La foret

[Samy]

La foret de Clantor, Elle est assez dense, le sol et recouvert de feuilles, les ronces offrent des amas d'épines, les feuilles filtrent le soleil et la végétation dense rend le climat humide. Quelques champignons par-ci par-là encouragent à une banale cueillette sauf que... Cette forêt n'avait rien de banale... Bien sûr elle pullulait de monstres et de brigands courageux... Malgré tout il planait en ces lieux quelques chose de plus exotique que ça, certains parlent d'un loup-garou géant, d'autres d'une sorcière mangeuse d'hommes, ou encore d'un grand champignon maudit. Théorie la plus optimiste qui plus est..

[Amyo]

Ce jour là, un homme,chassait. Ses flèches touchaient toujours leurs cibles avec une précision presque parfaite... Un rugissement à glacer le sang se fit entendre... "Le loup-garou... Enfin une chasse digne de ce nom..."

[Bartolz]

*Mina avait envie de se changer les idées, suivit de près par les âmes des morts de son père et de ses frères et soeur: Markus Lilith Astroc Martath et Enclod.
Mina se balada dans la forêt en discutant avec les âmes, pour ceux qui voit les âmes, ils comprendraient à qui elle parlait mais pour les autres sa pouvait rendre mal à l'aise.*
sa m'attriste que tu sois mort Enclod...
-ne t'inquiètes pas ma soeur, l'important c'est que toi tu vives heureuse
-Enclod a raison Mina je m'excuse des désagrément que je t'ais causé vis heureuse trouve toi un mari
*Mina s’assoit au bord d'un étang*
personne ne voudrais de moi je suis trop dangereuse à cause de toi Markus en plus!
-j'ai gaffé oui je sais...
-sa pour avoir gaffé...
-tait toi Lilith!
*Mina tend la main devant elle et un rayon noir est tiré presque sans effort*
je ne vivrais pas heureuse sa c'est sûr...
*Mina se recroqueville sur elle même tristement*

[Bartolz]

*un assassin apparut derrière Mina et elle se retourna en criant de surprise elle tomba à terre et recula*
tu vas mourir Mina...
qui êtes vous!
*l'assassin sort une lame noire et je tire un trait de ténèbres qu'il arrive facilement à éviter*
inutile laisse toi tuer et tu ne souffriras pas...
*je tente de m'enfuir mais je me prend un poignard dans le dos et tombe à terre mes forces me quittant*
ainsi... je vais mourir comme sa...
*je pleure mon âme partant de mon corps, l'assassin range son épée prend une broche sur moi et disparaît, je meurt*

[Jolebo]

L'assassin releva sa capuche, dévoilant une longue chevelure brune parfaite. Elle secoua la tête, faisant voltiger ses pointes, qui se placèrent joliment dans son dos. Son visage, quoi que grave, était d'une grande beauté. Modeste, elle ne faisait aucun effort pour avoir cette allure, et elle maudissait par moments son apparence. Pour un assassin, ce n'était pas idéal, d'attirer les regards ainsi. Aussi, c'était la raison pour laquelle elle portait un cache-visage en mission.

Elle s'assit en tailleur, et essuya sa longue lame dans l'herbe avec grâce. Ses vêtements étaient en cuir noir, et elle avait fermé les yeux. Clairement, il n'y avait pas que son visage qui attirait les regards. Son corps était fin, ses jambes étaient longues et souples. Ses bras, un peu musclés, avaient autant de classe que le reste. Mais elle était un assassin, et elle devait mourir.

