Re: Le soir où tout commença..

[Doktor Bizigu]

Nevaël se tenait prête, elle aussi. Elle tenait à éviter de réutiliser le feu majeur tout de suite, il lui fallait regagner des forces pour combattre Amok.
Armant sa plus grosse flèche hérissée de pointes de métal, elle l'enflamma au bout d'un simple regard et visa l'oeil.

"Je suis prête. Je prends le relai.

A mon commandement.. FEU !!!"

Elle avait pris les choses en main car il ne fallait pas perdre de temps. Sans attendre de réponse, elle décocha sa flèche qui partit en sifflant, suivie d'une longue gerbe de flammes (elle n'avait pas pu s'empêcher de rajouter un peu de puissance à son attaque).
Elle se dirigeait droit sur l'oeil, mais la cambionne sortait déjà une deuxième flèche semblable pour poursuivre l'assaut.
Elle surveillait Nhiman du coin de l'oeil, il lançait ses sphères.
Parfait.

[Phaéton]

Au signal de Nevaël, Nhiman lacha prise. Tout d'abord il n'y eut rien. Ou tout du moins on aurait pu croire qu'il n'y avait rien eut. Un flash sinistre. Il y eut un formidable souffle, la cheminée sur laquelle était appuyé Nhiman vola en éclat ainsi qu'une grande partie du toit autour de lui... Au fur et à mesure la vue de Nhiman se voilait. Ensuite vint la double explosion. La première généré par la libération du halo violet, les deux globe étaient partis tellement vite qu'on n'eut pu les suivre du regard. Et presqu' immédiatement la seconde à l'impact avec les monstre. Le magicien eut juste le temps de voir que son attaque avait atteint l'oeil du Titan, et avait causé plus de dégât qu'il n'aurait osé l'espérer. Le monstre avait même hurlé de douleur! Maintenant il ne distinguait plus que de vague formes autour de lui. Il rassembla ses dernière force pour se mettre à couvert. Il se mit derrière un mûr, il n'eut pas le loisir d'aller plus loin et s'évanouit vidé de toutes énergie.

[Doktor Bizigu]

Nevaël voyait bien que ses flèches étaient inutiles comparées à la puissance qu'avait développée Nhiman.
L'attrapant par les jambes elle le hissa sur son dos et l'emmena en bas du bâtiment avant que le toit ne s'effondre.

Kheirest avait entendu le monstre crier et avait regardé, il changeait de position.

"On peut sortir ! ALLEZ !"

Il en profita, il gicla de sa cachette à vitesse maximale et se rua vers un abri plus proche du titan. Les deux tireurs qui s'étaient cachés allaient pouvoir faire feu pour parachever l'oeuvre de Nhiman, il ne resterait plus aux autres qu'à finir le monstre affaibli.

Angren, l'assassin, avait pendant ce temps tendu des câbles d'acier d'une résistance extrême entre plusieurs hauts bâtiments autour des pieds du titan et continuait à en placer.
Une fois que le grand monstre serait assez déséquilibré il avancerait ou reculerait un peu et là il se prendrait les pieds dans les câbles. Peu importe que les immeubles tombent avec, cela rajouterait des débris dans les pattes de l'arbre.
Tendant son bras droit, il serra le poing et un petit grappin jaillit d'une place de son armure, allant se ficher directement dans la maison d'en face.
Il avait terminé, il repartit en courant vers les autres protagonistes avant que le monstre ne tombe.

[Phaéton]

Il avançait à grande vitesse, sans toutefois bouger les jambes; et était balotté dans tout les sens. Nhiman fut réveillé en sursaut, il avait l'impression qu'on lui avait jeté un saut d'eau dessus. Sa première réaction fur de regarder autour de lui pour voir où il était. Il constata alors que Nevaël l'avait chargée sur ses épaules et courrait dans des escalier. Où allait-elle? Ils étaient maintenant dehors et tout lui revint en mémoire... Le sort, la perte immense d'énergie, l'explosion, le Titan... Une autre gerbe de liquide. Il tourna péniblement la tête pour voir ce que c'était. Malgré la noirceur de la nuit il put constater que ce n'était pas de l'eau, mais plutôt un liquide noir et visqueux. Quelque seconde plus tard encore une gerbe. Elle s'écrasa avec violence sur son visage, comme si elle tombait de très haut. Il leva la tête et constata avec une horreure mélée de jubilation que s'était le sang du monstre qui se déversait par centaine de litre de l'endroit ou était son oeil à chacun de ses pas. Il semblait étourdi, tant mieux!

