chapitre 1: départ

[Bartolz]

tout commença avec Lilith, elle découvrit Arzpal en fit une exploitation qui devint prospère, de nombreux problême la ralentirent mais elle ne faiblissa pas du moins pour le moment

[Bartolz]

*j'arrive en charrette devant les portes, un garde demande qui c'est je lui donne le code et il ouvre la porte.
la charrette va devant la tente de commandement je descend les esclaves et les regardes Arneth! un homme grand et musclé entre*
-montre les douches à mes futur associés, parfume les et habille les bien, toilettes complète! compris?
*l'homme sourit*
-mais madame se sont des esclaves...
-tu discute mes ordres?
-non non patronne je le fais...
*Arneth vous prend va vous l'avez des pied à la tête vous brosses les dents jusqu'au noirs sous les ongles, il les parfume, les rend belles et leurs donnent des habits d'elfes, une fois enfilé Arneth me les rapportent*
bien comment vous appelez vous mesdames...

[Tristx]

Lunia et Sarya étaient assez choqués pendant tout le voyage. Elles chassèrent tout ce qui concernait la maison de Shany de leurs esprits et se concentrèrent sur le moment présent. Lunia qui avait le but de l'esclavage s'inclina et fit un baiser sur les chaussures de sa nouvelle maitresse tandis que Sarya elle voulait son indépendance.
Lorsque que Lilith leur posa la question sur le nom, Lunia s'empressa de répondre.

Je me nomme Lunia Maitresse.

Quant à moi c'est Sarya mais je ne suis pas votre esclave sachez le !

[Bartolz]

*je les regardes toutes les deux en souriant*
-non vous ne serez pas esclave ne vous inquiéter pas, vous serez payez aurez une chambre et vous serez bien nourris, ici on ne manque de rien Arneth enlève leurs chaînes!
*Arneth enlève les chaines et se retire*
-va les faire fondre et fais en deux matraque!
*Arneth sans va*
-bien mesdames comprenez que ici il faut de la production et de la rentabilité, donc vous serez mes associés, le ouvriers vous doivent le respect compris? toi Larya tu t'occuperas de surveiller que la production d'alcool et de pain marche bien, toi Lunia tu surveilleras que les mineurs aient des pauses de temps à autres pour pas qu'ils soient crever... vous m'avez compris? Lunia bientôt 2 forges seront installée tu devras alors veiller à leur bon fonctionnement!
*je vous montres la carte de l'exploitation*
-voila et dernier détails vous serez payer 800po chacune le mois, permission d'aller en ville les week-end comme les ouvrier d’ailleurs si vous n'avez pas de véhicule je vous en prêterais. Aller... maintenant au boulot moi je passerais de temps à autres pour voir si tout se passe bien, maintenant aller-y et ne me décevez pas.
*je vais m'asseoir prend une feuille et écris des lettres*

[Tristx]

Lunia ne comprenait rien à ce qui se passait. Lilith venait de lui dire qu'elle n'était pas esclave et qu'elle devait s'occuper de trucs de mineurs. Mais elle n'y connaissait rien à la mine elle. Elle se contenta d'aller à côté de sa maitresse et de se coucher. Sarya elle qui était tout de même la célèbre Rose Rouge se leva et flanqua une gifle à Lilith

Ecoute moi bien ! Tu m'as acheté à cette folle aux roses mais là je vais partir et je vais emmener Lunia. Et tu n'as rien à dire à ça !

[Bartolz]

*je souris mais pas de contentement, plutôt de colère profonde, mais je me retins je fermais mes yeux en soupirant et quand je les rouvre, mes yeux sont bleus et la volonté de Sarya s'éteint brusquement, le regard de mort des succubes ont le pouvoir d’annihilé toutes volonté*
-Toi ma chère tu vas faire se que je dis je t'offre une vie riche alors que je pourrais te battre t’enchaîner et te torturer avec les pires souffrance alors tu vas travailler sans rien dire c'est un ordre
*mes yeux percent Sarya et la soumettent et détruise toutes volonté et tout les résidus de rébellion en elle pour une bonnes centaines d'années*
-Lunia relève toi tu n'est plus esclave mais une associé
*je soupire la relève lui montre le plan et lui dit et répète tout se qu'elle a à savoir*
-Voila on va enfin pouvoir travailler ensemble...