Je m'appelle Vesem, et je suis un assassin d'assassins. Ou en tout cas, c'est une description qui pourrait correspondre à l'homme qui accomplit ma mission. Des fois, je suis juste un espion, et de temps en temps, je prends le rôle d'un aventurier. Aujourd'hui, je ressemble à la femme que je vais tuer. On a les mêmes habits, même si son cuir est noir, et que le mien est brun. En forêt, je suis sans doute plus discret qu'elle. Putain, elle est jolie. Mais je ne peux pas y penser, sinon je risque de regretter. On m'a assuré qu'elle devait mourir, et on a discuté longuement sur la manière. Personne ne mérite de souffrir, et elle non plus. Elle tuait des gens sans aucune pitié, mais ça ne veut pas dire qu'on ne peut pas en avoir pour elle. Elle mourra vite. La décision de mort n'est une décision qui devrait être prise à la légère. Nous ne l'avons pas prise à la légère. Normalement, je suis plutôt réticent à tuer des gens, et en fait, je n'ai jamais tué personne. J'ai toujours trouvé un moyen de le faire faire par quelqu'un d'autre, ou de convertir ma victime. Oui, il arrive qu'une discussion remette quelqu'un sur le droit chemin. Mais personne ne sait que je n'ai jamais tué. Pour eux, j'en suis à ma dixième victime.

On m'a assuré que pour elle, il n'y avait aucun espoir. Elle était le mal incarné, et tuait sans but, si ce n'était le confort. Oh ça oui, elle vivait dans un luxe incroyable, même si elle ne le montrait pas. Ca serait un comble, pour un assassin. Tout en elle puait la modestie, mais ça faisait longtemps que je la surveillais. Quand elle n'est pas en mission, elle est tout sauf modeste. Discrète, mais riche. Elle tue, amasse les pièces d'or, vit une vie de rêve, tue à nouveau. Ainsi est le cycle de sa vie. Avant d'en venir à la tuer, j'ai regardé s'il n'y avait rien qui puisse briser ce cycle. Rendre cette femme bonne. Mais non, je n'ai pas trouvé.

Je prends mon arc sur mon dos et le bande, je me lève doucement, sans geste brusque. Caché derrière un buisson, et dans son dos, je n'ai aucune chance qu'elle me voie. Je place mes pieds perpendiculairement à elle, mes épaules parallèlement à mes pieds. La corde touche ma joue, la pointe de la flèche est juste situé à un centimètre à côté de ma cible. C'est l'ajustement nécessaire à cette distance pour lui perforer le coeur.

[Bartolz]

Une femme brusquement apparut devant l'assassin, sa beauté était comme un soleil couchant, une beauté foudroyante, unique et irrésistible. je me retournais de toute ma splendeur et fixais l'homme d'un regard transperçant, tentant son coeur son esprit et son âme avec un seul coup d'oeil, la perfection, cette femme n'était autre que Lilith, La déesse de la tentation reine absolue des enfer et des succubes, tout son corps n'est que désir et son regard que tentation, tout ces élément cachaient la vrai personnalité de la succube, une cruauté sans pareil une mangeuse d'homme ayant réaliser tout les pêcher capitaux des dizaine de fois.

*Lilith fixa l'homme et plongea ses yeux dans les siens et lui tendit un bras en l’appelant d'une voix douce*
-Viens à moi...
*Mina surprise d'entendre une voix se retourna et me vit et un sourire fleurit sur son visage*
-Maman!
*Lilith fixa l'assassin et étant sur qu'il ne tirerait pas elle se retourna vers Mina et la serra fort contre elle*
-Mina ma petite fille...
*Lilith respira le parfum des cheveux de sa fille Mina et lui sourit*
-Tout vas bien?
-Non, je...

[Jolebo]

Alors que je tenais la belle assassin en joue, une femme apparut brusquement dans mon champ de vision, les yeux rivés vers moi. Avant même que je capte son regard, j'avais déjà perdu tout le contrôle de mon corps, la flèche fut décochée et s'enfonça dans le sol à une dizaine de centimètres de ses chaussures. Je lâcha mon arc et tomba en avant, genoux et mains à terre, la langue pendante, la tête levée vers elle comme un chien. Si déesse sur terre il y avait, elle était en face de moi. Son visage n'était pas clairement descriptible, il semblait changer ne fonction de mon regard, pour à chaque fois apparaître sous une beauté encore plus improbable que l'instant d'avant. Pour son corps, c'était pareil. Il ne cessait de changer, presque imperceptiblement, pour à chaque fois être beau. Terriblement beau.

Cette créature, en face de moi, avait pris le contrôle de mon être. Mon instinct avait triplé de taille, et je ne pouvais m'empêcher de me soumettre à cette femme, terriblement attirante. Déjà, tout mon être était tombé amoureux, et oublier un tel visage - aussi changeant soit-il - était impossible.