[Zodiac]

#Je reprend le commandement, voyant qu'on ne peut plus compter sur personne à pars sa propre personne, parfait, ça me fait une nouvelle source d'inspiration..#

Le Titan, continuait de brûler d'un feu invisible ce qui avait le malheur de croiser les feux de son phare maudit dans lequel toute la douleur du monde se reflétait dans un chaos de hurlements et d'agonie.. C'était pure délectation pour l'être qui faisait frémir ses ramures d'ossement.. Par quartiers, les maisons se vidèrent de toute vie, laissant place à l'odeur acre de la graisse brulée et de la peau chauffée jusqu'à son accès au rang honorable du charbon.. D'un certain coté, ce serait plus utile dans le cadre de cette utilisation.. Cependant les assauts furent puissant, il ne le nia pas, mais ne s'attendant à aucun secours, il préféra passer à la vitesse supérieure.. Son grand oeil se ferma pour contenir sa vie.. La pointe de ses décorations s'embrasèrent d'un feu qui n'avait rien à envier aux buchers qu'on organisait pendant les autodafés.. Ces flammes tenait plus du vert jaunâtre que du doux orangé des feux de cheminées.. C'était peu important, ce qui comptait était l'énorme boule incandescente qui commença à se dessiner dans son dos.. Ce n'était pour l'instant qu'un point de la taille d'un cochon rôti, pourtant ce n'était pas quelque chose à laisser trop longtemps sur le grill*..

Sûr, son sang commençait à couler et à répandre sur les maisons d'horribles mares de poisse sanguine, témoin de la pourriture de l'être géant.. Ce n'était qu'une blessure.. Le Titan artificiel tonitrua, faisant trembler les bâtiments et leurs chanceux habitants..

"Vouuuusss êêêêttteeeesss laaaa pessste qui dévvvvvoreeee leeeee mondeeee.. Jeeeee m'ennnn vaiiiiis vouuuus purifiiieeerrr daannns l'enfeeeeeeerrr.."

Visiblement très à cheval sur la présentation théâtrale, l'arbre-humain écarta les bras après s'être muni de deux maisons non piétinées et paumes face au ciel, de grands brasiers s'élevèrent dans ses mains, il les frappa, causant une pluie (légère) de roches en fusions..




*Misère et humour pourri..

[nobodies]

Entre le titan qui hurlait à la mort et incendiait des quartiers de Clantor entier et les insectes qui continuaient le carnage, on aurait put aisément se servir de tout ce raffut pour faire passer quelque chose en douce, à l'abri des regards indiscrets et des aventuriers surtout. C'est ce qui était plus ou moins en train de se passer au moment où le titan avait reçu une puissante décharge d'énergie et hurlait comme un troll à qui on aurait volé son goûter...

Tout avait commencé par l'invasion de l'académie de magie de Clantor. En effet, un grand nombre d'insectes avaient attaqué directement ce bâtiment dès le début du conflit, mais pas uniquement pour priver la garde clantorienne de plusieurs de ses mages les plus compétents: Salias cherchait autre chose... Les insectes s'étaient donc engouffrés dans les murs de l'académie à grands coups de mandibules et de griffes chitineuses et il y eut un énorme combat, l'odeur d'insectes brûlés se sentait dans tout le quartier.
Les derniers combats dans l'académie se finissaient donc, le bâtiment avait brûlé ou était détruit sur plus des trois quarts de sa surface, véritable exemple de la capacité destructrice d'un mage acculé qui souhaite survivre à tout prix... A l'entrée du bâtiment, au pied des grands escaliers aux marches désormais brisées, on pouvait voir une petite fille.

Elle devait avoir une dizaine d'année, pas plus. Le teint de peau légèrement bleuté à cause d'une expérience magique sur sa personne particulièrement puissante, elle possèdait également des yeux d'un vert profond et ses cheveux étaient châtains avec les reflets de la lueur des flammes autour d'elle. Ah oui, n'oublions pas également son escorte: trois insectes de la taille d'un gros chien qui regardent constamment la rue et semblent protéger la petite.

Que faisait-elle dans l'académie de magie de Clantor à son âge? Elle est l'une des seules à pouvoir répondre. Pourquoi les insectes, au lieu de la déchiqueter, l'escortent et lui font traverser la ville vers un endroit plus calme? Peut-être qu'elle ne le sait pas elle-même...? Dans tout les cas elle ne résiste pas, à quoi bon? Elle ne semble ni heureuse, ni triste, elle regarde juste droit devant elle et marche au même rythme que ses inquiétants gardes... Gardes qui, n'étant pas très malins, font passer la petite fille juste devant l'arbre-géant et donc bien en vue des quelques aventuriers qui tentent de le tuer depuis tout à l'heure... Ils ont peut-être d'autre chose à faire mais sait-on jamais! En tout cas, la mission serait perdue si la petite tombait aux mains de ces énergumènes, les trois insectes redoublèrent donc de vigilance et faisaient profil bas, espérant que personne ne les remarquent... Ils arriveront bientôt hors d'atteinte...