[Jolebo]

[désolé, mais j'ai envie de RP -- ]

Le village de Selvor possède plusieurs mines très rentables, et base donc ses revenus là-dessus. Les trois quartiers qui le composent font de lui un village plutôt classique, sans réel intérêt pour un voyageur en quête de jolis paysages. Le premier quartier, plus riche, se trouve au centre du village, près des tavernes et des magasins. On y retrouve des maisons modestes et des gens habillés richement. Il fait moins de 500 mètres de diamètre, et possède un démographie de quelque 70 habitants. Autour de ce centre de village, on trouve le deuxième quartier, ou habitent les chasseurs et les paysans, ainsi que les forgerons et les villageois qui travaillent dans la manufacture. Y habitent quelque 200 habitants.
Le troisième quartier, en périphérie, avec plus de 600 personnes, est le quartier des mineurs, le plus pauvre. Les maisons sont de réelles baraquements en bois, et malgré que leur situations s'améliore, les mineurs restent dans le besoin d'argent et de nourriture. Le maire du village, associé aux nouveaux chefs des mines, s'efforcent de rendre la situation moins précaire pour les mineurs. Ils font le travail le plus dur, et sont payés le moins bien. Les accidents réguliers dans les mines font peur aux gens, et si le salaire n'augmente pas bientôt, la production finira par cesser complètement.

Le troisième quartier a la plupart de ses maisons situés à l'Ouest, près de la mine, situé à moins de 500 mètres du village. Sa proximité implique que beaucoup de gaz et de poussière envahissent le village - surtout le quartier des mineurs - assez régulièrement, rendant les habitants malades - même si leur mal n'est pas forcément apparent.

La mine est constituée de trois entrées. Deux à distance égale du village, et séparées entre elles d'une quarantaine de mètres, et une dernière, plus petites, située à 150 mètres de la, presque abandonnée. Autour de la mine, on trouve des tentes de premiers secours, ainsi que des réserves d'eau et de nourriture pour les mineurs crasseux qui sortent des mines chargés de ressources et voulant se revigorer ou se débarbouiller. Avant, ils n'avaient qu'à supporter la crasse et replonger dans les ténèbres, mais comme dit plus haut : la situation s'améliore petit à petit.

[Si ça gène que je fasse une petite description, vous me MP, et je supprime. Dites-moi aussi si c'est agréable à lire. Je ne voudrais pas vous forcer, hé.]

[Verzal]

Dans les feuillages, les broussailles, s'avance assidûment un homme de grande stature. Cela va faire une bonne semaine qu'il marche à travers les forêts. Le voici maintenant à l’orée du bois. Il peut voir les habitations des humains, leurs routes et leur feu. Et comme une plaie immonde se creuse cette immense mine dans le paysage. Si immense, tant d'énergie humaine pour quelque chose de si sombre, gris et morne. Le non-sens de cela semble évident pour Verzal.

Mais il n'est pas venu pour cela à la base, ou alors il n'est pas venu en connaissance de cause. Au départ il attendait le fruit, un fruit produit de son rêve qu'il devait rencontrer dans l'ouest mais personne n'était apparu. Le rêve d'émeraude n'était pas venu jusqu'à lui.

Verzal se souvient peu de son passé avec les gens de son peuple. Il se souvient qu'ils étaient forts et aventureux mais surtout bien bâtie. La carrure de Verzal en était l'héritage. Mais peux importe, il se souvenait d'un dicton :"Quand le destin ne vient pas à toi, c'est à toi d'aller vers lui." . Notre esthète avait alors marchais vers le nord et sa fraîcheurs. Ses forêts de conifères aux odeurs sucrées , ses neiges hivernales, ses grands espaces vierges étaient tant d'images imprimé dans l'esprit de notre druide.