C'est sans pouvoir réfléchir correctement que je me mis à ramper vers elle, sans prendre garde aux racines et aux épines qui parsemaient le sol. Désarmé, dénué de volonté, j'essayais de l'attraper, de l'avoir rien que pour moi, de lui montrer que j'étais celui dont elle avait besoin. Chaque but dans ma vie avait disparu, et cette déesse était devenu mon objectif. Etre là pour elle, pour nous, tout le temps. Je ne la connaissais même pas, mais je savais que nous étions faits l'un pour l'autre, ... quelle tentation ....

Mais je ne me contrôlais plus, et petit à petit, je m'avançais vers elle en rampant.

[Bartolz]

Mina et moi restâmes un moment avant de voir l'assassin, je sourit et m'accroupit relevant le menton de l'homme avec une délicatesse perceptible, j'approchais mes lèvres tentante des siennes et me ravisais au dernier moment en riant, Mina me fixa d'un regard désapprobateur et je lui souris
-Cette homme à de grande capacité physique, je me nourrirais bien de son énergie en l'ayant avec moi dans le lit...
*Mina rougit*
-Maman...! tu est si cruelle... papa est mort et toi tu...
*je fixais Mina*
-Markus était un idiot il a toujours voulut le pouvoir, il a mérité son destin! maintenant va à mon exploitation, de suite!
*Mina fut terrifier un très court instant et disparut se téléportant dans les terres du nord*
-A nous deux mon joli... viens me voir...
*je tendis les mains vers l'assassin pour le faire venir dans mes bras en souriant*

[Jolebo]

[ Hahaha, je rigole. Petit salaud, laisse mon personnage en paix ! Espèce de gros'bill ]

Je me relève doucement. Elle m'a touché. Elle m'a touché. Elle m'a touché. Son contact est si doux, si chaud. Elle m'a touché. Je souris. Mon regard se plonge dans ses yeux brillants, tels deux petits soleils qui m'attireraient vers eux. J'ai réussi, elle m'aime ! Elle me demande de venir dans ces bras, elle les ouvre, j'y plonge avec beaucoup de douceur, posant mes mains dans son dos à hauteur de hanche, la serrant contre moi, nos visages en contact. Je ressens sa chaleur, qui me transperce et me nourrit. Son visage n'est plus en face de moi, je reprends peu à peu le contrôle de mon corps.

Mais qu'est-ce que je fais là, dans les bras d'une inconnue ? J'avais une mission ?!

[Bartolz]

*je refixe l'assassin de mes doux yeux et l'embrasse sans prévenir*
[HRP: la suite est classée XXX et défendu au mineur!]

Spoiler:

[Jolebo]

Je m'appelle Vesem, et je vis le meilleur moment de mon existence.

L'homme a toujours eu pour but de se reproduire, de vivre, faire perpétuer la race. Il chasse, il mange, il se sédentarise, il crée de villes, des sociétés. Pourquoi ? Pour rendre la vie plus agréable, plus facile. Des fois, il s'illusionne pendant cet art, mais c'est un autre débat. L'homme se nourrit, se reproduit, élève ses enfants, se nourrit, se reproduit, élève ses enfants. Qui a-t-il de mieux dans la vie que d'élever un enfant ? Que de manger à sa faim, et que d'être dans un espace confortable ? Qui a-t-il de mieux que de se reproduire ?

Ce n'est pas à ça que je pensais tandis que mon corps s'activait dans les bras de la princesse, mais c'est à ça que j'aurai pensé si j'avais pu observer cette scène d'amour, en voyant quel plaisir prenaient ces deux êtres dans leur embrassade amoureuse. Un simple aventurier, qui vivait de meurtre et de quêtes, sans histoire, sans ami, sans femme, avec la princesse de la beauté, la reine même de la tentation, la plus belle femme ayant jamais foulé la Terre de Zaerod.