[Doktor Bizigu]

Malheureusement pour eux, Angren qui revenait en courant sur les restes de toits après sa pose de pièges aperçut directement le quatuor insolite.
Sautant une dernière fois en l'air, il atterrit sur une cheminée branlante surplombant les trois insectes et la fillette.
Elle n'avait pas l'air bien dangereuse, si ce n'est son air tranquille au milieu de tels monstres.. Elle devait être très très dangereuse donc..
Tripotant quelques petits boutons sur son gantelet gauche, l'assassin masqué esquissait un plan dans sa tête.. Il ne fallait pas la blesser, or la cheminée risquait de nuire à ses capacités de survie. Activant un cran de son avant bras il sentit quelques rouages tourner dans son armure légère et il sortit une petite lame d'une cinquantaine de centimètres ainsi qu'une arbalète. Ne sachant pas s'il était repéré ou non, il décida d'agir vite.
Il était proche d'eux mais au dessus, il n'était donc pas directement accessible.

Il épaula son arbalète, encocha un carreau, visa rapidement et tira dans l’œil du monstre le plus proche de lui. Sans attendre sa réaction il descendit de la cheminée au toit afin de rester stable.
Sous son masque il souriait d'un air réjoui et légèrement malsain.

"On va voir ce que vous valez, mes petits.."

[nobodies]

L'effet de surprise est total.

Angren plante le carreau de son arbalète pile dans la fente où se cache l’œil de l'insecte qui pousse alors un cri déchirant et se rue aveuglément sur son voisin. Celui-ci, surprit par la soudaine poussée d'adrénaline de son semblable tombe sur son dos recouvert d'une carapace et agite ses pattes pour se remettre en place. Malheureusement il n'a pas de chance: un bout de maison enflammé qui appartenait très certainement à celles que porte le géant s'écrase sur l'insecte, qui fait un gros bruit spongieux dissimulé par le bruit de pierres et de gravats qui s'abat sur le monstre: il est mort.
L'insecte borgne continue alors à courir en tout sens, mais il s'arrête bien vite lorsque sa tête heurte de plein fouet un mur miraculeusement encore debout après le passage du titan. Il trébuche donc et reprend petit à petit ses esprits.
Le troisième en revanche riposte vivement contre l'être qui menace l'exécution de la mission qu'on lui a confié: la carapace sur son dos se fend et deux longs tentacules en sortent et fondent droit sur le guerrier masqué qui est quelque peu surprit par une attaque aussi prompte. Le premier tentacule envoie valser l'arbalète d'Angren, tandis que l'autre lui enserre le poignet où il tient sa lame.

La petite fille, elle, se recule lentement contre un mur, et attend. Que peut-elle faire d'autre de toute manière? Elle a une petite grimace d'horreur lorsque l'insecte enserre le poignet du guerrier et fouette une première fois le visage masqué de celui-ci avec son autre tentacule. Et l'insecte borgne a presque complètement reprit ses esprits, ses mandibules bougent de plus en plus vite alors qu'il regarde de son œil valide Angren, plus précisément le ventre d'Angren... Son semblable agrippe un bras de celui qui l'a blessé et il semble en mauvaise posture, le monstre chitineux en salive déjà...

[Doktor Bizigu]

Le retournement de situation ne plut pas le moins du monde à Angren, il avait perdu son arbalète (mais c'était peu invalidant) et avait un bras enserré. Un coup de tentacule lui remit les idées en place.
Il tendit le poing vers le tentacule qui l'agrippait et une quinzaine de lames rétractiles sortirent de son avant bras. Il asséna un grand coup sur le membre de son insecte d'ennemi et entailla sérieusement le tentacule puis tira un coup sec pour l'arracher. Ayant récupéré sa main armée il activa un cran de son gant gauche et quatre piques d'acier d'environ dix centimètres jaillirent de ses articulations, créant un deuxième poing armé de combat.
Il se redressa rapidement, et voyant que la fillette s'était éloignée il poussa la cheminée de toute sa force. Lorsqu'il parvint à la faire pencher au dessus de l'insectoïde, il sauta avec elle afin qu'elle amortisse sa chute sur la carapace.
Tout allait se jouer serré pour le combat maintenant qu'il était en bas..

[nobodies]

Parce qu'il tenait sa proie à sa merci, l'insecte relâcha son attention quelques instants. Ce fut quelques instants de trop pour lui.

Angren, grâce à son arsenal de lames cachées, arracha un des tentacules de son ennemi aisément qui recula sur le coup, et le guerrier en profita pour faire basculer sur le monstre la cheminée branlante à côté de lui. Comme l'insecte avait sa carapace ouverte pour laisser passer ses deux tentacules, la cheminée l'écrasa aisément comme on écrase une simple pomme moisie en la jetant contre un mur. Angren put donc atterrir sans dommage sur la cheminée meurtrière, et observer son adversaire en face de lui, tout en jetant un rapide coup d’œil à la petite fille qui n'avait pas bougé, toujours contre le mur et le regard vide. C'est comme si elle ne s'était pas rendu compte que quelqu'un était en train de tuer ses gardiens...