Enfin arrivé devant le paysage minier, Verzal poussa un grand soupir et s’assit contre un sapin. Contemplant les actions de l'Homme devant lui, il lui prit de constater cette modification du paysage . Pourquoi? Les oiseaux lui avaient parlé et il le sentait , les gens n'étaient pas heureux ici. Alors pourquoi être là? Cette mine, ce village, les ouvriers ne sont pas venus par leur propre chef sans contraintes. Qui ou quoi que ce soit il est impossible qu'ils ait choisi cette vie. Cette vie de misère pour le profit de grands humains marionnettistes. L'exploitation de l'Homme pas l'Homme, les humains en reviennent toujours à ce point de discorde. Ils se divisent exploitant avec plus ou moins de profits matière étrangère. Les habitations même de ce village incarnent la division de la société humaine, ces gens d'une même espèce se haïssent entre ces "classes". L’Homme dans sa fascinante science à réussi à créer de nouvelles caractéristique extra-naturel , certains rabaissent les autres en faisant croire en leur différences. Pourtant de tous les humains que Verzal a croiser tous possèdent 2 bras, 2 jambes, 2 mains, une tête, une conscience, la colère, l'amour, l'empathie, la violence, la passion.

Mais voici donc que les hommes se mettent à genoux devant d'autres, la société humaine n'a définitivement pas été crée pour le bonheur des humains, de tous les humains. La nature elle peut être compatissante. Elle aidera les humains à revenir. Verzal en est sur.

Il va même lui demander maintenant.

Il ferme les yeux.

Il plonge...

[Bartolz]

[HRP:les habitant de cette exploitation se n'est pas un village diviser en plein de faction juste en quelques une que je vais marqué, les gens de l'exploitation vivent heureux et sont libres, se sont des ouvriers libre engagés, il y a pas un seul esclave, tous sont heureux et sont volontaire pour travailler ils sont bien loger bien nourrit et ont tout se qu'ils veulent]

Lilith attendait avec impatience que son marché face des merveilles, plusieurs projet étaient en cours et bon nombre étaient terminées, les forges étaient construits, les enchanteur et les forgerons embaucher étaient arrivé, tout était prêt il ne lui manqué qu'à attendre la scierie, son entreprise fournissait déjà un bon nombre de soldat en Zaerod et sa rapportait énormément, elle était déjà riche et de l'argent et des commandes arrivaient tout les jours, bientôt les hangars furent pleins et il fallut en créer un second, on manquait de place et on avait dû agrandire l'exploitation.

*je me promenais vers ma tente et un homme vint me voir*
madame très bonne nouvelle nous pouvons vendre chez les particuliers!
parfait voilà une excellente nouvelle commencer l'exportation en ville! et je vais nommer Rodguar le marchand et le magasin sera le bric à brac!
bien madame je m'en vais préparer tout...
*l'homme prépare des charrette qui vont vers la ville*

[Isil Tàriwingar]

Isil arriva au lieu dit, la carte à la main. Elle ne s'était pas dépêchée mais n'avait pas batifolé pour autant. Elle l'eut l'inscription et entra sans frapper:

-Bonjour, on m'a dit que c'était ici pour les monstres.

Son kimono écarlate flottait autour d'elle tandis que les malédictions dont son corps était imprégné formait un halo mauve autour de sa peau.

[Bartolz]

Un gardes la fixe et lui refuse le passage sans identité posant la main sur son arme mais au même moment une ombre énorme approche par derrière et pose une large main musclé sur l'épaule du garde qui s'excuse et retourne à son poste, le colosse regarde la jeune fille et lui sourit chaleureusement, eh oui les apparences sont parfois trompeuses.
bien le bonjour petite damoiselle je me nomme Arneth, je suis le commandant de la garde et le serviteur de Lilith, veuillez me suivre, ici vous ne craignez rien...
*Le colosse se retourna et marcha jusqu'à une grande tente où au beau milieu se trouve une grande table avec des cartes de la paperasse et des livre avec quelques encrier et une plume, Lilith est posé sur une chaise adossé à la table et fixe la nouvelle venue d'un regard presque dérangeant, elle sourit montrant ses dents pointues affûté comme des rasoirs et elle parle*
-Eh bien Arneth que nous apporte tu là!
Patronne voici une mercenaires...
bien laisse moi seul avec elle...
*Arneth s'incline et sort pendant que je fixe toujours intensément Isil*
-Alors vous venez pour mater du monstres? dans quel but...
*Lilith avait naturellement analyser le coeur de Isil*
-Pour retrouver des sentiments? bien bien... vous avez le choix! vous prendrez quelle contrat? tuez un dragon? un groupe de bandit? des trolls? ou encore des sorcière? ou alors voulez vous tout simplement tuez des monstres non catégoriser..., le travail ne manque pas les contrat sont sur la table! choisissez en un, si vous êtes blessez au cours de vos aventures, vous pourrez vous reposez ici, il y a toujours un lit de libres, et de bon médecin... alors? votre chois?

