elle allait tenter quelque chose.
*Pourvu que cela fonctionne* pensa la jeune femme.
Elle écarta les bras, tenant toujours sa chère faux, et se laissa tomber dans le vide.
Une fois hors de vue des cinq autres, elle fit apparaître ses 3 paires d'ailes.
Contournant le bâtiment, elle arriva dans le dos de son adversaire et lui asséna un violent coup de la lame d'argent de Miséricorde.
- Alors tu tiens vraiment à savoir ce que je suis, petit mage... très bien, je vais te le dire.
Elle se tue un court instant, avant de reprendre, ménageant le suspense :
- En plus d'être la Marquise des Terres Sanglantes, qui est un endroit extrêmement hostile, je suis une Incarnation de la Mort. Quand je tue et que je me nourris du sang de mes victimes, bien que je ne sois pas le moins du monde vampire, c'est que leur dernière heure est arrivée. La tienne arrive... Elle arrive à grand pas... et tu ne pourra rien faire pour l'empêcher Arakjörn.
La femme aux cheveux d'albâtre marqua une autre pause, pendant laquelle son sourire cruel ne fit que s'agrandir :
- D'autre part, je t'ai menti. J'ai parfaitement compris ce que j'ai lu dans ce livre maudit, Nygdmer. Et je sais qu'il contient des informations qui m'intéressent grandement, sur une arme.
L'Incarnation de la Mort ne put aller plus loin : trois doubles d'Ifrit, aux cheveux et aux yeux de feu venaient d'apparaître devant eux, et le jeune homme reprenait conscience. Son sourire s'effaça.
Celui qui semblait être le chef des doubles maléfiques d'Ifrit prit la parole et ordonna au jeune assassin de retirer son masque, ce que ce dernier fit. Puis il leur dit simplement à tous trois de combattre pour leurs vies.
Le double qui faisait face à Ambrosia possédait un double sabre. Comment faire pour le vaincre, armée de Miséricorde... ?
L'Incarnation de la Mort su avec certitude que le combat serait ardu et qu'Arakjörn, Ifrit et elle allaient souffrir pour avoir la possibilité de rester en vie.
Esquissant un rictus déterminé et mauvais, elle recula jusqu'au bord du large toit. L'habitation devait faire au total, en contant la hauteur des murs et du toit, environ une vingtaine de mètres de haut.
Elle allait tenter quelque chose.
*Pourvu que cela fonctionne* pensa la jeune femme.
Elle écarta les bras, tenant toujours sa chère faux, et se laissa tomber dans le vide.
Une fois hors de vue des cinq autres, elle fit apparaître ses 3 paires d'ailes.
Contournant le bâtiment, elle arriva dans le dos de son adversaire et lui asséna un violent coup de la lame d'argent de Miséricorde.
Tinùviel- Princesse du Nord
Fiche de personnage
Nom:
Race et classe:
Compétences:
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