Le dernier insecte en tout cas, avait l'air déterminé à en finir. Ce n'était qu'une grosse boule plate protégée par de résistantes plaques de chitines et garnies de piquants qui faisaient chacun la taille d'une rapière... Seules ses pattes, petites et nombreuses sous son volumineux corps, semblaient relativement fragiles, mais il faudrait déjà arriver au contact...
Il avait rentré sa tête dans sa carapace et il n'en sortit que sa gueule pleines de mandibules. Il cracha alors un liquide verdâtre qui fonça en sifflant vers le torse d'Angren, puis il rentra de nouveau complètement sa tête à l'abri, et chargea.

[Zorgune]

Ainsi la tour s’écroula. Pour le similiraste ce fut une très étrange sensation, son sens de l’équilibre très sensible l'informa que tout s'écroulait avant même que le son et la lumière de l'explosion ne l'atteignent. D'instinct il savait ce qui allait se passer.. Les pierres quittèrent leur place, le ciment lâchait, les riches décorations se brisaient, les cadavres et les meubles volaient dans les pièces déformées… Du point de vue du similiraste, tout se passa comme ça, au ralentit. Lorsqu’enfin il senti le souffle chaud de l’explosion suivit par le glacial vent nocturne, il retourna à la réalité, au monde physique, tangible et rapide.

Trop rapide.

Il chutait.

Telle une Alice de début de livre, il tombait, entouré de meuble et de pierre. Le monde tournait, le sol s'approchait et le chat pensait. Le froid l’engourdissait et il ne voyait pas vraiment comment se sortir de ce pétrin nouveau, en fait, il ne voyait plus grand-chose et ce malgré sa nyctalopie mais là n’est pas la question. Dans les faits le brave guerrier voyait surtout sa mort imminente, les personnes qui devaient l’attendre dans l’éventuel autre monde et aussi peut être que c’était une condition plutôt idéale pour mourir. Il pensa aussi que...

...

En fait il n’eut pas le temps d’aller plus loin que ce passage, son corps s’écrasa sur sol, un choc violent, bruyant et profondément douloureux. Tous les os du demi-chat furent brisés, ses organes perforés et expédiés hors du corps… Avant de finir écrasés par les pierres, meubles, cadavres et autre joyeuserie qui constituaient ou chutaient avec la tour.
Ainsi, son cadavre mutilé fut écrasé et couvert de pierre.

[Doktor Bizigu]

Tout était étrangement trop facile.. L'assassin s'était attendu à une résistance majeure des insectes, or jusque là il n'avait eu quasiment aucune opposition. Cela était sans doute en passe de changer avec le dernier, qui était bien plus retranché que les autres.
Il regarda la fillette, elle ne bougeait toujours pas. D'un côté elle aurait pu fuir car ses protecteurs étaient presque tous morts, de l'autre elle ne montrait pas le moindre signe de peur.. Il ne savait pas s'il devait plus craindre pour la vie de la fillette ou pour la sienne.

Ses réflexions furent coupées court lorsqu'un jet verdâtre et puant fut projeté directement vers sa figure. Il tenta une esquive mais fut touché au bras. Essuyant rapidement le liquide il tenta de trouver une contre attaque. Le monstre le chargeait, il était impénétrable.
Angren jugea préférable de le laisser s'écraser contre le mur, ce qui ne lui ferait pas très mal, afin de pouvoir retourner la situation à son avantage en soustrayant la fillette à l'insecte.
Il sauta et s'accrocha à un rebord de fenêtre puis se poussa avec les jambes afin d'éviter les piques du monstre. Il arriva donc derrière celui-ci et attrapa la petite par le bras. Juste avant d'essayer de la faire venir, il tenta le tout pour le tout en lançant une petite bille fumigène sur le monstre, ce qui brouilla totalement la scène dans une épaisse fumée grise.
La lentille de son œil gauche entra en jeu et lui permit de voir un peu devant lui, il tira donc la fille rapidement pour la soustraire à la menace, et la ramena dans la ruelle, courant vers les autres protagonistes.

Il espérait d'abord qu'elle n'allait pas l'attaquer, que l'insecte ne les trouverait pas, et enfin que le titan ne les écrabouillerait pas directement.

[Andamemnus]

Le vacarme était terrible, les vibrations, les cliquetis et les hurlements étaient parvenu aux oreilles de ceux qui n'étaient plus censé entendre. Andamemnus avait deviné ce qui se tramait, Andamemnus avait deviné ce qu'il se passait :

Lui, plus que quiconque était capable de sentir l'odeur de la mort, l'odeur du massacre, l'appel de la guerre.

" Mes Serviles Sujets, l'heure n'est plus à la rénovation, l'heure n'est plus au recrutement, l'heure est à la guerre ! Nous en reviendrons plus nombreux et fort que jamais, car un mort de saurait Mourir ! Marchons et terrassons ! Conquérons et détruisons !