[Isil Tàriwingar]

Isil n'eut pas un frisson devant le colosse. Elle ne connaissait qu'une sensation:la soif. Elle regarda les contrats sur la table et déclara:


-N'importe lequel. Simplement le plus intense.

Elle examina les papiers avec indifférence.

[Bartolz]

-intense hum...
*prend un contrat dans un tiroir*
-voilà c'est un catégories dangereux, je fabriques une armure en se moment et il mefaut des écailles de différent dragons, et leur griffe...

Arzakh dragon de foudre
Minoreth dragon de glace
Enthiros dragon des vents

-voilà atention ils sont très dangereux et caché dans leur domaine, donc faites très attention, et ne toucher pas à leur trésor, il est maudit et vous vous transformeré rapidement en or si vous toucher les statue ou les bijoux...
*je souris*
-il serait dommage d'oinscrire décédée sur ce contrat aussi important et si vite
*je souris et te tend le contrat*
-signé une fois et partez à la quête, c'est au sud d'ici un habite sur la montagne noir un dans le temple céleste et un dans la vallée des maudit, bonne chance!

[Isil Tàriwingar]

Isil fixa un instant la fueille et dis:

-J'y vais seule ou quelqu'un m'accompagne?

Un dragon... le met le plus recherché pour les kitsunes! Cela allait lui faire un bon festin.

-Et quelle est la recompense?

[Tristx]

Sarya et Lunia arrivèrent dans la tente de Lilith après avoir durement travaillé. Sarya commençait à se plaire et montrait tout de suite qu'il fallait lui obéir. Elle adorait les voir l’appeler chef. Lunia de son côté était toute gentille avec les employés et connaissait tous leurs petit nom par cœur. Lorsqu'elle rentrèrent dans la tente, Lunia sauta sur Lilith et lui fit un gros bisou tandis que Sarya s'assit dans le fauteuil.

Tu sais quoi ? Eh bien c'est trop géniale la mine et les mineurs sont hyper chous avec moi. D'ailleurs Jacky m'a même fait un cadeau hihihihihi. Par contre ça te dérangerais si je leur faisais moi-même la cuisine car la cantine bah c'est beurk.

[Bartolz]

*je souris en caressant les cheveux de Lunia en souriant*
-Mais si tu veux oui je suis contente que cela vous plaise à toute les deux vous travaillez très bien et tout travail mérite salaire et c'est votre jour de paye aujourd'hui de plus vue les effort et le travail que vous fournissez, je suis fier de vous deux et je vous accorde une prime de 100po et le droit d'aller en ville plus souvent si vous le souhaitez.
*je regardais Isil*
-Prime de 1200po plus une arme forgée en adamantium de votre choix et avec le tout un enchantement d'arme, cela vous convient-il?
Il me faut une 50 d'écailles de chaque dragon et une 20 de leurs griffes, accomplissez ce travail et revenez me voir quand il sera terminer, vous toucherez ainsi votre dû durement gagné.
*je sort de mon bureau deux sac d'or en donne un à Lunia et un à Sarya*
-Et voilà 1100 po pour chacune comme promis, écoutez, demain un important chargement arrive du Sud, il doit être arrivée dans les temps, une fois arriver vous demanderez à une poignée d'homme de tout décharger et d'emmener à l'entrepôt de stockage de matière spéciale, c'est un métal très rare et très cher qui m'a coûté une fortune je compte sur vous et aussi sur toi Isil pour ton travail...

[Isil Tàriwingar]

Isil contempla l'or avec indifférence avant de le ramasser.

-Bien, je partirai après cette mission chasser les dragons.

Puis elle se tourna vers les nouvelles venues et eut un vague sourire:

-Bonjour! Comment vous appelez vous?