Je fis rouler la belle princesse, tandis que j'écartais une branche de son visage, dévoilant à nouveau ses yeux brillants, hypnotisant. Elle est nue, je suis nu, et nous vivons quelque chose de fabuleux. Un partage, entre deux inconnus, dont le corps se lient et se remplissent d'une manière parfaite. Imaginer mieux que ça, c'est mourir d'une plaisir trop intense. Si leur esprits ne sont pas connectés, leurs corps le sont, et ce, pour le reste de la nuit.

La tête baissée, les bras sur le sol, je suis sur elle, elle est sous moi. On pourrait penser que je l'ai sous mon emprise, mais c'est elle qui me contrôle. Mes gestes sont automatiques, pas vraiment voulus, malgré le plaisir intense que j'éprouve à les faire. Elle pousse des petits cris de satisfaction, au rythme de mes mouvements. Nous sommes l'un dans l'autre, et partageons un moment purement physique.

Une femme inconnue, un corps parfait, avec un homme qu'elle ne connait pas, et qui était venu pour tuer.

Un partage, ... physique.

Mais mentalement, il n'y a rien.

[Bartolz]

*Lilith sentit cette homme en elle et commença ses cris de jouissances, c'était bon, chaqu'un de ses coups était force et vitesse, elle apprécia et en même temps aspira la vie et l'énergie de L'homme qui s'activait en elle, se reflux d'énergie pure lui fit le plus grand bien, elle en cria si fort que la foret fut au courant de leur ébat.*

-oooh nous avons la un étalon première catégorie...

*Lilith profita de l’instant se nourrissant de l'énergie et vidant totalement l'assassin*

[Jolebo]

Qui mourra en silence.

Qui mourra en plaisir.

Et qui, malgré tout, ne regretta rien.

[Bartolz]

*Lilith se releva et se rhabilla laissant l'assassin mort et elle sourit une fois avant de disparaître*
-Merci pour le repas

[Jolebo]

Une gouttelette de pluie tomba, d'on ne sait où, envoyée par on ne sait qui, juste en dessous de l'oeil de Lilith, à l'endroit où aurait pu couler une larme si la succube avait pu ressentir l'émotion de la tristesse et de la peine, voire du regret ...

L’essuiera-t-elle d'un revers de manche, sans coeur ni tendresse ?

[Bartolz]

Lilith laissa la goutte perler le long de sa joue, son regard était froid mais l'assassin avait sû prendre une petite place dans son coeur, elle revint vers lui et en l'embrassa attrapa son âme et la refit entrer dans son corps, ressuscitant le pauvre assassin, une fois réveiller elle sourit et l'embrassa sur la joue en se relevant

-Je t'ais redonner la vie alors n'attaque plus ma fille Mina compris?

*Lilith ne l'avait pas envoûter cette fois et se retourna pour partir*

[Jolebo]

Je me réveille, et j'avance. Tout droit, sans but. Mes mains pendent, mes pieds traînent, mon visage ne montre aucune expression.

Un pas, un autre, et encore un autre. Je pousse un gémissement, je n'arrive pas à réfléchir. Je fais un nouveau pas. Puis encore un autre. Ma bouche s'ouvre, et ma langue sort. Râpeuse, sèche. J'avance d'un pas, et puis encore d'un autre, et je pousse un nouveau gémissement.
- Argh ...

[Bartolz]

*je me retourne vers l'assassin*
<< il est mignon, je peux pas le laisser mourir ainsi >>
*j'attrape l'assassin et l'embrasse en le guérissant petit à petit*

[Jolebo]

Puis, soudain, je reprends conscience de mon environnement. Je suis toujours dans la même forêt. La même forêt que quoi ? Que quand ? Les souvenirs me reviennent petit à petit. Une chaleur intense me parcoure le corps quand je repense au moment vécu. Vécu, oui. Il est passé, et je ne revivrai plus jamais ça. Aucune femme ne peut m'offrir ce que cette inconnue m'a offert. Son visage est collé au mien, et je sens ses lèvres sur les miennes. Nouvelles transmission de chaleur. Je l'attrape par le hanches, et la pousse contre un arbre, tout en restant collé à elle. De tout mon coeur, de tout mon être, je lui rend son baiser. Elle a brisé toute ma volonté, je pense que je peux au moins essayer de profiter de sa présence aussi longtemps que je peux, avant d'essayer de reprendre une vie normale, mais beaucoup moins savoureuse, puisque sans elle.