Pour Clantor, la Vraie ! "

Le discourt guerrier d'Andamemnus résonna et se perdit dans les profondeurs des Cryptes et des catacombes, partout, les morts se tournèrent et répondirent à l'appel de leur roi.

" Pour Clantor, la Vraie et son Vrai Roi ! "

Le râle terrible fit remonter des profondeurs des Cryptes une odeur de mort, un malaise que seuls les vivants pouvaient ressentir, ce sentiment qu'un terrible mal approche.

L'armée des deux-fois-nés:

Andamemnus marchait au sein de son armée, ni en tête ni en queue, il était un mort parmi tant d'autre, marchant vers le massacre, ou les victimes viendraient grossir leurs rangs grâce à la magie d'Andamemnus. Quand ils atteignirent les égouts, une marée d'insecte vint s'écraser contre les lents morts-vivants, mais le nombre n'était plus leur force, car l'armée des deux-fois-nés semblait infinis. Plus le combat gagnait en longueur, plus la tendance s'inversait : en effet, les insectes dévoraient, mais un mort-vivant n'avait pas besoin de jambe ou de viscères pour se battre, mais les insectes tombés ne tardaient pas à se relever, pour ensuite aller dévorer leurs frères.

Le rire d'Andamemnus résonna dans les égouts et la ville basse : Il moquait les vivants et inspirait les morts, bientôt, tous auraient leur vengeance, bientôt, tous auront une nouvelle chance pour venger leurs famille, leur vie perdue, leurs valeurs détruites et piétinées.

C'est étranges créatures sont une vraie merveille, ils sont innombrables et ils pullulent, dès que nous en auront fini ici, nous ne ferons qu'une bouchée de la surface et Clantor sera de nouveau mienne !

Tu entends ça Clantor ? Ton Roi est revenu te conquérir !

Les paroles d'Andamemnus semblaient provenir des profondeurs de la terre, comme un râle formulé par les Cryptes de la ville ou un aveux de la grande faucheuse.

[Cheshire]

Cheshire invisible écumais les rue d une ville mourante le sourire au lèvre... Insecte, Monstre géant pyromane, guerre apocalyptique.

Bah tout ça étais amusent a regarder et de toute façon ce serais reconstruit sans doute très vite d après lui... Il admirais le massacre et dans le sang jouais.

C est au bout d un long moment dans ce paradis sanglant qu il vit du haut d un toit Zorgune.

Zorgune la seule personne qui l eu aider, Le seul autre Similarste qu il connaissais, Celui qui la aider a retrouver ces souvenir, Celui qui avais appris a Cheshire ce qu étais les vrai émotion.

Son seul ami...

Zorgune ce battais en haut d une tour avec un illusioniste a la technique maigre Et le mage s enfuit Et Zorgune Chuta vers Cheshire.

Cheshire s approcha du cadavre sanglant et redevint visible

-Zorgune mon ami *Cheshire arracha un bout de chair et la serra dans ces bras*

...


Ohh sa fait plaisir de te revoir regarde comme ce monde est beau...

...

Rouge...Noir. Magnifique comme les plus beau lieu de ce que tu appelle les landes

...
Cheshire mit l immonde reste d os et de chaire en face de son visage
Zorgune pourquoi tu ne répond pas

Des flash de souvenir apparaissais autour de Cheshire... une jeune fille blonde une flèche dans le dos, Des image d un Elfe Hurlant, Des image d un Elfe rattraper par des soldat une lame dans le ventre... Et un flash lumineux.

Et une voix qui murmurais

Mort,Mort,Mort,Mort,Mort,Mort,Mort,Mort,Mort,Mort,Mort,Mort,Mort,Mort,Mort,Mort,


Cheshire ne vis pas tout ça et les voix qui quittais juste ça tête pour l instant ne l inquiétais pas il les entais souvent mais il lâcha ce qui fut son ami... Son seul ami... et donna des petit coup un peu mous dans un torse qui l etais encore plus. Une larme coula, Son sourire trembla et plusieurs son distinct s échappèrent de son crane en même temps.


Un Rire, Des Sanglot, Des hurlement, Des aboiement, Des miaulement triste Et finalement un mot qui sortit de sa bouche... TUER!


Le vent Souffla dans son dos et le poussa vers une direction celle de son adversaire celui qui avais tuer son seul soutient... Et il cracha un substance dégoutante qui n avais sans doute rien a voir avec de la salive et sa lui fit mal.

[nobodies]

Angren, grâce à son habileté et à son agilité, réussit son coup sans problème.