[Bartolz]

*je fixe Isil pensive*
"si elle doit réapprendre tout les sentiment depuis le début sa va être long très long et ardue à la limite de l'impossible, on va voir si il existe pas un breuvage ou une potion capable de lui redonner ses sentiment, je vais chercher"
*après avoir pensée à tout sa Lilith sourit puis s'étire prend une feuille et écrit des lettres*
-bien je vous ais donné votre mission et vous mesdames votre paye, j'ai encore beaucoup de travail ici alors allez parler dans la cour s'il vous plaît
*je me met à lire des livres sur d'ancienne légendes et en trouve une épatante et tentante, "la légende de la lame du nouveau monde" je vis en se titre une attirance psychique étonnante, je lus le livre en entier en quelques minutes et en le fermant je me levais d'un coups alla préparer des affaire rapidement, pas grand chose juste un sac à dos avec un duvet, une bouteille de sang une épée et un arc magique tout deux en adamantium évidement, prenant alors une veste noires et des habits en cuir aussi noires, je sortais pour partir en voyage*
-Lunia! Sarya je part e voyage, je compte sur vous pour surveiller l'exploitation et veiller à son bon fonctionnement!
*après les avoir rapidement embrassé je prend un cheval et une carte du monde et sort de l'exploitation*

[Jolebo]

J'arrive sur les lieux par un petit sentier qui traversait une forêt. De loin, je sens l'activation dans les mines. Des volutes de fumée noire montent vers le ciel depuis divers endroits. Ils fondent leur matériel pour, sans doute, le revendre ailleurs, et ainsi se faire plein d'argent. Bwah, si ça les rend heureux de faire ça, qu'ils le fassent. Je n'ai personnellement jamais compris le but d'une société comme celle-là. Quoi de mieux que de vivre dans la forêt, en mangeant quand on a envie de manger, et en méditant le reste du temps ? Construire des maisons, c'est bien joli, mais je ne sais pas où ils trouvent ce courage ... Ca prend quand même un sacré bout de temps, et c'est sans compter qu'il faut trouver le matériel et tout ça !

Je quitte le couvert de arbres en me rapprochant de la mine. Je ne sais pas pourquoi je suis là. Enfin, si, je sais, mais disons que je n'ai aucune raison d'être là. Je marche au gré de mes envies, en tournant à gauche, et puis à droite, en fonction de mon humeur. Aujourd'hui, mon exploration m'amène en cet endroit. Rien qu'à l'odeur, on devine que c'est une mine. Il y a des tentes, et des constructions en bois. Sans doute des machines crées par des ingénieurs pour remonter le minerai depuis les profondeurs.

Dans la forêt, l'odeur était faible, mais ici, sur la parcelle de chemin dégagé jusqu'à la mine, on sent vraiment un grande odeur. Je suppose que les personnes qui vivent là s'y sont déjà habituées, sinon je les plains. Bon, voyons voir s'ils ont quelque chose à me proposer.

Je marche les derniers 200 mètres vers la mine après avoir jeté un regard derrière moi. Je jette toujours un regard derrière moi quand je quitte une forêt, ou quand je me déplace à découvert. On ne sait jamais.

Je passe à travers un portique en bois ou deux gardes se tiennent. Celui de gauche reste où il est, et le deuxième me suit à l'intérieur du complexe minier. Ils n'ont pas l'air de vouloir m'empêcher d'entrer, et semblent assez pacifiques. Le fait que je porte un arme ne semble pas les choquer le moins du monde. Je jette un coup d'oeil à la sienne. Haha, je préfère largement mon épée. Elle est plus fine, plus maniable, et sans aucun doute plus tranchante. Enfin, contre un troll, c'est peut-être mieux d'avoir un lame large comme la sienne. Peu importe, je doute qu'il y ait des trolls ou des dragons par ici. Je cherche des yeux la cantine de l'exploitation. Peut-être que je pourrai déguster un repas ou l'autre en échange de quelques pièces. C'et étonnant que les gardes ne m'aient pas retenu.

Je suis en plein milieu du mouvement général, et le garde de l'entrée à toujours un oeil sur moi. Il ne doit pas savoir qui je suis, ce qui est normal, étant donné que c'est la première fois que je viens. Je me retourne :
- Bonjour monsieur ! Vous ne savez pas où je pourrais manger un truc ? Je suis un voyageur, et il me tarde de repartir. Oh, pas que l'ambiance me déplaise, mais c'est plutôt l'odeur. Je préfère celle des forêts que celle des mines, si vous permettez. Alors, cette cantine, par quel côté ?