Je fais glisser ma main sur sa cuisse, passe ma jambe entre les siennes, et la soulève de quelques centimètres en l'embrassant de plus belle. On dirait qu'elle ressent un peu de plaisir, qu'elle donne du sien, alors que mon plaisir à moi est total. Je m'éloigne de quelques centimètres, et la pose à nouveau. Je plonge mon regard dans le sien, et sens son haleine dans ma bouche et dans mon nez. Elle est excitée et respire fort, vite. Moi encore plus. Je fias remonter mes mains jusqu'à sa poitrine, puis son cou et enfin ses joues. Je lui offre un dernier baiser, avant reculer d'un pas.
- Tu veux manger quelque chose ?

[Bartolz]

Je souris à l'assassin mon coeur battant fort dans ma poitrine, je n'étais pas amoureuse mais se sentiment était proches, je regarde enfin l'homme et me calme et fais oui de la tête, il m'avait donner beaucoups de plaisir et il était tombé amoureux de moi, sans l'envouter il me désirait, je trouvais sa normal avec le corps que j'ai mais le plus étrange c'est que si j'étais une humaine il serait tout de même amoureux de moi, se sentiment m'arracha un sourire et je savourais encore les baiser qu'il m'avait donner encore excité par ces mains baladeuse
-Ou...oui j'ai un peu faim...

[Jolebo]

Je décroche ses mains de derrière mon cou avec douceur, sans cesser de regarder ses yeux et de lui sourire. A nouveau, j'essaye de m'éloigner d'elle en faisant deux pas en arrière, mais elle semble scotchée à moi. Je la prends par les hanches, lui offre un baiser, et me retourne.
- Attends-moi ici, je me dépêche.

Je cours vers mon équipement et mes vêtements, qui sont toujours près de l'endroit où je m'étais embusqué pour ... pour faire quoi, déjà ?

Je m'habille en vitesse, préférant ne pas penser au passé, et profiter du moment présent.

Après quelques minutes, je me suis enfoncé dans la forêt, et je guette le mouvement du gibier. En une vingtaine de minutes, je parviens à abattre un lapin, que je ramène auprès de la jeune femme. Ensemble, nous faisons un feu et mettons la viande à cuir. Je m'adosse contre un arbre, et ferme les yeux, alors qu'elle se love dans mes bras, apparemment aussi heureuse que moi.

[Bartolz]

Je me colle au belle assassin en ronronnant ma main baladeuse rentrant sous ses habits pour lui caresser le torse, mon sourire montrant mon plaisir d'être à côté de lui
-Cela fait bien longtemps que je n'ais pas sentis se sentiment d'amour pour moi, je vous aime bien... même beaucoup, j'adore votre corps et votre esprit, je...
*j'embrasse l'assassin langoureusement en haletant ma main allant dans son pantalon*

[Jolebo]

Puis, soudain, c'en est de trop. J'attrape ses deux mains, et les éloigne de mon corps. Je les plaque sur son ventre, et lui jette un regard qui veut tout dire. Laisse-moi respirer, maintenant, s'il te plaît. Je prends ses épaules avec délicatesse et le regarde franchement.
- Je suis fatigué, et j'ai mal à la tête. Terminons notre repas, et allons trouver un lit dans une taverne, en ville, dans un endroit calme. D'accord ?

Il n'est pas loin de midi, et nous sommes tous les deux couchés près du feu. La viande a terminé de cuire, et la forêt semble soudainement silencieuse.
- Au fait, ça ne me rassure pas d'être dans les bras d'une femme aussi puissante que toi. Tu me plais, évidemment, mais jamais tu ne seras comblée par mon amour, pour la simple et bonne raison que tu peux rendre tout le monde amoureux de toi. Même moi, je ne sais pas pour quelle raison j'éprouve un telle attirance. Si ça se trouve, c'est ton pouvoir de femme fatale qui me maintient encore sous son emprise. Si ça se trouve, je ressens vraiment quelque chose de fort envers toi. Peut-être que nous sommes faits l'un pour l'autre, peut-être que je suis juste sous le charme de ta magie. Je ne sais pas.