Le dernier insecte s'écrasa donc contre un mur, et c'est légèrement sonné qu'il fut entouré des fumigènes du guerrier qui s'enfuyait avec la fillette... Il émit un long râle, et un signal psychique à son maitre, l'informant qu'il n'avait pas rempli sa mission à bien...
Puis, les morts arrivèrent vers lui, implacables guerriers d'os et de bouts de chairs sanguinolents. L'insecte se battit vaillamment malgré son œil percé, écrabouillant purement et simplement ou en utilisant sa bave corrosive. Plus d'une dizaine des deux-fois nés tombèrent pour ne plus jamais se relever, mais l'insecte fut bientôt encerclé et, malgré sa carapace, submergé par les morts. Quelques secondes plus tard, il se releva, la carapace trouée en plusieurs endroits et la peau légèrement nécrosée, et suivit la marche triomphale d'Andamemnus...

Angren pendant ce temps, loin de savoir qu'une deuxième menace peut-être pire encore menaçait Clantor, se posa tout en douceur sur un toit délabré dans un quartier de la ville où il ne subsistait plus grand chose de vivant.
La fillette le regardait intensément, comme si elle cherchait pourquoi cet homme avait décidé de la sauver... D'ailleurs, l'avait-il vraiment sauvé? N'aurait-il pas été mieux pour elle de suivre les insectes jusqu'au bout et que l'homme n'est pas intervenu...? Un sentiment de malaise s'empara d'elle, mais elle le cacha fort bien, attendant qu'Angren prenne la parole...

[Cheshire]

Cheshire avais trouver ça cible toujours invisible comme a son habitude il la fixais le sang qui de partout coulais avais transformer la terre en boue rougeâtre que Cheshire comptais utiliser a son avantage...

Il commença a incanter silencieusement et la boue s éleva prenant lentement forme pour devenir des pantin l anatomie proche du Similarste et la ressemblance en devint parfaite quand des illusion entourèrent ces pantin a ce moment 5 Cheshire escaladais le toit qui deviendrais bientôt l arène de combat

Pendant que Cheshire d un saut pousser par un puissante rafale de vent arrivais sur un bâtiment voisin et légèrement plus haut que son futur adversaire.

Les faux Cheshire se mirent en face de Salias et en celui le plus proche de sa fausse voix commander par Cheshire lui dire

-Bonjours je nous présente.... Nous somme Cheshire *Petite révérence*Et nous tenons a.... *Le faux cheshire fit un geste rapide de la main et une flèche de glace fut tirer vers le dos de son adversaire*

VoUs TuEr

[Doktor Bizigu]

L'homme enleva son masque. Il n'avait aucune idée de qui était cette petite mais s'il ne voulait pas la faire fuir il faudrait montrer son vrai visage.
Elle ne bougeait pas, elle n'avait pas l'air plus inquiète que ça mais pas non plus heureuse d'avoir été tirée des griffes des insectes. Il décida donc d'entamer un peu la discussion afin de se renseigner.

"Bon.. Alors pour commencer comment t'appelles-tu, petite ?"

Il ne savait pas vraiment comment s'y prendre, étant d'un naturel taciturne et peu enclin à parler.

[Melkerah]

A quelque distance de là, dans une ruelle, l'ombre d'un être humanoïde dont le dos portait trois tentacules se mouvait doucement. Les sortes de crocs qui pointaient à l'extrémité de chaque tentacule se repliaient et se redéployaient à intervalles réguliers, comme en pleine mastication.
Romias se faisait de mieux en mieux à son nouveau corps, qui lui plaisait assez. Sa reine était allée d'elle-même se loger dans son foie pour commencer à travailler en pondant des oeufs d'insectes à la chaîne. Les premiers membres de son armée aux armures de chitine se promenaient sur ses épaules, permettant à leur maître d'apprendre à les diriger.
L'ex-noctalien était ravi de la docilité de ses créatures ainsi que de leurs capacités. L'acide qu'ils crachaient avait montré son efficacité, malheureusement c'était tombé sur l'épaule de Romias, trouant ses vêtements déjà élimés.
Il entendit des bruits de lutte non loin. Il sortait tout juste de la septième cachette des Umbra de la ville, encore une fois vide, et la monotonie de sa recherche le lassait un peu, aussi il se dirigea vers l'origine du bruit, envoyant un insecte en éclaireur.
La créature était de petite taille, à peine plus gros qu'un simple lucane, ce qui devrait lui permettre de rester relativement discret. Il bourdonna donc jusqu'aux deux cadavres d'insectes qu'un humanoïde venait de tuer, aperçut le troisième qui venait de s'assommer contre un mur et transmit ces informations à son maître, qui prit le pas de course. L'insecte repéra ensuite l'humanoïde, qui était en compagnie d'un de ses semblables (il ne voyait pas vraiment de différence entre les deux, si ce n'est la taille).

[nobodies]

La petite regarda intensément Angren. Quand celui-ci enleva son masque et parla, elle fit quelque chose que les deux personnes n'avaient pas encore fait depuis leur rencontre: elle sourit. Tout simplement.
Elle répondit ensuite, toute guillerette:

- Je m'appelle... Mélanie, et j'ai onze ans!