[Isil Tàriwingar]

Isil sentit une nouvelle présence, aux pensées etranges. Elle s'approcha a pas de loup et surgit derrière l'homme:

-Vous cherchez quelque chose?

Elle ecouta resonner ses pensées tandis que sa main glissait vers sa dague rouge.

[Jolebo]

- Je cherche la cantine, jeune demoiselle.

Il lui lança un sourire qui se voulait charmeur. Encore une de ces donzelles innocentes ...

[Attendons que Lilith réponde ? ]

[Isil Tàriwingar]

[Lilith est partie en voyage]

Quand Isil perçut les pensées de l'homme, un grondement sourd monta de sa gorge:

-Qui êtes vous?

Une jeune fille innocente... et puis quoi encore? Elle avait plus de sang sur les mains que ce type.

-De plus, apprenez que mon innocence n'existe pas.

Elle remit en place son kimono desordonné par le vent et epingla l'homme avec ses yeux d'argent liquides.

[Bartolz]

*Ebard choisit son moment pour intervenir*
-Hola pas de bagarre ici! je remplace Lilith pendant son absence!
*Ebard montre un grand bâtiment à l'homme*
-Les cantines c'est par là mais vous n'êtes ni travailleur ni fournisseur, les cantines sont pour ceux qui réside à l'exploitation...
*il jaugea l'homme un instant et soupira*
-Bon tenez prenez cette carte elle vous permettra de vous rassasié mais ne le dites pas à ma patronne sinon elle utilisera son pouvoir pour...
*Ebard se tut et tendit une carte au voyageur et repartit sous la tente sans plus d'explication, Lilith avait des pouvoir et avait jurer qu'elle torturerait Ebard si il en parlait*

[Jolebo]

Cette folle lit dans mes pensée ? Argh, mai si c'est le cas, je ne devrais peut-être pas penser aussi haut. Zut, je fais quoi ? Bon, ben autant prendre congé et aller dîner. J'essayerai de discuter avec elle quand j'aurai le ventre plein. Peut-être même qu'elle va venir manger avec moi ? Je ne sais pas, mais en tous cas, mon ventre gronde.
- Je suis Eldum, voyageur, à votre service, mademoiselle.

Je m'incline profondément, comme feraient les chevaliers pour leur dame. Après tout, j'ai toujours aimé les nouvelles rencontres, et se montrer poli à beaucoup fait ses preuves.

Y'a que contre les orcs que ça ne fonctionne pas.
- Oh, excusez-moi, je pensais que vous serviez à manger même aux voyageurs. Il est vrai que j'aurai dû me présenter et aller voir le chef avant de chercher la cantine. Je vous avoue que le gibier s'est fait rare, cette semaine, et que je meurs de faim. Excusez-moi encore une fois. Je vous rapporte la carte dans une petite heure, ça vous va ? Vous vivez dans la grande tente, ce ce côté, je suppose ?

Outch, c'est pas évident de tenir deux conversations en même temps. Et moi je vais m'ennuyer si je n'ai pas de compagnie pendant mon dîner !

[Isil Tàriwingar]

Je ne lui faisais pas confiance. Ses pensées étaient si bruyantes qu'elles résonnaient dans son crâne. Je ne pense pas avoir deja rencontré un humain pareil sinon je serai morte de migraine il y a longtemps. Je lui rendit son salut, la main sur mon coeur à la manière de mon peuple:

-Isil Táriwingar, Celle-Aux-Mille-Malédictions pour vous servir. Enfin façon de parler. J'avoue que je suis cureiuse de ce que vous allez m'apprendre.

Ses pensées étaient fortes. En l'entrainant et en le degrossissant, je pourrait peut etre lui apprendre quelque chose. Il fallait voir. Je m'approcha de lui et le devisagea:

-Bon sang! Je sais que vous avez faim, mais par pitié, cachez vos pensées! Vous me donnez mal a la tête!

Je lui prit le bras et l'entraina:

-Venez manger pour stopper votre vacarme mental.

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