Je m'éloigne d'elle de quelques centimètres, et jette un regard triste à la forêt.
- Tu as le pouvoir de détruire n'importe quelle vie, et je sais que si nous nous quittons, je ne trouverai jamais à nouveau ce plaisir intense que j'ai eu avec toi. Si nous nous quittons, je vivrai malheureux pour le restant de mes jours. Ce que tu as créé est paradoxal. Je veux rester près de toi, et faire un bout de chemin en ta compagnie, mais je ne sais pas pour quelle raison. Suis ensorcelé ou amoureux ? Et je sais sue si c'est un sortilège, et qu'il se brise, je serai tout de même déçu par toutes les autres femmes que je pourrai rencontrer.

J'attrape sa main et la regarde. Ses yeux semblent un peu tristes, mais peut-être que je me trompe.
- Tu comprends ce que je veux dire ? Ta puissance est telle que tu peux ruiner chaque homme que tu croise. S'il s'avère que tu as ruiné ma vie, je préfère mourir que de continuer à la vivre.

Maintenant, je me rapproche d'elle et prends sa seconde main. Je presse ses doigts contre mon coeur, et je lui demande :
- Nous ne nous connaissons pas, mais penses-tu que nous pouvons, ... profiter de la vie un moment, ensemble. En couple ?

Je respire un grand coup.
- Tu as fait tout ceci pour le plaisir physique, alors que j'ai ressenti une attirance magique envers toi. Tu ne m'as pas tué, alors que ça t'aurait permis de nourrir ta forme de démon. Sais-tu au moins comment je m'appelle ? Veux-tu apprendre à me connaître, ou m'abandonneras-tu à la première occasion ? Quand je t'aurait donné tout ce que je peux te donner ?

[Bartolz]

Tu as fait tout ceci pour le plaisir physique, alors que j'ai ressenti une attirance magique envers toi. Tu ne m'as pas tué, alors que ça t'aurait permis de nourrir ta forme de démon. Sais-tu au moins comment je m'appelle ? Veux-tu apprendre à me connaître, ou m'abandonneras-tu à la première occasion ? Quand je t'aurait donné tout ce que je peux te donner ?
*Je soupire et regarde l'assassin*
-Je ne suis pas en train de t’ensorceler en fait je ne l'aie pas fais depuis que je t'ais ramener à la vie et je ressent quelques chose de bien réelle pour toi, je...
*Lilith respira à fond*
-Oui je veux te connaitre et passer un moment avec toi et non je ne veux pas te quitter, mais saurais tu vivre avec moi? une tueuse? une femme qui devra coucher avec d'autres hommes que toi pour ne pas mourir de faim et pour ne pas te tuer? si tu te sent capable de surmonté sa je resterais volontiers avec toi pour toujours si il le faut, jusqu'à se que la mort nous sépare...
*Je lui caresse la joue et l'embrasse complètement sous le charme de cette homme qui pour la première fois dans sa vie avait ravit son coeur*

[Jolebo]

- Cette réponse me plaît. Je m'appelle Vesem.

Je lui rend son baiser, mais cette fois sans aucune fougue. Juste de la tendresse, et beaucoup de réserve. Il ne dure que quelques secondes, quelques instants ou je sens que nous ne partageons plus un simple désir physique, animal ou bestial, mais ou nous partageons un moment de vie, un ancrage l'un dans l'autre, comme une promesse de faire ensemble un petit peu de notre temps de vie.
- Je me sens capable de surmonter tout, car je sens qu'en ta présence, mon bonheur ne faillira jamais.

Je rougis, place ma tête à hauteur de sa poitrine, puis relève le regard, le rabaisse, et demande :
- Je ... je peux connaître ton petit nom, sublime créature ?

Avant même qu'elle ne puisse répondre, j'éclate de rire et je lui saute dessus. Nous faisons deux roulés boulés dans l'herbe sèche, en nous nous retrouvons enlacés à trois mètres du feu, nos langues se tortillant dans notre embrassade amoureuse, transmettant une grande émotion a travers ce contact fabuleux.

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