Elle avait ajouté cette information instinctivement, comme pour accentuer sa fragilité apparente. Pourtant, elle ne semblait ni avoir peur, ni être fragile. Elle détourna les yeux du guerrier quelques instants pour admirer le sort de feu que lançait un quelconque magicien pour se défendre dans une ruelle pas très éloignée. Ses yeux tournèrent du vert au rouge flamboyant pendant cet instant, comme si elle... Absorbait l'énergie du pouvoir? C'était aisément visible, et elle ne semblait pas vouloir le cacher, Angren avait donc un nouveau mystère sur les bras... Avant qu'il est pu continuer la discussion, Mélanie reprit en posant plusieurs questions très vite, comme le font les enfants innocemment sans se rendre compte de toutes les informations qu'ils donnent en même temps à leur interlocuteur:

- Et vous monsieur, c'est quoi votre nom? Et puis, pourquoi vous avez tué les insectes? Vous savez, ils étaient gentils avec moi, ils n'allaient pas me manger! D'ailleurs, le gentil monsieur de l'autre jour, il m'avait dit qu'il falllait que je les suivent pour le rejoindre, et même qu'on aurait fait pleins de trucs chouettes après et qu'il m'aurait apprit pleins de trucs, c'est ce qu'il m'a promis! Mais maintenant, je suis avec vous, mais c'est pas grave parce que je vous aime bien, vous êtes rigolo. Pourquoi vous portez un masque, vous avez honte de votre visage?

[Zodiac]

Alors que la fumée montaient des maisons en proie aux éléments et à la magie pure, du haut d’un toit se dressait celui qui était le maître-d’œuvre de ce chaos et il souriait.. L’odeur âcre des corps dissous dans l’acide insectoïde chatouillait ses sens, c’était comme la piquante douceur des effluves de réglisse dans les parfums, puissant mais pas moins agréable.. Délice du nez et des yeux, l’ambiance était au combien parfaite elle aussi, cris, lamentations, implorations, divagations à l’approche de la mort.. Ô merveille des merveilles que ce spectacle.. Des corps humains qui jonchaient les rues, dévorés par les énormes insectes qui le servaient.. C’était de toute beauté.. Amok s’avança légèrement, ses orteils s’agrippèrent comme les serres d’un vautour, cherchant une proie.. Des proies ? Il n’y en avait guère plus dans les environs.. Seulement des morts.. Des morts.. On peut accuser les vapeurs et la vieillesse, il lui sembla fixer son propre visage déformant les traits d’un vieillard dont les intestins couvraient le pavé dans une mare de sang.. Amok devint alors livide.. Peut-être qu’un autre n’aurait pas compris son erreur, cependant il était loin d’être idiot, il comprit qu’il était allé trop loin.. Il avait transposé sa rage sur les autres, la rage d’un amour brûlant s’était transformé en incendie qui se nourrissait de vies humaines.. Il avait fait la même erreur que les humains il y a de ça des milliers d’années, il avait voulu la suprématie de sa race par l’extinction d’une autre.. Impuissant, il fixa ses mains griffues et serra les doigts.. Quelque chose en lui mourut.. Il commença à montrer les crocs en direction du Titan, l’incarnation de ses erreurs et de sa damnation éternelle..

A quand bien, tant pis.. C’était le moment de tout donner pour laisser un peu de répit à cette chose qui pourrait changer le cours de la bataille.. Il devait maintenant traquer les aventuriers et les exterminer.. Comprenons bien qu’il ne savait plus quoi faire exactement, le doute s’étant immiscé en lui comme la rosée fraîche du matin entre les pores du schiste millénaire.. Aussi préféra-t-il achever ce qu’il avait commencé.. Qu’importe, le mal était déjà fait et de ce mal il surgira un bien qui aurait mérité six fois cette situation.. Il se tourna vers Tinùviel qui l’avait accompagné et lui dit d’une voix ravivée et tempétueuse..

« Bien.. Si nous mourons ce soir, nous laisserons une trace dans l’Histoire comme étant les êtres les plus terrifiants et les plus méritants aux yeux de la nature, ils trembleront le soir devant le feu en évoquant nos noms, ils vont frémir le soir quand les images devant leurs yeux seront ceux des Homo Novus ravageant la souillure qu’est leur existence.. »

[Tinùviel]

Tinùviel regarda Amok, avec une certaine angoisse : elle sentait que quelque chose en lui avait changé.

- Je t'accompagnerai jusqu'au bout, Amok. J'ai fais le choix de te suivre et je ne te laisserai pas, dit-elle d'un ton ferme et résolu.

Si elle mourrait ce soir, ce serrait aux côtés d'Amok, dans cette bataille. Elle observa le spectacle maccabre en contrebas du toit sur lequel ils étaient, puis le Titan. Ses yeux brièrent d'une lueur étrange.

Soudain, sans crier gare, elle s'élança au bas de l'habitation, atterit sur ses pieds et, laissant ses nouveaux sens d'Homo-Novus se libérer, elle huma l'air.

[Melkerah]

Juste dans la ruelle adjacente, Tinùviel remarquerait peut-être l'ombre que formait le clan Umbra au grand complet. Uri avait décidé, en accord avec les plus âgés du groupe, de reprendre la bataille tout en laissant les plus fragiles sous la protection des autres. Elle n'avait pas vraiment prévu de tomber ainsi sur l'ennemi, trop concentrée sur l'organisation à mettre en place, et hâta donc la manœuvre.
Elle sépara le clan en deux groupes, ne gardant avec elle pour la bataille que Noru, Elasa, Joha, Yoré et Irano. Les autres battirent en retraite à la recherche d'une cachette où le traître, Romias, ne viendrait pas les chercher trop vite.
La lycan s'avança alors vers la femme qui accompagnait Amok, et constata avec dégoût qu'elle était elle aussi de l'espèce du vieux fou. Mais elle n'avait rien contre elle en tant que personne, aussi elle ne l'attaqua pas, gardant son énergie pour ceux qui menaçaient réellement sa vie et celle des siens. Son petit groupe de combat resta en retrait,attendant un signe de leur meneuse.

-Où est Amok ? demanda Uri en se doutant qu'il était certainement dans les parages.

[Tinùviel]

Tinùviel se retourna vers la voix, aillant sentit une présence furtive. La jeune femme lui faisant face lui demandait où était Amok.

Elle n'avait rien contre la lycan en tant que personne, ni même par rapport à la race, aussi essaya-t-elle de paraitre moins menaçante envers elle. Elle pensait même que dans d'autres circonstances, elles auraient certainement pu s'entendre et peut être même devenir.... amies ? Mais Tinùviel restait sur ses gardes, elle sentait que la jeune lycan haïssait les Homo-Novus. Elle n'attaquerait que si la vie d'Amok était menacée. Car la jeune femme s'était fait une promesse : faire tout son possible pour protéger Amok.

- Amok n'est pas loin, répondit évasivement Tinùviel.

Soudain, telle la foudre, un sentiment fulgurant la trensperça : son coeur se serra lorsqu'elle pensa à Amok. Cela ne lui était encore jamais arrivé depuis qu'elle le connaissait. Elle ne comprit pas la signification de ce malaise. Sans doute la peur qu'elle éprouvait pour la vie d'Amok en était-elle la cause, mais elle n'aurait su le dire. Elle porta une main a sa poitrine, se sentant tout à coup extrêmement vulnérable.

[Andamemnus]

C'est à la vitesse d'une coulée de lave que les morts se rependaient dans les bas fonds. Ils étaient nombreux, mais plus encore, les cadavres déjà présents se relevaient, grossissant les rangs de ce nouvel envahisseur.

Les morts avaient pour ordre de ne s'attaquer qu'aux créatures chitineuses et tentaculaires, en ces termes, les familles terrifiées purent voir passer une armée de mort, les ignorants parfaitement, ne recherchant rien d'autre que d’exécuter les ordres de leur Roi.

Cependant le but personnel d'Andamemnus était plus grand, plus complexe, il comptait retrouver ceux ou celui qui avait fait tout cela, et se nourrir de lui. Il avait déjà dévoré nombre de nécromants et de mage afin d'augmenter ses pouvoirs, s'il trouvait le maître de ces créatures, il y avait de bonnes chances pour que sa puissance devienne gigantesque.

Andamemnus était partit seul dans sa quête et ne tarda pas à rencontrer deux jeunes femmes, l'une corrompue par les Chitineux et l'autre qu'il reconnue comme étant une lycanthrope.

"

Je suis Andamemnus, Roi légitime de ces terres, êtes vous les responsables de tout ceci ?

Sa voix d'outre-tombe n'était pas plus effrayante que son existence même, une momie corpulente, quelque peu décharnée, animée par une puissante magie noire.

[Melkerah]

Le sang d'Uri s'était glacé quelques instants avant que la voix résonne. Elle n'aurait su dire si c'était cette odeur de mort, un bruit ou autre chose qui avait provoqué ce frisson en elle, mais elle savait qu'elle n'avait aucune envie de côtoyer cette créature plus longtemps que nécessaire. Avis vite transformé en certitude quand elle se retourna vers l'individu qui avait proféré ces mots si prétentieux. Elle n'avait jamais vu de morts-vivants auparavant, aussi loin qu'elle se souvienne, et cette expérience ne lui avait probablement pas manqué.

-Roi légitime de ces terres... répéta-t-elle comme essayant vainement de comprendre ces paroles. Qui que vous soyez, je vous serais reconnaissante de nous libérer de ces monstres qui ont saccagé la ville...

Elle se tourna vers Tinùviel, un regard à la fois provocateur et interrogateur, demandant quel rôle elle jouerait dans la suite des événements. Puis elle se retourna vers la momie, attendant qu'il explique son but dans l'affaire.

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